LIBRE (nouvelle 102)
LIBRE
Qui est libre , a part le vent qui
passe par tout temps ?
La France libre n'est plus loin de là,
elle se rapproche a grand pas. Dans l'armée
Allemande il faut du renfort , du renouveau,
elle se sent faiblir. Leur perte peut être
proche ? De ce pas elle incorpore en toute
liberté les jeunes garçons de notre région. Ils
ont à peine dix sept ans ce qui ne les prive
d'aucune incapacité pour rejoindre le front !
Deux copains, Joseph et George, reçoivent
chacun une convocation que vient de leur
rapporter un représentant de la Gestapo.
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Une provocation qui trace dans leur jeunecœur un grand malheur : celui de devoir
servir un idéale qui n'est pas le leur.
Dans leur pensée vagabonde, trottent des
sentiments qui détournent la haine, le crime
et tous les actes injustes qui ont un rapport
avec cette maudite guerre. Mais, aucune
excuse ne trouve sa juste valeur. Il n'y a
pas de solution qui arbitrait cette obligation
de servir un pays qui n'a de bonne foi.
Des tristes révélations planent autour
d'eux ; l'interception des ondes secrètes et
des paroles dite en sourdine par leurs
camarades. Ceux qui étaient en classe ou
au travail avec eux et qui ont quitté le
village sans faire parvenir des nouvelles du
front de Russie. Certaines paroles prétendent
qu'ils sont tombé, avec honte, dans des
conditions de précarité contraire aux
informations fourni par l'occupant.
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Toute ces remarques cumulent une volontécontradictoire en une ambition qui épouse
une forme de complot. Ce sont ces termes
là qui germent une juste impulsion. Ils ne
sont pas les seuls car, certaines personnes
épousent de révoltante conspirations. Un
nombre se perd dans le maquis pour ci
cacher. Certains se transforment en
déserteur et traversent la frontière Suisse
pour trouver protection puis rejoindre la
France libre engagé contre l'oppresseur.
Leur convocation attise une profonde
provocation pour Joseph et George. Le
courage trouvent dans cette obligation une
marge inaltérable dans leurs sentiments.
Leur plénitude se mette a imaginer de
nombreuses possibilités permettant de
contourner cette obligation. Il est difficile
de monter un complot contre la grande
armée Allemande, c'est comparable a une
pierre que l'on lance dans la mer dans
l'espoir de la faire déborder.
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Les possibilités tiennent des conclusionsimpossible a tenir. Toutes les idées
deviennent immatérielle, rien ne prime une
action raisonnable.
Peut être que ci, ils se mettent a parler
d'une éventuelle accident qui les invaliderait
le plus simplement du monde !
- c'est une solution simple a élucider
Déclare Joseph d'un ton ferme et
entreprennent.
- je me coupe la main gauche, d'un coup
de hache.
Mais George ne se laisse enjoliver dans cette
sale histoire. Après avoir réfléchit un petit
moment qu'il dit avec un air très réfléchi.
- comment peux tu te couper une main,
avec quelle audace et te soigner comment
le feras tu ? Tu risques de perdre tout le
sang, et ensuite il faudra l'expliquer a la
Gestapo ?
- Tu sais l'ami Robert, le sabotier, ça lui est
arrivé
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- Oui bien sur, mais lui travaille le bois, cefut son explication
- Tu as raison, il vaut mieux que je renonce
a cela, avec une main l'avenir dans mon
travail sera perturbé.
Ils n'ont pas tord ces deux copains, l'avenir
dépend du fruit que tu cultives aujourd'hui, ils
tentent de trouver une autre solution. Sans
tarder une lumière vient leur éclairer leurs
idées. Sur ceux, Joseph dit,
- Un grand nombre de maquisards
provoquent des attentas, ci nous nous
blessons avec la carabine de ton père,
nous dirons que ce sont les maquisards
qui nous ont prit comme cible dans la foret
en allant chercher du bois.
- C'est une bonne idée, optons pour cette
manœuvre et je suis prêt a chercher le
fusil de mon père, je sais où il est caché,
il ne saura rien.
