LE COMMIS ( nouvelle 34 )
Mirage, au-dessus des nuages, sage n 1
LE COMMIS
Pour faire vivre une ferme, il faut des
vaches, des chevaux, des cochons, des poules
des lapins, et des chèvres. On y comptabilise
aussi quelques chiens, des chats, des bonnes
et un ou plusieurs commis d'étable.
a cette époque la, est d'un ordre primordiale.
Le travail manuel n'éprouve le moindre frein.
Le manque a gagner s'incruste dans les foyers,
la pauvreté a sa raison d’être car elle étuve
un refrain mesquin.
Dans les profondeurs de son âme s'active
une population ordonnée. De profonde racine
démoniaque, sont planté la, pour diriger cette
fourmilière de paysans par ce signe pervers
que mut une profonde inégalité.
De cette grande ferme donc je vous écrit,
prit naissance mon histoire, qui est situer
entre les deux grandes guerres.
Pour déterminer une valeur marchante
d'une ferme il faut des ouvrières et des
ouvriers. La trame de leur avoir ce détermine
aussi par la façon dont ils labourent leurs
champs ; certaines charrues sont équipées
d'un attelage conçu pour deux puissant
l'attelage est prévu pour des bœufs. Il y vas
de même pour la surface de leur terrains
qui souvent englobe que la contrée communale.
Pour d'autres grandes fermes leur étendu
se disperse dans les communes voisine. Leur
cheptel est consisté le plus souvent de
cinquante vaches laitière, de taureaux de
chevaux de traite , de brebis et de plusieurs
basse cours, de deux bonnes et de deux
commis comme dans la ferme donc je vous
fait part.
C'est une ferme copieuse, leur richesse
exemplaire envie le voisinage. Pour que
suive une prolifération financière, il y vas
de sois que le salaire de leur salarier se tire
au plus bas.
Cette devise existe de père en fils, d' ou
l'accumulation de leur puissance . Ils font
traiter leur employé de manière a ce qu'ils
Cette attention égoïste, choque. Ils n'ont le
moindre savoir vivre. Les valets de ferme
dorment dans les étables sur le foin et les
bonnes dans le grenier de l'habitation.
Comme le foin est un bon combustible les
commis n'ont le droit d'y faire du feux ; la
chaleur du bétails leur tient chaud.
L'hiver rude nourrie par la bisse aux mille
malis pénètre par la moindre petite faille.
Le riche fermier, sa femme et ses deux
enfants ne ressente pas le froid car dans leur
grande maison de maître plusieurs grand
poiles en briques réfractaire et faïence leur
tient chaud. Cette grande demeure de vingt
cinq chambres, d'une grande cuisine, d' un
immense grenier ainsi que d'une cave fraîche,
permet d'y stockent de bonne bouteilles de
vin et de fruits issu de leur récolte.
Deux petites et jeunes femmes aux cheveux
Elles s'occupent de faire les repas et le
ménage sans oublier tout ce qui suit dans
une grande famille.
Un règlement intérieur dit qu'il n'est pas
question que les commis convoitent les
bonnes. Leur rencontre la nuit pourrait
entraîner une prolifération impertinente
pour la stabilité de l'économie de la ferme.
- Nous ne somme point une villégiature
mais belle et bien une ferme productive
où les ouvriers n'ont pas le droit de se
multiplier comme le bétail, ce serai
notre déstabilisation total.
Dans le village, des révélations dévoilent
des parodies très compromettantes sur la
manière que sont traité les commis de cette
ferme. Certains prétendent que leur savoir
n'a de compréhension humaine. Leur
égoïsme et telle qu'ils ne tolère aucun chat
ils se goinfrent plus que nécessaire. Aucun
partage avec leur ouvrières ou ouvriers ne
vient a l’esprit. Ce n'est qu'a la fin de la fête
que les restes leur sont attribué.
Le brave Gustave, le plus âgée des commis ,
ne trouve de rancune dans se désavantage.
