LE VAGABOND ( nouvelle 29 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
.
LE VAGABOND
Étranger de passage, sans fortune ni
courage, vient planter sa vertu dans notre
voisinage. Il veut vivre a la charge de nous
autres qui avons du mal pour subvenir a
notre propre consommation..
Au lieu dit (Carabos),dans une cabane
faite de bois et de carton de récupération ,
vie un vagabond.
Pour nous autres, les jeunes du village,
nous ne pouvons lui donner un âge. Les
racontars dévoilent un chiffre qui ne lui rend
hommage. Pourtant notre curiosité aimerai
connaitre la raison de son indépendance.
temps dans notre contrée retroussé des
grandes villes ?
Cela fait virevolter nos songes qui nous
guident vers des paradoxes incohérentes.
A vrais dire, personne ne veut s'occuper
réellement de sa dérive car notre rythme de
vie engendre une cohue mélo de paramètres
qui ne permettent de lui prêter attention. La
pitié suit le cour d'un autre chemin. Nous
tous devons travailler dure pour produire
toujours plus avec très peut de réconfort
pour le revenu de nos fin de mois.
Le modernisme approvisionne cette
source de confusion. Elle déstabilise notre
cohérence humaine . L'humain possède un
esprit de productivité qu'il ne faut pas
négliger, nous font savoir nos grand hommes.
Moi , je nargue dans mes pensées certaines
questions, où est passé la virtuosité productif
avec cette béatitude ?
Personne ne pose plus de question , son
comportement tient un langage tabou.
Lorsque je le croise, je prête mon attention
sur sa démarche fière et expressionniste.
Ses vêtements sont en loque ses chaussures
entrebâillent leurs semelles. En le regardant
j' ai le sentiment qu'il crie famine. Il fait une
chaleur torride, ses habiles ne répondent a
la saison.
Recouvert de son vieux et épais manteau
de laine râpé il ressemble a un épouvantail
rouge vermeille. Sur sa tête trône un chapeau
de paille jaune ecchymose avec des aréoles
de graisse . Cette épouvantail ambulant fait
peur a tous les oiseaux. Il est l'appariteur
dénonçant le niveau de notre pauvreté a tous.
Je ne le condamne d'aucune responsabilité
car j'éprouve pour lui toute ma pitié.
tend sa main demandant la charité. Une petite
aumône pour qu'il puisse subvenir a sa faim.
Dans la paume de sa main je constate des
pièces qui scintillent d'un brillant de menu
monnaie en fer blanc. C'est la valeur de notre
misère qui explique cela. Pour lui c'est le met
d'un revenu utilitaire. Celui qui possède
accumule et celui qui est maudit stimule son
besoin avec une miette de presque rien.
Ce vagabond n'a de mérite nous a ton fait
comprendre ; jusqu’à la bien entendu mais
dans la suite de mon histoire vibrent des
actes pas dérisoire ?
Un matin de printemps le vagabond vient
se plaindre auprès de la pharmacienne. Sa
souffrance épouse sur son visage la trace
d'une véritable peau de douleur et de
chagrin,
très vieux et aimerais vous demander
conseil pour que je puisse finir mon
restant de vie dans une maison en bois,
un chalet c'est cela qui me redonnera la
marque d'une jeunesse réconfortante,
vous savez, Madame, mon abri de bois
et de carton ne me protège plus des
grands froids.
- Sur votre problème, monsieur, je ne peux
vous porter conseil, mais pour des
médicaments oui a condition que vous
passez chez le médecin il est large
dans son savoir faire sur la santé.
Elle sait impertinemment qu'a par des
pièces de fer blanc il ne possède rien qui fait
lien avec les puissants .
De ce pas le vagabond va chez le médecin
du village.
conseil contre ma vieillesse qui arpente
ma santé. L'hiver devient rude et dans
la cabane de bois et de carton je ne
trouve de chaleur qui puisse m'abriter
plus confortablement. J'aimerai habiter
une vraie maison en bois, un chalet pour
retrouver un brin de ma santé de
jeunesse.
- Monsieur le vagabond, votre pauvreté
ne peut entreprendre financièrement
la construction d'une maison en bois,
un chalet comme vous me demandez.
Allez voir Monsieur le curé, il est prêt
a vous aidez, il possède la foi.
Le vagabond prit son courage entre ses
deux mains pour trouver Monsieur le curé.