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Nos deux compagnons quittent le villagedans l'après midi même, ils doivent faire vite ;
Il ne reste que deux jours avant d'être
incorporé. Ils emportent le nécessaire pour
faire des bûches qu'ils placent sur une
charrette en bois. Puis ils partent en direction
de la colline coiffé par une luxurieuse foret de
charmes et de hêtres. Sur leur parcours le
chemin passe par des champs de blé, par les
vergés du maître de l'école du village et les
vignes qui sont la propriété de la tenancière
du café. Puis ils contournent l'étang
appartenant à la commune. C'est ici que de
nombreuses grenouilles croassent et que des
cigognes y pêchent leur nourriture.
La venu de ces promeneurs imprévisible
provoquent un bouleversement dans la
contrée. La musique de la vie animal se mue
momentané. La poursuite de leurs intentions
n'est troublé par aucune attention sentimentale .
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Ils se laissent guider par l'objectif , pénétrerdans la foret . Le bruit de leurs pas s'atténue
au regard des indiscrets. De cette colline, a
l'orée du bois, notre regard domine le village.
Il est certain que n'importe quelle personne
aurait pu les dénoncer en conspirant avec la
Gestapo.
La route devient rocailleuse et, des
ornières creusée par le passage fréquent des
véhicules militaire, rend la poursuite chaotique.
Le frottement des cercles métallique, qui
entourent les roues, provoquent des bruits
grinçant dans cette immense cathédrale inondé
de feuillages . Le bruit de leur déplacement se
répercute au alentour. Leur pensées active
une peur , celle qu'un éventuelle témoin
puisse découvrir leur intentions.
L'impraticabilité de ce chemin ne favorise
leur démarche car ce chahut fait découvrir la
crosse du fusil qui glisse de la couverture
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qui le recouvre. Puis c'est au tour du canonbrillant comme de l'argent poli qui apparaît.
Ce qui les met dans une incertitude totale,
heureusement que personne ne vient a leur
rencontre, ouf.
Dans cette vaste foret se trouve un grand canon
d'artillerie qui peut se déplacer sur une voie ferré.
Il est capable de tirer des obus sur plus de quarante
kilomètres. Les gens de la région l'appelle
( la grosse Berta ). Pour qu'il sois protégé des
regards indiscrets, une grande zone de sécurité le
contourne. Les rondes des gardes militaires sont
nombreuses et leur contrôle est rigoureux. Ses
individus ont le droit de pénaliser les indiscrets .
Dans leur coeur de combattant il y a la devise du
gagnant, un comportement envahi par le fanatisme
Nazis. Mais se sont des êtres humains qui pour leur
bien être se gavent de fantaisies, a la fin de leur
ronde, chez la mère Élise tenancière du café du serf.
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Là, ils apprécient le vin produit par la tenancière.Une propre récolte qui la rend fière.
Les vignes poussent près du chemin que les deux
compagnons ont emprunté. Ce vin fait d'hybride a le
goût sucré et parfumé a la poire Williams. C'est une
de ses recettes qui en est la raison car elle a
mélangé avec le jus noir et épais de son vin hybride
celui du jus très sucré de poires. Elle y additionne ,
sur deux cents litres de jus de vin et cent litres de
poire, trois litres de schnaps le tout conservé dans
un fut de chêne. Cette préparation, une fois reposé
durant une année, ce bois comme une cuvé de grand
chois, sa valeur calorifique en alcool provoque un
bien être.
George et Joseph y ont goûte, avant de monter
dans la foret, pour leur donner la force
d'entreprendre l'acte prémédité. Cette boisson
sucrée rente gai a petite dose mais, cette fois ci
une triple dose occupe leur estomac. Une
réaction imprévisible tracte leur comportement.
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Les jambes s'alourdissent et leur force faiblit. Ilsse placent devant la croix de l'intersection des
quatre chemins pour un moment de réflexion.
Il n'ait un silence, seul témoin de leurs intentions.
Les oiseaux sifflent a nouveau. Le coucou cherche
une compagne et la réflexion se mue de toute
interférence. George empoigne le fusil de dessus
la couverture et le pointe contre les muscles de sa
jambe gauche. Sans hésitation il appuie sur la
gâchette et un fracas de coup de feu retendit. La
douleur devient insupportable et l'incapacité l'oblige
de prendre assise sur la charrette. D'une importante
plaies coule du sang le long de son pantalon jusqu'au
sabot. Il gémit de plus belle et dit a Joseph
- tire la charrette hors de la foret, je souffre
beaucoup.
- oui mais moi aussi je dois me blesser, je me tire
une balle dans la main puis je jetterais le fusil
dans l'étang.
- tu as raison, ensuite tu chercheras du secoure.
