LA MENDIANTE ( poésie n 172 )
mirage au dessus des nuages sage n1
LA MENDIANTE
La voilà, titubante,
A la marche de ces pas.
En marmottant, des désirs,
Qu'on comprend pas.
Délesté, elle n'a plus rien,
Pas un sourire pour qui plaire.
Comme une feuille d'automne,
Sa peau est vulgaire.
Pour elle sonne la gloire,
Quant elle chante,victoire.
Pour des pièces sonnante,
Qui se mettent a briller.
Même par temps de pluie,
Elle mendigote.
Une aumône que d'autres,
Auraient jeté.
Les rayons du soleil ,
Ne lui sont pas gracieux.
Malgré leurs présences,
Sa faim implore pitié.
Mais, a quelle personne,
Eut elle pus faire du tort ?
Pour se trouver nez a nez,
Avec la misère son or ?
Fut elle vulgaire, a tord ?
Envers son entourage ?
Par sa culture de passage,
Qui ne cherche qu'a pousser ?
Donnons lui une chance,
Car Dieu l'a délaissé.
Pour que revienne sur terre,
Une égalité .
De nos jours, la pauvreté,
Engage une fortune.
Pour les uns qui accumulent,
Plus que nécessaire.
Les ivresses de la richesse,
Font tous basculer.
Dans leur poches gonflées,
De perçus injustifiée.
Et qui sais, peut être,
Nous aussi devrons,
Prévoir qu'un jour ,
Il faudra mendier ?
JJM
auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 04 03 2010, remis a jour le 19 12 2019.
a ce jour, 19 12 2019, 118 572 lecteurs.
LA MENDIANTE
La voilà, titubante,
A la marche de ces pas.
En marmottant, des désirs,
Qu'on comprend pas.
Délesté, elle n'a plus rien,
Pas un sourire pour qui plaire.
Comme une feuille d'automne,
Sa peau est vulgaire.
Pour elle sonne la gloire,
Quant elle chante,victoire.
Pour des pièces sonnante,
Qui se mettent a briller.
Même par temps de pluie,
Elle mendigote.
Une aumône que d'autres,
Auraient jeté.
Les rayons du soleil ,
Ne lui sont pas gracieux.
Malgré leurs présences,
Sa faim implore pitié.
Mais, a quelle personne,
Eut elle pus faire du tort ?
Pour se trouver nez a nez,
Avec la misère son or ?
Fut elle vulgaire, a tord ?
Envers son entourage ?
Par sa culture de passage,
Qui ne cherche qu'a pousser ?
Donnons lui une chance,
Car Dieu l'a délaissé.
Pour que revienne sur terre,
Une égalité .
De nos jours, la pauvreté,
Engage une fortune.
Pour les uns qui accumulent,
Plus que nécessaire.
Les ivresses de la richesse,
Font tous basculer.
Dans leur poches gonflées,
De perçus injustifiée.
Et qui sais, peut être,
Nous aussi devrons,
Prévoir qu'un jour ,
Il faudra mendier ?
JJM
auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 04 03 2010, remis a jour le 19 12 2019.
a ce jour, 19 12 2019, 118 572 lecteurs.
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