Ce petit filou se rattrape dans sa dînette et
se gave des bouteilles de vin qui séjournent
dans la cave de la maison et dans les
galeries qui mènent au château.
Ce sont des milliers de bouteilles qui y
logent dans un sombre totale où de
mystérieuses transformations naturels
enchérissent et enrichisse le charme de leur
bouquet. Ce nombre est si important qu'il
est impossible d'en faire un inventaire.
Personne ne cultive un doute sur son
comportement alcoolique. Parfois, il se
déplace a quatre pattes en déséquilibre,
mendia sa vie dans les villages alentour.
Beaucoup de personnes ont pitié de lui ,
ils le traitent avec courtoisie, mais, quant il
a trot consommé d'alcool ils l'évitent de
peur d’être responsable de son comportement.
Sa beuverie lui joue des tours et un jour la
fatalité le rendit tangible sur le palier
supérieur de la grange . Gustave perd son
équilibre et chute en engendrant des
rebondissements pour terminer sa course
sur son pas de départ.
Il n'y eu de gémissement et la mort fut sans
souffrance .
Le second commis ne s'est pas rendu compte
de cet incident, ce n'est qu'au petit matin
avant la levé du jour, quant les cocoricos
réveille la vie du poulailler, que son corps fut
découverts.
Gustave gît sans vie avec comme seul
firmament. Nulle trace de sang n'est visible.
Il n'a personne qui pourrait le plaindre, il ne
possède rien en se monde et qu'on prétend
même qu'il vient de nul part. Aucun denier
reste a hériter.
Les démarches sont entamé par l'employeur
de la mairie et la suite de l’enquête suit son
cours. Qui allons nous contacter pour les
frais de son enterrement ?
Personne pour la mise en bière ? Le riche
fermier ne se propose pas malgré que cette
personne leur eut prêté besogne durant de
nombreuses années. Cette réflexion ne les
préoccupe sur aucune conclusion ; ils
narguent même un reflex de contradiction.
Le service funéraire se tourne vers le maire
de ce village, qui est une famille proche du
fermier. La aussi le maire désapprouve le
fait de faire payer a la commune les frais
lui faut comprendre que ce ne sera les
deniers des villageois qu'il réglerons ce
désagrément.
Le corps garde sa position allongé devant
les marches de l'escalier tel un morceau de
bois mort.
les villageois passent et repassent devant
la ferme par curiosité. La chaleur de la
journée attire les mouches et développe
des odeurs qui ne narguent en rien les
narines des propriétaires. Personne ne se
propose pour subvenir a l'enterrement de ce
sans famille de passage. Même le représentant
de l'église se dépatouille de cet engagement.
- A quoi bon donner les saints sacrements
a un homme qui ne possède le moindre
denier et qui n'eut mis de pièces pour la
caisse des pauvres de l'église.
Le temps passe et la journée trépasse. Le
riches leur richesse mortelle.
De la ville voisine passe la marée chaussé
très révoltante . Ils ne reculent sous aucune
explication et obligent les propriétaires de
la ferme de subvenir aux finances
consternant toutes les démarches de
l'enterrement de leur commis.
L'humiliation est grande pour leur
richesse. Les villageois approuvent cette
obligation d'une manière telle qu'ils en font
une véritable éloge pour gardent dans leur
mémoire cette injustice sortant d'un pauvre
dortoir.
Donnons nous une morale pour cette
histoire qui démontre que de posséder
beaucoup d'argent grâce aux savoir faire
des manuels c'est détenir une puissance
digne d'un partage . Ne soignons pas
égoïste a notre tour.
.
JJM
la nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre. Auteur Jean
Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 04 11 2010, remis a jour le 19 12 2019.
A ce jour, 19 12 2019, 118 610 lecteurs.
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LE COMMIS
Pour faire vivre une ferme, il faut des
vaches, des chevaux, des cochons, des poules
des lapins, et des chèvres. On y comptabilise
aussi quelques chiens, des chats, des bonnes
et un ou plusieurs commis d'étable.
