PROMOTION ( nouvelle n 17 )
mirage au dessus des nuages sage n 1
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PROMOTION
Dans ce siècle qui prime la cohérence se
passe des actes dignes d'une vraie négligence.
Dans les universités réussir demande de
parcourir un diapason jonché d'obstacles
parfois contraignants.
Un grand nombres de ces étudiants tentent,
comme le veut le gouvernement, d'obtenir le
plus grand nombres de diplômes ( bagages ).
Voila une histoire qui trace la réussite par
une sagesse digne d'une société qui glisse
vers la décadence !
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Il est trois heures du matin, le réveillevient de sonner et il va falloir ne pas égarer
son temps pour se laver, prendre le café et
d'autres se raser. Le transport en bus est
très précis, le manquer demande une
compromission.
Arlette se regarde dans le miroir de sa
salle de bain, une certaine admiration comble
ses pensées. Elle se dit que ce visage la
vaut bien plus que ce qu'elle possède
actuellement. A partir de ce moment la que
son enthousiasme prend une tournure
fondamentale. Elle se maquille comme une
poupée de mode, elle badine son pas pour
équilibrer une démarche d'oie, blanche de
tout soupçon. Elle est appétissante par
cette beauté naturelle qui devient pour elle
une louange qu'elle ne veut en aucun cas
dissuader a la seule valeur de la vue.
Arlette fait émouvoir cette chaleur par un
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angle de préméditation qu'elle épouse dansles règles de son art.
Son chef de poste lui eut fait certaines
remarques plaisantes qu'elle conjuguent dans
un auxiliaire affranchi de tout affront. Elle
retient une remarque faite sur sa personne,
celle qui dit que sa physionomie est très
photogénique ; Elle mérite de figurer dans une
revue de starlette ?
Depuis ce moment la cette révélation fait
bouillonner son sang ainsi que ses sentiments.
Chaque fois qu' elle remarque que son chef la
regarde elle ressent une poussé d'adéquation.
L'orbite qu'elle congénère la traverse d'une
influence primesautière. Elle devient amer
sur toute exclamation venant de son entourage
ouvrier. La seule façon de faire évaluer la valeur
de sa ristourne consiste simplement de se laisser
entraîner par ses supérieurs.
Voila une parure de sage qui ne tarde pas a
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faire effervescence dans sa parure de starlette.Cette culture d'obsession lui dit que de rester
ouvrière c'est galvaniser un mécanisme de
pauvre qui, en aucune sorte ne parviendra a
la faire évoluer dans sa carrière.
Dans le bus elle fait la belle compromettant
sa personne. Les ( on dit ) volent contre sa valeur.
Dans sa vie de famille elle n'en tire le moindre
objectif. Son mari lui semble obèse et ses enfants
sont d'une turbulence révoltante.
Elle émet par son parfum et par son charme
mélodieux, près des machine a coudre , une
onde d'endoctrinement qui attire ce chef de
bonne augure.
Au file des jours, son audace porte ses fruits
car elle finit par éblouir ce personnage de faible
ténacité. Elle ne tarde a récolter ce qu'elle eut
semé, un clients achalandés.
Elle parvient de monter de grade et détient
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un porte de dépanneuse sur machine a coudre.Ce premier pas vers la réussite ne s'arrête pas
la , elle éblouit ses supérieurs pas a pas.
De promotion en évolution elle se hisse vers
la perfection. La voila dans un grand bureau,
au commande de la gestion salariale de ses
ancien camarades salarier.
Ce sont ses beaux yeux qui ont suffit par
faire avancer la machine a évoluer. Elle a
tout simplement dédaigné sa vie conjugale .
Une autre ouvrière, Aline, une adolescente
travaille dure pour encensé a la marge des
diplômes. Pour qu'elle y parvienne, une
astreignante capacité financière l'oblige a
trouver du travail pour survivre. Elle donne des
cours de français a des écoliers, fait des heures
de nettoyages et se prive de certains loisirs.
Elle a eut ses vingt deux ans et son ( bac )
avec mention.
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La poursuite pour trouver un emploi devientinfernal, partout toutes les portes sont closes.
Ses intentions sont parsemé d'obstacles
contraignants pour toute demande d'embauche.
Les remarques sont arbitraires par des , sois
qu'elle a trop de bagages ( diplômes ) , sois
qu'elle n'a pas assez de formation, sois qu'elle
ne convient physiquement au chef de service.
C'est par une porte primaire qu'elle parvient
enfin a se placer dans une usine comme
couturière sur une machine.
Elle y coud des pièces et des pièces et encore
des pièces. Le matin elle se levé a trois heure
pour faire sa toilette, son petit déjeuné et de ne
perdre son temps car le bus ne l'attend pas.
Dans le miroir de sa salle de bain elle voie
une marque de fatigue sur son visage, stressé
par l'exploitation.
Son chef est très polit avec Aline ; il tente de
l'isoler sur ses sentiments de jeune femme,
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malgré qu'il a une bonne dizaine d'année de plusqu'elle.
Il a un grand appétit de jeune fille et sa
gourmandise le rend osé vus son statu, il ne
manque pas de lui faire des avances.
Chez Aline ces propositions ne lui rapporte
la moindre parure. Aline tient tête et ne se
laisse assujettir par cette assiette de boniment.
Elle accroît une réaction contradictoire aux
intentions de ce supérieure.
Hélas, elle ne récolte que peu de vanité.
L'avenir pour elle ne lui permettra de gravir les
marches de l'évolution de carrière.
Dans le privé l'on ne se prive de faire
opposition sur l'évolution de carrière des
personnes aux capacités de vouloir gravir les
marches lorsque elles tentent de garder leur
dignité.
JJM
La nouvelle est en cour de montage, des
changements peuvent suivre. Auteur
Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 23 03 2010, remis a jour le 15 10 2019.
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JJM
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