Il lui demande dans la routine de son
courtage,
donner un peu d' ombre de votre
savoir pour promouvoir les marches
a suivre qui permettent d'habiter un
chalet de bois, comme dans les
montagnes. Mon âge cri sa vieillesse
et je veux retrouver le confort qui eut
fait partie de ma jeunesse.
- Cher vagabond de passage, vous
voulez me demander un partage ? Les
dimanches vous faite la manche pour
ne point travailler dans la semaine ?
Allez voir Monsieur le maire c'est lui
qui peut vous orienter vers un
éventuelle partage dans le bâtiment
de notre école.
Le vagabond ne fait tarder sa mendicité
et part trouver Monsieur le maire du village,
- Monsieur le maire, je me sent vieillir et
dans mon abri de bois et de carton il ne
habiter une véritable maison en bois,
un chalet comme dans nos belles
montagnes.
- Chère vagabond, pour une maison il
n'en est pas question et pour une pièce
quelconque je ne peux donner on
abrogation. Ce que je peux élucider
comme conseil c'est de demander le
fermier, pour qu'il vous trouve une place
dans une de ses étables sur de la paille
en hivers il fait bon vivre.
- Je part incessamment chez le fermier,
certainement qu'il doit posséder de la
place dans son étable.
Le vagabond travers le village, monte dans
les alpages pour retrouver le fermier. Sa venu
met en alerte les chiens qui aboient. Le
fermier vient a sa rencontre,
- Alors vagabond, cherches tu a manger ?
- Non brave homme, je suis venu pour te
questionner.
- Dans ce cas il faut que tu me parles
pendant que je travaille.
- Ce que je demande c'est de pouvoir
m'aider pour mon avenir, tu sais , je
prend de l'âge et dans ma cabane en
bois et en cartons les courants d'air fond
fortune, ils me laminent, je crois qu'a force
de les combatte j'y laisserai ma santé. Un
chalet en bois me ferai un grand hommage
un chalet comme ceux qui se trouvent dans
les hautes montagnes.
- Très chère vagabond, la vie est chère
et un chalet en bois est hors de prix. Tu sais
moi même je dois travailler sans relâche
pour parvenir a joindre les bouts de mes
fins de mois.
- Mais , fermier, je ne te demande point de
construction d'un chalet, je possède de l'or,
des pièces d'argent, des diamants et autres
pierres précieuse.
Cette révélation perturbe le comportement
du fermier qui laisse en suspend son travail ,
Il jetta sa faux sur un tas d'herbes qu'il eut
coupé , s'essuie ses mains contre son
pantalon et sa sueur avec un mouchoirs
blanc fripé qu'il eut tiré de sa vaste poche.
Ce qu'il vient d'entendre le surprend
énormément. Il ne reste qu'a savoir ci se
vagabond ne lui raconte pas de boniment.
Il l'observe d'un air douteux et le questionne,
- Tu possèdes une fortune, en or, en
argent ainsi que de nombreuses pierres
précieuses ?
- Bien plus que mon pesant car ma richesse
représente un véritable trésor.
Pour le fermier, cette révélation devient le
reprend sa faux pour terminer de couper
l'herbes qu'il doit distribuer a ses lapins. Le
vagabond ne reste pas inactif dans son
langage et continu de pavoiser ses futur
intentions.
- Fermier es tu prêt a gérer ma richesse
comme tu soignes tes bêtes ?
- Oui je tacherai de te rendre heureux, mais
je dois savoir ci effectivement ton acquit
a de la valeur. Sans que je puisse en voir
la couleur rien ne me donne crédit de ta
bienveillance. Montre moi un brin de cette
valeur qui prime ta richesse ?
Le vagabond sort de la poche de son
manteau une pièce d'or frappé au temps des
romains. Avec naïveté il la tend au fermier
qui, insensiblement, laisse un moment son
travail en suspend. Il regarde celle ci comme
une monnaie de fer blanc et demande au
- Peux tu me prêter cette pièce d'or pour
que le la montre a qui connaît sa juste
valeur ?
- Oui fermier, je te l'offre cette pièce pour
ta bonne foi, mais attention, ce n'est pas
de l'argent, c'est de l'or que tu portes
entre tes doigts.