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Leurs intentions suivent . La charrette est tiréjusqu'à l'étang puis, Joseph retourne dans le bois
pour se tirer une balle dans la main droite. Le
parcours du projectile lui brûle la chair en éclatant
la main. Du sang jaillit rapidement sur ses vêtement
car il sert sa main contre son ventre par douleur.
Il coure en direction de l'étang pour rejoindre George
et jette le fusil dans l'étang.
Dans un remous le fusil disparaît au fonds. George
gémit interminablement sur la charrette. La blessure
provoque un mal imprévisible, ils n'y avaient pas
pensée. Joseph a du mal pour tirer la charrette
malgré que le chemin descende de la colline. La
souffrance de sa main contrôle la raison ; incapable
de tirer la charrette il l'abandonne et sens vas
chercher du secoure.
Au même moment la sirène d'alerte hurlent a
travers la foret. Au loin des bruits de véhicules
militaire vrombissant. La course de Joseph,
dépasse l'étang de 200 mètres, des véhicules
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aux couleurs militaire l'entourent . Les soldats sontlourdement armé. Ils prennent Joseph en joue ainsi
que George sur sa charrette. Une peur les envahis
malgré leur douleur.
- ne tirez pas, ne tirez pas, nous ne possédons
pas d'arme.
Les soldats remarquent leur désarmement . Ils
se rapprochent d'eux et les questionne .
- que vient' il de vous arrivez ?
- mon copain George et moi nous venons d'être
agresse par un groupe de maquisard, ils nous
ont prit pour cible !
- sont 'il nombreux ?
- a plusieurs, mais la rapidité de leur agression
ne nous permettait pas de les compter, on
avait trop peur et nos douleurs sont devenu
notre inquiétude
- mais que faite vous dans la foret, que cherchez
vous ?
- on ramassait du bois mort pour le chauffage,
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j'ai la carte délivré par la mairie, j'ai le droitde la faire.
Un des soldats , gradé, soigne les blessés avec
beaucoup de savoir faire, certainement qu'il travaille
dans un hôpital ? Au alentour de nombreux
véhicules militaires circulent, un vrais branle bas de
combat. Un remue ménage qui élève des nuages de
fumé rendant le lointain brumeux. Dans l'air une
odeur d'échappement nous enivre. Cette troupe,sur
le qui-vive , est gonflé a bloc pour affronter
l'ennemie.
Au bout d'environ une demie heure, des hommes
en civile, habillé de longue veste en cuir noir nous
questionnent. L'infirmier demande au deux hommes
d'attendre quelque instant pour qu'il puisse les
soigner. Il propose même de les conduire dans l'école
pour pouvoir y donner des soins raisonnable vue la
poussière qui nous entoure.
Dans la foret les recherches se poursuivent ; les
deux compagnons sont transporté dans l'école. Les
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hommes en civile ne les perdent de vue et mêmedurant les soins. Leur regard tente de les importuner
ou les apitoyer pour trouver la vérité. Le grand
canon est en danger, ils doivent trouver plus de
détailles sur ce commando qui certainement voulait
le détruire ?
George et Joseph ont du mal a expliquer ce qui
vient de leur arriver. Une peur surmonte le mal . Le
soignant a donné des calmants a George mais pour
Joseph ce n'est pas du tout repos. Les civiles le
questionnent tout en gardant leur chapeau rond et
sombre en cuir noir. Leurs yeux restent dans l'ombre
de la franchise, ce qui provoque chez Joseph une
peur indomptable. Une répétition continuelle d'un
questionnaire mit sous écrit. La secrétaire de mairie
écrit le rapport. Maintenant des questions pour le
village suivent ainsi que qui des fouilles. L'église
passe aussi dans l'activité des fouilles ainsi que
le café de la mère Élise . Les parents des deux
victimes se retrouvent dans la mairie , questionné
a leur tour.
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L'abondance de questions troublent le paramètrede Joseph, il ne sais plus donner de l'importance
aux réponses défendant son témoignage. A force
de devoir répondre aux même questions il bafouille.
Les inspecteur ne sont pas dupe et trouve dans son
récit une marche accusateur. Des doutes persistent
le flagrant d'un mensonge. La douleur et la fatigue
devient un facteur troublant sa défense.
Les rondes des soldats, accompagné de leurs
chiens, se retrouvent près de l'école. Tous les
rapports sont exprimé, et l'analyse de la situation
démontre que nulle trace d'individu , ni de piste,
n'ont été repéré. Joseph a prit part de leur résumé.
