LA MOUCHE PIQUE ( nouvelle 65 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Cela fait un bon bout de temps que
j'occupe, bien recouvert, ma position qui
m'allonge dans mon lit ; m’endormir
devient insupportable, je n'y arrive pas.
Un froid de canard oblige les gens de
séjourner dans le cocon de chaleur que
provoque une habitation. La rudesse de
l'hiver ne fait nul pardon et aucune âme
humaine n'envisage un déplacement.
Tout dépense d’énergie inutile ne trouve
preneur.
Les oiseaux ressemblent a des boules
car ils gonflent leurs duvets et se cachent
dans le moindre recoins des granges ou
des habitations .
moindre compliment. Le thermomètre
frôle les moins vingt cinq, tout s'engourdie
a part les chemines qui fument un épais
nuage gris ou noir. Ses panaches polluants
se laissent emporter par ce vent digne de
cette rudesse venu du grand nord.
Tout est recouverts d'un épais manteau
de neige, où sont nos route et nos jardins ?
J'accumule une ribambelle de questions
sous mes draps de coton et ma couverture
de laine ; ils se débâtent avec mes pensées
sans trouver une juste réponse .
Un bruit bourdonne dans mes oreilles,
mais, comment est ce possible qu'une
mouche tourbillonne dans la nuit autour de
mon lit ?
Comment peut elle se guider sans lumière
et avec des intentions énergétique en
vocalisant des bourdonnements ?
d’innombrable vagues de suppositions qui
me laissent songeur. Le bourdonnement
vient de se taire et, comme un miracle, le
silence retrouve la résonance de sa
liberté, celle du vide de la nuit !
Voila l'endroit où ma trompe aiguë
peut percer cette peau épaisse et y
puiser les éléments qui me sont vitaux
et nécessaire pour la prolifération de
notre race et de notre microbe.
L'humain active des germes modulaire
que ma trombe acquérait sans peine en
se plongeant dans leurs artères. Plus je
me rapproche de son cerveau, plus le
raffinement de son sang comporte ces
éléments nutritifs. L'importance pour
notre nouvelle génération de mouche
piqueuse, consiste d'ingérer une
maladie pour que les humains
Notre apparence doit rester commune
avec les mouches habituelle. Sur cette
action, nous faisons converger une
maladie additionnelle capable de
proliférer comme par enchantement.
L'humain doit tomber malade, puis ,,il
cherche la provenance mais jusqu’à la,
notre action prime avec réussite. Voila
la force de nos intentions, elle signe
notre bravoure. Pour parvenir a mes fin,
j’endors la partie où je perfore la peau
pour enfoncer ma longue trompe jusqu’à
l'artère sans réveiller de soupçons chez
l'individu. De toute façons, lorsque cette
boule de chair est au repos rien ne
réveille sa méfiance. Je gloutonne ces
succulent particules de glucoses sucré
qui enivrent mon propres comportement
intellectuel. Je sélectionne les fibres qui
j'injecte mes microbes pour affaiblir cette
chair. Je me suis gavé, cela déséquilibre
mon envole. De toute façons je n'ai de
place dans mes réserves c'est pour cette
raison que je bourdonne et virevolte vers
toute direction .
Mais, quel diable démange mon front ?
Cela me dérange sans modération. Je
n'arrive plus a m'endormir et guette
l’intrus volant . Des bourdonnements
vibres autour de mes oreilles et je tente
en vain d'attraper cet insecte. Le silence
de la nuit est perturbé par cet insecte
empotant qui m'importune.
Je me demande, il fait très froid,
comment a telle survécu , où a telle
placé son abri, cette mouche stupide ?
JJM
Auteur Jean jacques Mutz .
écrit le 7 février 2011, remis a jour le
31 01 2020
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.A ce jour
31 01 2020, une maladie contagieuse
envahie le monde, les personnes sont
confinée dans leur habitation. Mais la
mouche elle se déplace comme bon lui
semble.
a ce jour, 31 01 2020, 119 319 lecteurs.