- Je peux te dire , dans les jours a venir, ci
effectivement cette pièce a de le valeur,
nous allons au marché en ville et la je
demanderais a qui de droit. Je te promet
que je tiendrais parole au sujet du chalet
en bois.
Rien ne trouble le comportement du
vagabond ni celui du fermier qui lui propose
de prendre un verre de vin dans sa cuisine la,
où sa femme fait la vaisselle. Celle ci ne
manifeste de contradiction et place deux
verres sur la grande table que recouvre une
nappe blanche parsemé de broderies fait de
de vin puis prend place auprès de son mari .
le fermier sort la pièce d'or de sa vaste
poche,
- Tu vois femme ce que le vagabond ma
fait part, une pièce d'or et il en détient bien
plus, en échange il nous demande si on
pourrais s'occuper de lui.
Le vagabond reste émerveillé par cette
amabilité et il rajoute,
- Ci vous me fêtent construire un chalet de
bois je vous réserve une partie de ma
richesse mais, ne l'ébruiter pas et faite en
sorte que seul le musée de la ville en soit
averti. Pour toute question supplémentaire je
me trouve dans la cabane au lieu dit Carabos.
- Nous tacherons de faire notre possible
le plus vite ;
- J'aimerais qu'il sois construit près de
chez vous dans ce petit bois la.
- Je ne contredirais pas ses intentions.
La cruche se vide et le vagabond se lève, il
fait ses adieux. Le fermier dit a sa femme,
- Femme termine le travaille que j'ai
entrepris, car je vais chez monsieur le
maire .
- C'est bien, je m'occuperais de l'herbe a
distribuer.
Le fermier ne tarde a trouver Monsieur le
maire.
- Monsieur le maire pouvez vous
m'accorder quelques minutes ?
- Je ne possède de temps , et mes
ouvrières de mon usine de couture
demandent une surveillance pour
qu'elles travaillent avec fermeté. Mais
si c'est pour me rembourser ton crédit,
je veux bien t'accorder quelques instants.
- Pour le crédit c'est pour bientôt, pour
que je puisse construire un chalet en bois
dans le petit bois près de ma ferme.
- Quel est cette raison d’extension ?
- C'est pour que le vagabond puisse
habiter dans un chalet en bois avant la
venu de l'hiver.
- Ça c'est la meilleur, je te l'ai envoyer pour
que tu lui permets d'habiter dans une de
tes granges et tu veux lui construire un
chalet.
Le fermier quitte Monsieur le maire en
gardant le secret dans le fond de son coeur.
Le lendemain il part en ville et trouve le
responsable du musée. Il lui explique qu'il
possède une pièce en or et qu'il aimerais
connaître sa valeur. Il lui montre la pièce
avec fierté. Le responsable du musée
demande ,
- Pouvez vous me donner la pièce d'or
prêt pour l'expertiser.
- Oui bien sur.
Il emporte la pièce dans un local , puis,
quelques minutes plus tard revient
émerveillé et lui dit,
- Je confirme que c'est une pièce d'or du
temps des romains, elle est en bon état.
Avez vous d'autre pièces de ce genre ?
- Un véritable trésor.
Cette confirmation trouble ce Monsieur
de bonne foi. Ses yeux prennent de la
clarté, derrière les verres épais de ses
lunettes, il est intrigué par cette pièces
qu'il redonne au fermier.
- Je suis stupéfié par la pièce qui vient
du temps de César, sa face y est gravé.
Et vous me dite que vous en avez
d'autres Monsieur .
- Oui un véritable trésor mais, je ne
que vous me faite connaître la juste valeur
de mes droits.
- Je vous donne le formulaire a remplir
pour l'institut archéologique et si vous le
voulez bien nos fouilles prendrons part
de vos trouvailles.
Le fermier retourne dans son village pour
rejoindre le vagabond près du lieu dit
Carabos. Il lui explique les suite a prendre
et s'il veux accorder la venu d'archéologue
sur le lieux de ses trouvailles.
Le vagabond fut d'accord pour faire
connaître l'emplacement de son trésor et
donna rendez-vous au jour suivant.
Le rendez vous au point de départ, de la
ferme, fit un véritable remue ménage dans
le village. La venu de cette équipe de
personnalité trouble la curiosité des
habitants .
aussi, la pharmacienne de même quant au
médecin, il quitte son cabinet. Le fermier
se trouble devant toute cette foule ameuté.