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L'utilisation de la main d'oeuvre humaine,a cette époque la, est d'un ordre primordiale.
Le travail manuel n'éprouve le moindre frein.
Le manque a gagner s'incruste dans les foyers,
la pauvreté a sa raison d’être car elle étuve
un refrain mesquin.
Dans les profondeurs de son âme s'active
une population ordonnée. De profonde racine
démoniaque, sont planté la, pour diriger cette
fourmilière de paysans par ce signe pervers
que mut une profonde inégalité.
De cette grande ferme donc je vous écrit,
prit naissance mon histoire, qui est situer
entre les deux grandes guerres.
Pour déterminer une valeur marchante
d'une ferme il faut des ouvrières et des
ouvriers. La trame de leur avoir ce détermine
aussi par la façon dont ils labourent leurs
champs ; certaines charrues sont équipées
d'un attelage conçu pour deux puissant
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chevaux de trait. Pour d'autres plus pauvre,l'attelage est prévu pour des bœufs. Il y vas
de même pour la surface de leur terrains
qui souvent englobe que la contrée communale.
Pour d'autres grandes fermes leur étendu
se disperse dans les communes voisine. Leur
cheptel est consisté le plus souvent de
cinquante vaches laitière, de taureaux de
chevaux de traite , de brebis et de plusieurs
basse cours, de deux bonnes et de deux
commis comme dans la ferme donc je vous
fait part.
C'est une ferme copieuse, leur richesse
exemplaire envie le voisinage. Pour que
suive une prolifération financière, il y vas
de sois que le salaire de leur salarier se tire
au plus bas.
Cette devise existe de père en fils, d' ou
l'accumulation de leur puissance . Ils font
traiter leur employé de manière a ce qu'ils
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restent de simple travailleur d'infortune.Cette attention égoïste, choque. Ils n'ont le
moindre savoir vivre. Les valets de ferme
dorment dans les étables sur le foin et les
bonnes dans le grenier de l'habitation.
Comme le foin est un bon combustible les
commis n'ont le droit d'y faire du feux ; la
chaleur du bétails leur tient chaud.
L'hiver rude nourrie par la bisse aux mille
malis pénètre par la moindre petite faille.
Le riche fermier, sa femme et ses deux
enfants ne ressente pas le froid car dans leur
grande maison de maître plusieurs grand
poiles en briques réfractaire et faïence leur
tient chaud. Cette grande demeure de vingt
cinq chambres, d'une grande cuisine, d' un
immense grenier ainsi que d'une cave fraîche,
permet d'y stockent de bonne bouteilles de
vin et de fruits issu de leur récolte.
Deux petites et jeunes femmes aux cheveux
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noir et au yeux marron , sont leur bonne.Elles s'occupent de faire les repas et le
ménage sans oublier tout ce qui suit dans
une grande famille.
Un règlement intérieur dit qu'il n'est pas
question que les commis convoitent les
bonnes. Leur rencontre la nuit pourrait
entraîner une prolifération impertinente
pour la stabilité de l'économie de la ferme.
- Nous ne somme point une villégiature
mais belle et bien une ferme productive
où les ouvriers n'ont pas le droit de se
multiplier comme le bétail, ce serai
notre déstabilisation total.
Dans le village, des révélations dévoilent
des parodies très compromettantes sur la
manière que sont traité les commis de cette
ferme. Certains prétendent que leur savoir
n'a de compréhension humaine. Leur
égoïsme et telle qu'ils ne tolère aucun chat
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dans leur demeure. Quant ils font des repasils se goinfrent plus que nécessaire. Aucun
partage avec leur ouvrières ou ouvriers ne
vient a l’esprit. Ce n'est qu'a la fin de la fête
que les restes leur sont attribué.
Le brave Gustave, le plus âgée des commis ,
ne trouve de rancune dans se désavantage.
