SOMBRE SANS UNE OMBRE ( nouvelle n 19 )
mirage au dessus des nuages sage n 1
SOMBRE SANS UNE OMBRE.
Mes muscles sont comme tétanisé
et mes articulations reste paralysé par
cette masse qui m'empêche de bouger.
Que vient 'il de m'arriver ? Plus de bruit
autour de moi, plus de clarté, il n'y a
que du noir en plus j'ai du mal a respirer.
Serai je dans une tombe entrain de me
réveiller ???
questionner. Une peur enivre mes
pensées je suis perdu a jamais ?
Des ondes envahissent mes oreilles,
je suis comme un zombi qui capte tous
ce qui parait irréelle.
Un petit souffle d'air longe mon corps,
il doit provenir d'une faille ? Tout d'un
coup, une secousse fait bouger tout
l'ensemble sur lequel je suis allongé
dans une position mal aimé.
Ce mouvement terrestre fait déplacer
ce qui me retient bloqué, ouf,ce brève
instant me soulage. Les vibrations du
sol continuent, ils augmentent ma peur
que je tente de maîtriser.
La partie haute, qui se trouve a la
hauteur de ma poitrine, se met a bouger.
Ce béton produit un sifflement striant
en se frottant l'un sur l'autre.J'ai peur,
forces,
- A l aide , A l'aide, A l'aide.
Cette action me redonne de la volonté
de rester en vie, il faut que je m'en
sorte.
Je n'ai plus de notion du temps, j'ai
faim et soif, je crie a nouveau
- pitié venez m'aider.
Je m' arrête de parler . Rien ni fait
certain que je suis perdu a jamais ;
puis, soudain, une petite clarté travers
cet enchevêtrement de béton. Cette
luminosité c'est comme un espoir qui
vient du ciel, une louange qui me
redonne du courage. Je recommence a
crier de plus belle,
- A l'aide , Au secoure, venez m'aider
je suis bloqué.
Je transpire, mes efforts s'épuise ;
bourrer mes oreilles, elles me fond mal
a la tête, puis soudain une nouvelle
secousse fait trembler l'ensemble de
cette enchevêtrement de béton. J
Je ne prend pas peur car mon
désespoir est loin. L'espérance détient
la clé de ma chance que j'ai puisque je
suis en vie.
Cette réplique est plus forte que la
précédente. Je pries a pleine voix.
Tous bougent et se déplacent avec
frottements préoccupant. La plaque,
sur laquelle mon corps est couché, se
casse ; je m'enfonce de plus d'un
mètre.
La lumière au loin devient plus
grande, et dans sont rayon un nuage
de poussière se reflètent. Cette
poussière m'empêche de respirer. J'ai
tremblements on déplacé le béton. Je
dispose de plus d'espace pour me déplacer.
Je remercie le ciel par cette délivrance
qui me permet de bouger et d'observer de
nouveaux recoins où peut être, je trouve de
quoi me nourrir ou boire.
Une lambeau de ma chemisette me permet
d'en faire un filtre pour respirer, je le place
devant ma bouche. Enfin, j'arrive par respirer
de l'air moi poussiéreuse et plus propre.
Je me remet a crier,
- A L'aide , A l'aide, Venez m'aider.
Dans le vide sur ma droite une voix d'enfant
me répond,
- Où vous trouvez vous ?
Je reprend espoir car je ne suis plus seul
dans se labyrinthite de débris de toutes sorte.
Cette voix me réconforte plus que tout.
- Parles gamin, pour que j'arrive a te trouver.
Sur le parcours de mon déplacement a plat
jambes. Cette rencontre me provoque une
profonde douleur. Je n'y prête une attention
et surpasse ma force pour la dégager. Mes
intentions de survie ont décuplé, il faut que
je trouve cette enfant.
Des nouvelles ondes sismiques nous inonde
puis, après ce bourdonnement des secousses
suivent. Des grincements ébranlent l'ensemble
de la montagne de débris. L'enfant crie,
- Monsieur, monsieur je suis là.
