PRINCESSE ( nouvelle n 87 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
J'écoute avec enchantement, le son
de cette voix fébrile que le grand âge eut usé
avec finesse et qui me plonge dans son récit
comme un écolier émerveillé. Je tente de
devenir un mage parmi les sages qui se
laisse passionné d'histoires anciennes.
Pour moi, je vie dans les envoûtements d'un
conte, un , qui hypnotise mes pensées et
enivre mon attention. Je suis emporté vers
son passé. De cette sincérité je me glisse sur
une piste où la tendresse rime avec amour
malgré la clarté de ses grand jours.
Il n'y a qu'une chose qui me trouble, c'est
l'influence de l'époque , celui de la seconde
guerre mondiale.
personne en tentant d’analyser et trouver des
indices supplémentaire. Par moment son
caractère ahurie marque des malheurs, et
parfois des sourires enchanteur. Ces yeux
exhaustifs se vitrifie comme du cristal de
Baccara. Puis, une gomme de mots, la
transporte vers ses malheurs ,
- Je suis veuve depuis deux ans et mon
bonheur revient quant je vous raconte mes
histoires de jeunesse. La guerre est une
infamie car elle entraîne les gens vers des
folies meurtrière qui sont géré par de hauts
fonctionnaire, ceux qui nous dirigent et nous
oblige. Il s'y additionne de petits malin qui
font valoir des droits basé sur des propos
propre a leur conclusion. Bref, venons en a
notre libération, la fin de cette pénible guerre.
Je suis encore émerveillé par la beauté de
ces soldats libérateur au visage tamisé de
jeune adolescente.
Son visage semble se rajeunir par un
sourire remplie de joie. Ma fille Belle se trouve
a coté de moi, elle lui demande,
- Belle voudrais tu prendre la garde de ce
vieux bijoux, une réplique en miniature de
la statue de la liberté, je l' avais reçu d'un
jeune soldat venu d' Amérique a la libération.
- Oui Mémé, cela me ferait le plus grand plaisir
- Je te les remettrais a la fin de mon histoire
Belle.
Un grand silence , puis, elle reprend son histoire,
- Dans le ciel , de nombreux vole d'oies
marquent la venu du grand froid. Ils viennent
de quitter le grand nord pour rejoindre des
régions plus chaude . Leur passage annonce
la venu d'un hiver glacial. Nous n'y prêtons
qu'une faible attention car dans le fond de
nos coeur une chaleur sentimentale trouve
nous envoûte. Plus rien d'autre n'a
d'importance seule la foi que nous portons
l'un envers l'autre charme notre bonheur.
Dans ce soldat venu d ' Amérique, j'eus trouvé
mon équilibre.Sa beauté relève du fantastique
et ses paroles signent un langage riche en
raisonnement dans un bon français. Il me
parle d'amour pour effacer l’horreur de cette
maudite guerre qui a du mal a prendre fin.
Une rancune filtre ses convictions, celle pour
que les victimes martyrisé, retrouvent leur
liberté. Nos sentiments amoureux, engendre
des promesses faite pour durer une éternité.
Le soldat me promet le mariage a la fin de la
guerre . Pour l'instant son détachement reste
stationné plusieurs semaine autour de la ville
et tout les soirs, l'on se rencontre dans le noir.
Nous ne manquons d'audace quitte a braver
les interdictions et par s'unir fiévreusement.
une fille de cette citée ouvrière, être appelé
( Princesse )? c'est donner du miel a des
cochons, me disaient mes copines de classe.
Mais, la guerre n'a de répits et le détachement
prend la route vers Strasbourg pour suivre
l’ennemie dans sa déroute jusqu’à Berlin.
Les mois passent et les lettres suivent son
déplacement comme une trace de son
engagement. Je fis part du même
envoûtement en cultivant les mêmes
sentiments fiévreux que gère un véritable
amour. Un jour mes écrits, envoyé a
Strasbourg, là où campe son détachement ,
reviennent avec comme mention
( n'est plus joignable a cette adresse ?)
Mon inquiétude grandi plus que tout, a il
été victime au combat ?
Plus de nouvelle , je ne garde plus que
son souvenir. Quelques années plus tard,
j'apprends qu'il fut passé par la cour militaire
et fusillé car il eut refusé de porter une arme
pour tirer sur des gens.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 21 01 2012, remis a jour le 25 10 2019.
A ce jour , 21 01 2019, 5792 lecteurs .
a ce jour, 25 10 2019, 116 677 lecteurs.