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LA MOUCHECela fait un bon bout de temps que
j'occupe, bien recouvert, ma position qui
m'allonge dans mon lit ; m’endormir
devient insupportable, je n'y arrive pas.
Un froid de canard oblige les gens de
séjourner dans le cocon de chaleur que
provoque une habitation. La rudesse de
l'hiver ne fait nul pardon et aucune âme
humaine n'envisage un déplacement.
Tout dépense d’énergie inutile ne trouve
preneur.
Les oiseaux ressemblent a des boules
car ils gonflent leurs duvets et se cachent
dans le moindre recoins des granges ou
des habitations .
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Cette bise cruelle nous encercle sans lemoindre compliment. Le thermomètre
frôle les moins vingt cinq, tout s'engourdie
a part les chemines qui fument un épais
nuage gris ou noir. Ses panaches polluants
se laissent emporter par ce vent digne de
cette rudesse venu du grand nord.
Tout est recouverts d'un épais manteau
de neige, où sont nos route et nos jardins ?
J'accumule une ribambelle de questions
sous mes draps de coton et ma couverture
de laine ; ils se débâtent avec mes pensées
sans trouver une juste réponse .
Un bruit bourdonne dans mes oreilles,
mais, comment est ce possible qu'une
mouche tourbillonne dans la nuit autour de
mon lit ?
Comment peut elle se guider sans lumière
et avec des intentions énergétique en
vocalisant des bourdonnements ?
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Ces questions gardent en réveillentd’innombrable vagues de suppositions qui
me laissent songeur. Le bourdonnement
vient de se taire et, comme un miracle, le
silence retrouve la résonance de sa
liberté, celle du vide de la nuit !
Voila l'endroit où ma trompe aiguë
peut percer cette peau épaisse et y
puiser les éléments qui me sont vitaux
et nécessaire pour la prolifération de
notre race et de notre microbe.
L'humain active des germes modulaire
que ma trombe acquérait sans peine en
se plongeant dans leurs artères. Plus je
me rapproche de son cerveau, plus le
raffinement de son sang comporte ces
éléments nutritifs. L'importance pour
notre nouvelle génération de mouche
piqueuse, consiste d'ingérer une
maladie pour que les humains
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s’affaiblisse.Notre apparence doit rester commune
avec les mouches habituelle. Sur cette
action, nous faisons converger une
maladie additionnelle capable de
proliférer comme par enchantement.
L'humain doit tomber malade, puis ,,il
cherche la provenance mais jusqu’à la,
notre action prime avec réussite. Voila
la force de nos intentions, elle signe
notre bravoure. Pour parvenir a mes fin,
j’endors la partie où je perfore la peau
pour enfoncer ma longue trompe jusqu’à
l'artère sans réveiller de soupçons chez
l'individu. De toute façons, lorsque cette
boule de chair est au repos rien ne
réveille sa méfiance. Je gloutonne ces
succulent particules de glucoses sucré
qui enivrent mon propres comportement
intellectuel. Je sélectionne les fibres qui
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ne sont pas porteur de nutrition puisj'injecte mes microbes pour affaiblir cette
chair. Je me suis gavé, cela déséquilibre
mon envole. De toute façons je n'ai de
place dans mes réserves c'est pour cette
raison que je bourdonne et virevolte vers
toute direction .
Mais, quel diable démange mon front ?
Cela me dérange sans modération. Je
n'arrive plus a m'endormir et guette
l’intrus volant . Des bourdonnements
vibres autour de mes oreilles et je tente
en vain d'attraper cet insecte. Le silence
de la nuit est perturbé par cet insecte
empotant qui m'importune.
Je me demande, il fait très froid,
comment a telle survécu , où a telle
placé son abri, cette mouche stupide ?
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JJM
Auteur Jean jacques Mutz .
écrit le 7 février 2011, remis a jour le
31 01 2020
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.A ce jour
31 01 2020, une maladie contagieuse
envahie le monde, les personnes sont
confinée dans leur habitation. Mais la
mouche elle se déplace comme bon lui
semble.
a ce jour, 31 01 2020, 119 319 lecteurs.
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