- Je me rapproche de toi bonhomme.
- Monsieur j'ai soif,
- Je fais de mon mieux, parle encore pour
que je te reperd.
Je rampe et je dois éviter pas mal de blocs
de gravas de béton. Certains sont coupant.
- Monsieur, monsieur j'ai mal et j'ai soif.
- Je me rapproche mon petit homme,
continues de parler pour que je te trouve.
moi il ne reste plus que trois pas.
- Il faut que j’arrive a contourner ce
bloc de béton sois patient.
- Je vous voie monsieur, sur le
dessus de ma tête par un grand
trou.
J'arrive au-dessus de lui, puis je me laisse
glisser a coté de cet enfant qui hurle et se
met a pleurer de joie de m'avoir a ses coté.
Je lui tient la main pour que nous partageons
mutuellement notre souffrance et surtout pour
nous donner de l'espoir.
Le silence revient, les ondes sismique se
sont tu. La clarté augmente comme le volume
du curant d'air. Nous pouvons respirer plus
facilement.
D'une armoire métallique coule un liquide
sans odeur, certainement de l'eau ?
J'ouvre la porte et avec chance je découvre
réserve d'eau conditionné va sauver notre soif
Je prend une bouteille et la dévisse. Je la
goutte puis la partage avec l'enfant.
Je bois a mon tour, et lorsque cette eau
coule dans ma bouche pâteuse, j'apprécie la
raison d’être. Ce coup de bonheur gonfle mes
intentions de m'en sortir. La lumière augmente
et me permet de distinguer ce qui m'entoure.
Je remarque que l'enfant, d'environ 10 ans,
reste bloqué par le poids d'un réfrigérateur
remplie de bouteilles. Je l'allèche en sortant
toutes les bouteilles. Puis je le soulève et
parviens par libérer les jambes, de cette
fillette, que je pensais être un garçon.
Elle gémie et pleure tout en appelant sa
maman. Ses pleurs me redonnent la force
de crier,
- A l'aide, A l'aide, Au secoure, Au
secoure.
s'amenuise. Je suis sur le point de m'endormir
ou plus tôt de me laisser allé vers le chemin
de la mort.
- Aide moi, monsieur tu n'es pas seul.
Me chuchote cette petite voix d'enfant
- on sens sortira j'en suis certaine.
Ces paroles me redonnent l'envie de
prier, ensemble a haute voix on récite
des passages de l'évangile.
Je prend un morceau métallise pour
cogner sur une plaque de béton. Je
répète inlassablement mes gestes, le
bruit résonnent sous l'enchevêtrement
de béton.
Puis, une réponse vient vers nous.
Je pensais que c'était l'écot que produit
mon acharnement.
Je reste sens faire le moindre bruit,
et entend qu'effectivement, le son
Je redonne deux coups sur la plaque
de béton ; je fait un temps d'arrêt, puis
trois coups me reviennent.
Ce contacte renoues notre espoir,
j'embrasse l'enfant qui malgré ses
douleurs retrouve le sourire de la vie.
Je continu de frapper deux fois et
trois coups me reviennent ; je continu
ses gestes qui me fatiguent inlassablement.
Ma faiblesse me joue des tours, je n'ai plus
envie de braver du secoure.
La fillette prend la relève et continu de
tambouriner sur l'armoire, quant soudain , un
chien se rapproche de nous, il lèche les joues
de la fillette puis abois de plus belle.
Merci a tous ceux qui mettent leur
vie en danger pour sauver des gens.
JJM
La nouvelle est en cour de montage
des changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain
amateur.
écrit le 06 04 2010, remis a jour le 22 11 2019
a ce jour, 22 11 2019, 117 387 lecteurs.
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SOMBRE SANS UNE OMBRE.
Mes muscles sont comme tétanisé
et mes articulations reste paralysé par
cette masse qui m'empêche de bouger.