Ce petit filou se rattrape dans sa dînette et
se gave des bouteilles de vin qui séjournent
dans la cave de la maison et dans les
galeries qui mènent au château.
Ce sont des milliers de bouteilles qui y
logent dans un sombre totale où de
mystérieuses transformations naturels
enchérissent et enrichisse le charme de leur
bouquet. Ce nombre est si important qu'il
est impossible d'en faire un inventaire.
Personne ne cultive un doute sur son
comportement alcoolique. Parfois, il se
déplace a quatre pattes en déséquilibre,
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comme un animal importun. Souvent ilmendia sa vie dans les villages alentour.
Beaucoup de personnes ont pitié de lui ,
ils le traitent avec courtoisie, mais, quant il
a trot consommé d'alcool ils l'évitent de
peur d’être responsable de son comportement.
Sa beuverie lui joue des tours et un jour la
fatalité le rendit tangible sur le palier
supérieur de la grange . Gustave perd son
équilibre et chute en engendrant des
rebondissements pour terminer sa course
sur son pas de départ.
Il n'y eu de gémissement et la mort fut sans
souffrance .
Le second commis ne s'est pas rendu compte
de cet incident, ce n'est qu'au petit matin
avant la levé du jour, quant les cocoricos
réveille la vie du poulailler, que son corps fut
découverts.
Gustave gît sans vie avec comme seul
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plaignant ses yeux qui implorent lefirmament. Nulle trace de sang n'est visible.
Il n'a personne qui pourrait le plaindre, il ne
possède rien en se monde et qu'on prétend
même qu'il vient de nul part. Aucun denier
reste a hériter.
Les démarches sont entamé par l'employeur
de la mairie et la suite de l’enquête suit son
cours. Qui allons nous contacter pour les
frais de son enterrement ?
Personne pour la mise en bière ? Le riche
fermier ne se propose pas malgré que cette
personne leur eut prêté besogne durant de
nombreuses années. Cette réflexion ne les
préoccupe sur aucune conclusion ; ils
narguent même un reflex de contradiction.
Le service funéraire se tourne vers le maire
de ce village, qui est une famille proche du
fermier. La aussi le maire désapprouve le
fait de faire payer a la commune les frais
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que présentent le croque mort. Le mairelui faut comprendre que ce ne sera les
deniers des villageois qu'il réglerons ce
désagrément.
Le corps garde sa position allongé devant
les marches de l'escalier tel un morceau de
bois mort.
les villageois passent et repassent devant
la ferme par curiosité. La chaleur de la
journée attire les mouches et développe
des odeurs qui ne narguent en rien les
narines des propriétaires. Personne ne se
propose pour subvenir a l'enterrement de ce
sans famille de passage. Même le représentant
de l'église se dépatouille de cet engagement.
- A quoi bon donner les saints sacrements
a un homme qui ne possède le moindre
denier et qui n'eut mis de pièces pour la
caisse des pauvres de l'église.
Le temps passe et la journée trépasse. Le
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mort garde sa position accidentelle et lesriches leur richesse mortelle.
De la ville voisine passe la marée chaussé
très révoltante . Ils ne reculent sous aucune
explication et obligent les propriétaires de
la ferme de subvenir aux finances
consternant toutes les démarches de
l'enterrement de leur commis.
L'humiliation est grande pour leur
richesse. Les villageois approuvent cette
obligation d'une manière telle qu'ils en font
une véritable éloge pour gardent dans leur
mémoire cette injustice sortant d'un pauvre
dortoir.
Donnons nous une morale pour cette
histoire qui démontre que de posséder
beaucoup d'argent grâce aux savoir faire
des manuels c'est détenir une puissance
digne d'un partage . Ne soignons pas
égoïste a notre tour.
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JJM
la nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre. Auteur Jean
Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 04 11 2010, remis a jour le 19 12 2019.
A ce jour, 19 12 2019, 118 610 lecteurs.
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