JEUNES MENDIANTS ( nouvelle n 30 )
Mirage au dessus des nuages sage n1
JEUNES MENDIANTS
Deux enfants, tempétueux, stigmatisent
sur le parc pour mendier.
. Leur démarche ,douteuse, asphyxie
l'ensemble de mes pensées.
Mon attention se prime d'une multitude
de conceptions.
Celles qui chavirent des manies faite
pour faire valoir la mendigoter.
Pauvreté oblige de se laisser choir a la
vertu des opprimés.
Dans un opéra de pauvreté, qui avec
grâce épouse la réalité.
Pathétiquement ma récolte se mut de
leurs parodies .
Sans remarquer que je me laisse
intimider par leurs mouvements.
De voitures en véhicules, ils se faufilent
puis se rapprochent pour me mendier.
Filante, mes pensées s'émotionnent
vers une charité.
Dans une poche ma main y puisse une
monnaie monôme.
Un sous, d'autres je n'en ai point, me
voila complexe.
J'explique mon indigence car, ma femme
a ce que je veux donner.
Le temps passe, et les enfants continuent
leur exhibitionnisme.
Ma femme me retrouve, vite, ils accourent
a mes cotés.
Je tend a la fille, la plus grande, la monnaie
a partager.
Elle court rapidement au loin pour ne rien
devoir diviser.
Le petit garçon se met a pleurer, car sa
sœur vient de le voler.
Ils se retrouvent pour distribuer des
frappes a ne plus compter.
Dans des actions de haines, traduit par
de la vulgarité.
Ultime constatation que de les voir se
chamailler.
Je tourne mon regard dans une direction
opposé.
Pour comprendre que rien n'est fait de
bonne volonté.
Le plus faible n'a rien obtenu de ce qui
dut être un partage.
Un partage de sage, qui lui aurait fait un
grand hommage.
Notre situation a tous suit le même
langage.
Récolter pour emmagasiner car plus tard
il en faudra pour s'aider.
La vie a changer les multinational
récoltent pour ne pas partager.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz .
écrit le 14 10 2010, remis a jour le 09 03 2020
a ce jour, 09 03 2020, 119 934 lecteurs.
JEUNES MENDIANTS
Deux enfants, tempétueux, stigmatisent
sur le parc pour mendier.
. Leur démarche ,douteuse, asphyxie
l'ensemble de mes pensées.
Mon attention se prime d'une multitude
de conceptions.
Celles qui chavirent des manies faite
pour faire valoir la mendigoter.
Pauvreté oblige de se laisser choir a la
vertu des opprimés.
Dans un opéra de pauvreté, qui avec
grâce épouse la réalité.
Pathétiquement ma récolte se mut de
leurs parodies .
Sans remarquer que je me laisse
intimider par leurs mouvements.
De voitures en véhicules, ils se faufilent
puis se rapprochent pour me mendier.
Filante, mes pensées s'émotionnent
vers une charité.
Dans une poche ma main y puisse une
monnaie monôme.
Un sous, d'autres je n'en ai point, me
voila complexe.
J'explique mon indigence car, ma femme
a ce que je veux donner.
Le temps passe, et les enfants continuent
leur exhibitionnisme.
Ma femme me retrouve, vite, ils accourent
a mes cotés.
Je tend a la fille, la plus grande, la monnaie
a partager.
Elle court rapidement au loin pour ne rien
devoir diviser.
Le petit garçon se met a pleurer, car sa
sœur vient de le voler.
Ils se retrouvent pour distribuer des
frappes a ne plus compter.
Dans des actions de haines, traduit par
de la vulgarité.
Ultime constatation que de les voir se
chamailler.
Je tourne mon regard dans une direction
opposé.
Pour comprendre que rien n'est fait de
bonne volonté.
Le plus faible n'a rien obtenu de ce qui
dut être un partage.
Un partage de sage, qui lui aurait fait un
grand hommage.
Notre situation a tous suit le même
langage.
Récolter pour emmagasiner car plus tard
il en faudra pour s'aider.
La vie a changer les multinational
récoltent pour ne pas partager.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz .
écrit le 14 10 2010, remis a jour le 09 03 2020
a ce jour, 09 03 2020, 119 934 lecteurs.
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