Que vient 'il de m'arriver ? Plus de bruit
autour de moi, plus de clarté, il n'y a
que du noir en plus j'ai du mal a respirer.
Serai je dans une tombe entrain de me
réveiller ???
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Rien n'y fait, j'ai beau vouloir mequestionner. Une peur enivre mes
pensées je suis perdu a jamais ?
Des ondes envahissent mes oreilles,
je suis comme un zombi qui capte tous
ce qui parait irréelle.
Un petit souffle d'air longe mon corps,
il doit provenir d'une faille ? Tout d'un
coup, une secousse fait bouger tout
l'ensemble sur lequel je suis allongé
dans une position mal aimé.
Ce mouvement terrestre fait déplacer
ce qui me retient bloqué, ouf,ce brève
instant me soulage. Les vibrations du
sol continuent, ils augmentent ma peur
que je tente de maîtriser.
La partie haute, qui se trouve a la
hauteur de ma poitrine, se met a bouger.
Ce béton produit un sifflement striant
en se frottant l'un sur l'autre.J'ai peur,
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je tremble même et crie de toute mesforces,
- A l aide , A l'aide, A l'aide.
Cette action me redonne de la volonté
de rester en vie, il faut que je m'en
sorte.
Je n'ai plus de notion du temps, j'ai
faim et soif, je crie a nouveau
- pitié venez m'aider.
Je m' arrête de parler . Rien ni fait
certain que je suis perdu a jamais ;
puis, soudain, une petite clarté travers
cet enchevêtrement de béton. Cette
luminosité c'est comme un espoir qui
vient du ciel, une louange qui me
redonne du courage. Je recommence a
crier de plus belle,
- A l'aide , Au secoure, venez m'aider
je suis bloqué.
Je transpire, mes efforts s'épuise ;
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des ondes persévérante reviennentbourrer mes oreilles, elles me fond mal
a la tête, puis soudain une nouvelle
secousse fait trembler l'ensemble de
cette enchevêtrement de béton. J
Je ne prend pas peur car mon
désespoir est loin. L'espérance détient
la clé de ma chance que j'ai puisque je
suis en vie.
Cette réplique est plus forte que la
précédente. Je pries a pleine voix.
Tous bougent et se déplacent avec
frottements préoccupant. La plaque,
sur laquelle mon corps est couché, se
casse ; je m'enfonce de plus d'un
mètre.
La lumière au loin devient plus
grande, et dans sont rayon un nuage
de poussière se reflètent. Cette
poussière m'empêche de respirer. J'ai
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de plus en plus soif. La masse bouge car destremblements on déplacé le béton. Je
dispose de plus d'espace pour me déplacer.
Je remercie le ciel par cette délivrance
qui me permet de bouger et d'observer de
nouveaux recoins où peut être, je trouve de
quoi me nourrir ou boire.
Une lambeau de ma chemisette me permet
d'en faire un filtre pour respirer, je le place
devant ma bouche. Enfin, j'arrive par respirer
de l'air moi poussiéreuse et plus propre.
Je me remet a crier,
- A L'aide , A l'aide, Venez m'aider.
Dans le vide sur ma droite une voix d'enfant
me répond,
- Où vous trouvez vous ?
Je reprend espoir car je ne suis plus seul
dans se labyrinthite de débris de toutes sorte.
Cette voix me réconforte plus que tout.
- Parles gamin, pour que j'arrive a te trouver.
Sur le parcours de mon déplacement a plat
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ventre une armoire imposante tombe sur sesjambes. Cette rencontre me provoque une
profonde douleur. Je n'y prête une attention
et surpasse ma force pour la dégager. Mes
intentions de survie ont décuplé, il faut que
je trouve cette enfant.
Des nouvelles ondes sismiques nous inonde
puis, après ce bourdonnement des secousses
suivent. Des grincements ébranlent l'ensemble
de la montagne de débris. L'enfant crie,
- Monsieur, monsieur je suis là.
