UN REVE, LES POMMES DU VERGER ( nouvelle 93 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Les pommes du verger, d'après mon dernier
rêve
Mon verger est jeune, ses troncs vont en dire
long. La production de pommes de ce temps là,
permet de donner du travail a 55 personnes.
Ces 55 personnes sont composé de 20
cueilleurs saisonnier, de deux porteurs et de
18 personnes qui les trient pour les mettre en
emballage pour le transport.
Ce monde travailleur nécessite un
encadrement de 10 personnes, deux comptables,
trois livreurs, deux gestionnaires , deux chef
d'équipes, un contremaître, un patron directeur
et moi même le fondateur.
représente le salaire minimum imposé pour les
cueilleurs , le porteur touche une prime de 10
pour cent de plus que le salaire minimum. Les
18 personnes qui sont au triage ont un salaire
correspondant a leur rendement. Les deux
comptables ont chacun un salaire double d'un
cueilleur. Les gestionnaires sont payé d'après la
vente avec une fourchette minimum qui dépasse
de 10 pour cent a celui des comptables. Les
livreurs ont un salaire fixe toute l'année qui ne
dépasse pas le salaire d'un porteur. Les deux
chefs d'équipe ont un solaire supérieure de 30
pour cent a celui d'un comptable et le directeur
a 10 fois plus qu'un chef d'équipe et moi , le
fondateur, je ramasse le bénéfice qui dépasse
celui du directeur, je ne m'en plein pas.
Les arbres de mon verger grandissent et notre
récolte augmente comme le bénéfice. J'achète
un autre verger, et, au fil des années me voilà
même nombre de personnes.
Durant ces années une loi oblige les créateurs
d'entreprises de partager le bénéfice sous forme
de participation. Cette participation est calculé
selon le salaire récolté mais m'est disponible qu'a
la 6 années.
Cette situation n'est pas alarmante, les salaries
en sont émerveillé et travaillent sans relâche. La
production de pommes augmente a telle point
que ma société laisse certain verger a l'abandon,
pour éviter le vole le mieux serai de couper les
pommiers.
Il y a une autre solution c'est de les vendre a
une autre société, mais là, ce serait un conçurent
et le libre cour se trouverait défavorable
a l'entreprise donc, détruisons certains vergers.
Six années se sont écoulé depuis la première
distribution de participation au bénéfice, il va
falloir partager . Pour mettre en déficit ma
calcule en comptant le bénéfice versé, et la
valeur des vergers détruits . Je ferme la porte
avec comme excuse, la société n'est plus
rentable.
Quant le pommier produit avec bénéfice
c'est une réussite mais quant il faut partager,
l'argent récolté, cela devient un déficit.
Je me réveille comme ébloui par cette
révélation et revient sur terre pour accepter
toutes les fausses informations.
écrit le 20 02 2013, remis a jour le 10 07 2021
A ce jour 02 12 2018, 107 075 lecteurs.
A ce jour, 10 10 2019, 116 200 lecteurs.
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UN RÊVE, LES POMMES DU VERGERLes pommes du verger, d'après mon dernier
rêve
Mon verger est jeune, ses troncs vont en dire
long. La production de pommes de ce temps là,
permet de donner du travail a 55 personnes.
Ces 55 personnes sont composé de 20
cueilleurs saisonnier, de deux porteurs et de
18 personnes qui les trient pour les mettre en
emballage pour le transport.
Ce monde travailleur nécessite un
encadrement de 10 personnes, deux comptables,
trois livreurs, deux gestionnaires , deux chef
d'équipes, un contremaître, un patron directeur
et moi même le fondateur.
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Chaque personne mérite un salaire ce quireprésente le salaire minimum imposé pour les
cueilleurs , le porteur touche une prime de 10
pour cent de plus que le salaire minimum. Les
18 personnes qui sont au triage ont un salaire
correspondant a leur rendement. Les deux
comptables ont chacun un salaire double d'un
cueilleur. Les gestionnaires sont payé d'après la
vente avec une fourchette minimum qui dépasse
de 10 pour cent a celui des comptables. Les
livreurs ont un salaire fixe toute l'année qui ne
dépasse pas le salaire d'un porteur. Les deux
chefs d'équipe ont un solaire supérieure de 30
pour cent a celui d'un comptable et le directeur
a 10 fois plus qu'un chef d'équipe et moi , le
fondateur, je ramasse le bénéfice qui dépasse
celui du directeur, je ne m'en plein pas.
Les arbres de mon verger grandissent et notre
récolte augmente comme le bénéfice. J'achète
un autre verger, et, au fil des années me voilà
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a la tête de 10 vergers que j'exploite avec lemême nombre de personnes.
Durant ces années une loi oblige les créateurs
d'entreprises de partager le bénéfice sous forme
de participation. Cette participation est calculé
selon le salaire récolté mais m'est disponible qu'a
la 6 années.
Cette situation n'est pas alarmante, les salaries
en sont émerveillé et travaillent sans relâche. La
production de pommes augmente a telle point
que ma société laisse certain verger a l'abandon,
pour éviter le vole le mieux serai de couper les
pommiers.
Il y a une autre solution c'est de les vendre a
une autre société, mais là, ce serait un conçurent
et le libre cour se trouverait défavorable
a l'entreprise donc, détruisons certains vergers.
Six années se sont écoulé depuis la première
distribution de participation au bénéfice, il va
falloir partager . Pour mettre en déficit ma
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société, et licencier des personnes je fais uncalcule en comptant le bénéfice versé, et la
valeur des vergers détruits . Je ferme la porte
avec comme excuse, la société n'est plus
rentable.
Quant le pommier produit avec bénéfice
c'est une réussite mais quant il faut partager,
l'argent récolté, cela devient un déficit.
Je me réveille comme ébloui par cette
révélation et revient sur terre pour accepter
toutes les fausses informations.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.écrit le 20 02 2013, remis a jour le 10 07 2021
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