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PRINCESSEJ'écoute avec enchantement, le son
de cette voix fébrile que le grand âge eut usé
avec finesse et qui me plonge dans son récit
comme un écolier émerveillé. Je tente de
devenir un mage parmi les sages qui se
laisse passionné d'histoires anciennes.
Pour moi, je vie dans les envoûtements d'un
conte, un , qui hypnotise mes pensées et
enivre mon attention. Je suis emporté vers
son passé. De cette sincérité je me glisse sur
une piste où la tendresse rime avec amour
malgré la clarté de ses grand jours.
Il n'y a qu'une chose qui me trouble, c'est
l'influence de l'époque , celui de la seconde
guerre mondiale.
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J'observe le mouvement du visage de cettepersonne en tentant d’analyser et trouver des
indices supplémentaire. Par moment son
caractère ahurie marque des malheurs, et
parfois des sourires enchanteur. Ces yeux
exhaustifs se vitrifie comme du cristal de
Baccara. Puis, une gomme de mots, la
transporte vers ses malheurs ,
- Je suis veuve depuis deux ans et mon
bonheur revient quant je vous raconte mes
histoires de jeunesse. La guerre est une
infamie car elle entraîne les gens vers des
folies meurtrière qui sont géré par de hauts
fonctionnaire, ceux qui nous dirigent et nous
oblige. Il s'y additionne de petits malin qui
font valoir des droits basé sur des propos
propre a leur conclusion. Bref, venons en a
notre libération, la fin de cette pénible guerre.
Je suis encore émerveillé par la beauté de
ces soldats libérateur au visage tamisé de
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terre et qui ont fait monter ma tentions dejeune adolescente.
Son visage semble se rajeunir par un
sourire remplie de joie. Ma fille Belle se trouve
a coté de moi, elle lui demande,
- Belle voudrais tu prendre la garde de ce
vieux bijoux, une réplique en miniature de
la statue de la liberté, je l' avais reçu d'un
jeune soldat venu d' Amérique a la libération.
- Oui Mémé, cela me ferait le plus grand plaisir
- Je te les remettrais a la fin de mon histoire
Belle.
Un grand silence , puis, elle reprend son histoire,
- Dans le ciel , de nombreux vole d'oies
marquent la venu du grand froid. Ils viennent
de quitter le grand nord pour rejoindre des
régions plus chaude . Leur passage annonce
la venu d'un hiver glacial. Nous n'y prêtons
qu'une faible attention car dans le fond de
nos coeur une chaleur sentimentale trouve
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son bonheur. Une effervescence amoureusenous envoûte. Plus rien d'autre n'a
d'importance seule la foi que nous portons
l'un envers l'autre charme notre bonheur.
Dans ce soldat venu d ' Amérique, j'eus trouvé
mon équilibre.Sa beauté relève du fantastique
et ses paroles signent un langage riche en
raisonnement dans un bon français. Il me
parle d'amour pour effacer l’horreur de cette
maudite guerre qui a du mal a prendre fin.
Une rancune filtre ses convictions, celle pour
que les victimes martyrisé, retrouvent leur
liberté. Nos sentiments amoureux, engendre
des promesses faite pour durer une éternité.
Le soldat me promet le mariage a la fin de la
guerre . Pour l'instant son détachement reste
stationné plusieurs semaine autour de la ville
et tout les soirs, l'on se rencontre dans le noir.
Nous ne manquons d'audace quitte a braver
les interdictions et par s'unir fiévreusement.
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Il m’appela ( princesse ) ce qui me troubla, moi,une fille de cette citée ouvrière, être appelé
( Princesse )? c'est donner du miel a des
cochons, me disaient mes copines de classe.
Mais, la guerre n'a de répits et le détachement
prend la route vers Strasbourg pour suivre
l’ennemie dans sa déroute jusqu’à Berlin.
Les mois passent et les lettres suivent son
déplacement comme une trace de son
engagement. Je fis part du même
envoûtement en cultivant les mêmes
sentiments fiévreux que gère un véritable
amour. Un jour mes écrits, envoyé a
Strasbourg, là où campe son détachement ,
reviennent avec comme mention
( n'est plus joignable a cette adresse ?)
Mon inquiétude grandi plus que tout, a il
été victime au combat ?
Plus de nouvelle , je ne garde plus que
son souvenir. Quelques années plus tard,
j'apprends qu'il fut passé par la cour militaire
et fusillé car il eut refusé de porter une arme
pour tirer sur des gens.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 21 01 2012, remis a jour le 25 10 2019.
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