- Je me rapproche de toi bonhomme.
- Monsieur j'ai soif,
- Je fais de mon mieux, parle encore pour
que je te reperd.
Je rampe et je dois éviter pas mal de blocs
de gravas de béton. Certains sont coupant.
- Monsieur, monsieur j'ai mal et j'ai soif.
- Je me rapproche mon petit homme,
continues de parler pour que je te trouve.
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- Je suis là monsieur venez prêt demoi il ne reste plus que trois pas.
- Il faut que j’arrive a contourner ce
bloc de béton sois patient.
- Je vous voie monsieur, sur le
dessus de ma tête par un grand
trou.
J'arrive au-dessus de lui, puis je me laisse
glisser a coté de cet enfant qui hurle et se
met a pleurer de joie de m'avoir a ses coté.
Je lui tient la main pour que nous partageons
mutuellement notre souffrance et surtout pour
nous donner de l'espoir.
Le silence revient, les ondes sismique se
sont tu. La clarté augmente comme le volume
du curant d'air. Nous pouvons respirer plus
facilement.
D'une armoire métallique coule un liquide
sans odeur, certainement de l'eau ?
J'ouvre la porte et avec chance je découvre
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des bouteilles en plastic remplie d'eau. Cetteréserve d'eau conditionné va sauver notre soif
Je prend une bouteille et la dévisse. Je la
goutte puis la partage avec l'enfant.
Je bois a mon tour, et lorsque cette eau
coule dans ma bouche pâteuse, j'apprécie la
raison d’être. Ce coup de bonheur gonfle mes
intentions de m'en sortir. La lumière augmente
et me permet de distinguer ce qui m'entoure.
Je remarque que l'enfant, d'environ 10 ans,
reste bloqué par le poids d'un réfrigérateur
remplie de bouteilles. Je l'allèche en sortant
toutes les bouteilles. Puis je le soulève et
parviens par libérer les jambes, de cette
fillette, que je pensais être un garçon.
Elle gémie et pleure tout en appelant sa
maman. Ses pleurs me redonnent la force
de crier,
- A l'aide, A l'aide, Au secoure, Au
secoure.
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Rien ni fait, le temps passe et notre espoirs'amenuise. Je suis sur le point de m'endormir
ou plus tôt de me laisser allé vers le chemin
de la mort.
- Aide moi, monsieur tu n'es pas seul.
Me chuchote cette petite voix d'enfant
- on sens sortira j'en suis certaine.
Ces paroles me redonnent l'envie de
prier, ensemble a haute voix on récite
des passages de l'évangile.
Je prend un morceau métallise pour
cogner sur une plaque de béton. Je
répète inlassablement mes gestes, le
bruit résonnent sous l'enchevêtrement
de béton.
Puis, une réponse vient vers nous.
Je pensais que c'était l'écot que produit
mon acharnement.
Je reste sens faire le moindre bruit,
et entend qu'effectivement, le son
10
vient d'autre par ?Je redonne deux coups sur la plaque
de béton ; je fait un temps d'arrêt, puis
trois coups me reviennent.
Ce contacte renoues notre espoir,
j'embrasse l'enfant qui malgré ses
douleurs retrouve le sourire de la vie.
Je continu de frapper deux fois et
trois coups me reviennent ; je continu
ses gestes qui me fatiguent inlassablement.
Ma faiblesse me joue des tours, je n'ai plus
envie de braver du secoure.
La fillette prend la relève et continu de
tambouriner sur l'armoire, quant soudain , un
chien se rapproche de nous, il lèche les joues
de la fillette puis abois de plus belle.
Merci a tous ceux qui mettent leur
vie en danger pour sauver des gens.
JJM
La nouvelle est en cour de montage
des changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain
amateur.
écrit le 06 04 2010, remis a jour le 22 11 2019
a ce jour, 22 11 2019, 117 387 lecteurs.
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