Son courage se trouble et la confrontation avec la
vérité se met a tanguer.
George, reste dans les nuages suite a la drogue
calmante que lui a administré le service médicale.
Joseph reste le seul que l'on questionne et l'unique
a répondre que c'était une fausse déclaration de
leur part.
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A partir de ce moment les inspecteurs changentde comportement, les victimes deviennent des
accusés et des terroristes, un danger pour la
Gestapo.
George agonise, il n'est pas au courant de ce
qui vient de se dérouler. Un terrible questionnaire
les place dans une situation incontrôlable. Les
hommes en cuir noir lui demande,
- d'où a t'il le fusil ?
Avec peine il feint d'ignorer et prêtant n'avoir
eut de fusil dans sa famille. L'inspecteur fait volte
face et une méchanceté agressif lui administre
deux fortes claques, dans sa tête les coups
résonnent. L'inspecteur soulève la jambe blessé
qu'il laisse retomber avec force. Le choque
provoque une profonde douleur, des larmes de
transpirations unifient le visage blanc de George.
Le civile empoigne de nouveau sa jambe
brutalement, un filet de sang traverse le
pansement, qu'il lève plus haut pour la faire
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retomber avec force et fureur. George tente dese justifier et avoue le rituel qu'ils ont mis en place.
Durant l'interrogatoire le grand étang aux
grenouilles sont vidé par les soldats. Le fusil fut
retrouvé et le second inspecteur le rapporte avec
joie et preuve a l'école. La secrétaire de mairie
marque toutes ces actions dans le registre.
Les nouvelles vont vite et tout le village craint, la
peur devient la source de leur silence. Les villageois
ont tous des reproches a ce faire ils peuvent a tout
moment être dénoncé par l'un ou l'autre des blessé
a l'école. Le germe de la peur d'être convoqué fragilise
leur conscience.
Dans l'école les deux jeunes gens connaissent
toutes les ficelles pouvant les inculper. Le gros Léon
leur a raconté qu'il avait mit du sucre dans le béton des
fortifications du grand canon pour les fragiliser car le
sucre a une réaction chimique. Il l'avait expliqué a
George et a Joseph avec fierté. La mère Liliane a qui
ils ont caché, dans le plafond, des réserves d'huile de
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noix ; ou encore le vieux Germain qui se fait passerpour un catholique sous de faux papier ; le fermier du
fond du village qui élève des cochons sans autorisation
et qu'ils ont aidé a dépecés pour le marché noir ;
l'invalide du village qui fait du marcher noir avec les
ampoules électrique ou a huile que George et Joseph lui
ont procuré ? Je ne raconte pas la suite car je terminerais
de vous dénoncer le plus grand pourcentage de fraudeur
condamnable de ce village ; même le curé en fait parti .
L'inspecteur qui vient de rapporter le fusil interroge
George
- c'est a vous ce fusil ?
- non nous n'avons pas de fusil
- et ce non gravé dans la crosse du fusil, c'est
votre non de famille avec le prénom de votre
père ?
George garde un profond silence. Une manne
contradictoire vient le déstabiliser de toute excuse.
Il ne parle plus et les soldats le placent sur la
charrette en bois pour le tirer devant le grand
mur de pierre de l'école. Joseph fait aussi parti
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de cette marche qu'il suit tête baissé. Lui aussine parle plus. Il n'a plus le courage de regarder
George.
Devant se place en ligne des soldats , ils
pointent vers eux leurs canons noir brillant la
souffrance des crimes . Sur l'ordre d'un supérieur
les fusils crachent leur besogne.
Dans l'étang s'envolent des cigognes effrayé
par les coups de feux. De toutes les granges
s'échappent des volés d'hirondelles. Sur la route
roule un camion chargé de la famille de George
et de Joseph en direction du camps de
concentration.
Tous est amère comme l' histoire de cette
époque.
Pour que s'effondre une montagne
il faut la grignoter par petit bout a même
sa base !!!
JJM
la nouvelle est en cour de montage, des changements peuvent
suivre. Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 18 01 2010, remis a jour le 01 10 2019.
A ce jour, 01 10 2019, 115 831 lecteurs.
A ce jour, 25 05 2021, 152 348 lecteurs.
A ce jour, 26 03 2022, 168 608 lecteurs.
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