Il hésite avec tracas pour les emmener
vers le lieux dix Carabos .
Le vagabond lézarde sa vie a l'ombre de
sa cabane de bois et de carton. Cette
meute de curieux ne l'intrigue point au
contraire, il exprime un sourire de fierté, de
politesse et de sagesse.
Toutes les personnes le salut poliment .
Il leur montre l'emplacement où il dort
depuis bien longtemps . Il tire le vieux
matelas puis leur montre un sarcophage
en pierre taillé. Il ouvre cette sépulture
avec habileté.
Les muséologues comptabilisent plus
de milles pièce d'or, autant en argent et
des parures de diamants et d'autre
ustensile de valeur. Cette découverte
Dans la ferme les travaux de
construction du chalet de bois prit
racine rapidement près du petit bois.
Je suis tout émerveillé par sa franchise,
il aurait pu lapider petit a petit cette fortune ?
La véritable fierté de l’être humain c'est
de garder sa vertu, celle du partage et de
l’ honnêteté.
JJM
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 02 10 2010 remis a jour le 08 10 2019.
A ce jour, 08 10 2019, 116 134 lecteurs.
.
1
LE VAGABOND
Étranger de passage, sans fortune ni
courage, vient planter sa vertu dans notre
voisinage. Il veut vivre a la charge de nous
autres qui avons du mal pour subvenir a
notre propre consommation..
Au lieu dit (Carabos),dans une cabane
faite de bois et de carton de récupération ,
vie un vagabond.
Pour nous autres, les jeunes du village,
nous ne pouvons lui donner un âge. Les
racontars dévoilent un chiffre qui ne lui rend
hommage. Pourtant notre curiosité aimerai
connaitre la raison de son indépendance.
2
Pourquoi, cet humain vient il égarer sontemps dans notre contrée retroussé des
grandes villes ?
Cela fait virevolter nos songes qui nous
guident vers des paradoxes incohérentes.
A vrais dire, personne ne veut s'occuper
réellement de sa dérive car notre rythme de
vie engendre une cohue mélo de paramètres
qui ne permettent de lui prêter attention. La
pitié suit le cour d'un autre chemin. Nous
tous devons travailler dure pour produire
toujours plus avec très peut de réconfort
pour le revenu de nos fin de mois.
Le modernisme approvisionne cette
source de confusion. Elle déstabilise notre
cohérence humaine . L'humain possède un
esprit de productivité qu'il ne faut pas
négliger, nous font savoir nos grand hommes.
Moi , je nargue dans mes pensées certaines
questions, où est passé la virtuosité productif
3
de ce vagabond ? A t'il encore un savoir faireavec cette béatitude ?
Personne ne pose plus de question , son
comportement tient un langage tabou.
Lorsque je le croise, je prête mon attention
sur sa démarche fière et expressionniste.
Ses vêtements sont en loque ses chaussures
entrebâillent leurs semelles. En le regardant
j' ai le sentiment qu'il crie famine. Il fait une
chaleur torride, ses habiles ne répondent a
la saison.
Recouvert de son vieux et épais manteau
de laine râpé il ressemble a un épouvantail
rouge vermeille. Sur sa tête trône un chapeau
de paille jaune ecchymose avec des aréoles
de graisse . Cette épouvantail ambulant fait
peur a tous les oiseaux. Il est l'appariteur
dénonçant le niveau de notre pauvreté a tous.
Je ne le condamne d'aucune responsabilité
car j'éprouve pour lui toute ma pitié.
4
Le dimanche matin a la fin de la messe, iltend sa main demandant la charité. Une petite
aumône pour qu'il puisse subvenir a sa faim.
Dans la paume de sa main je constate des
pièces qui scintillent d'un brillant de menu
monnaie en fer blanc. C'est la valeur de notre
misère qui explique cela. Pour lui c'est le met
d'un revenu utilitaire. Celui qui possède
accumule et celui qui est maudit stimule son
besoin avec une miette de presque rien.
Ce vagabond n'a de mérite nous a ton fait
comprendre ; jusqu’à la bien entendu mais
dans la suite de mon histoire vibrent des
actes pas dérisoire ?
Un matin de printemps le vagabond vient
se plaindre auprès de la pharmacienne. Sa
souffrance épouse sur son visage la trace
d'une véritable peau de douleur et de
chagrin,
5
- Madame la pharmacienne je me senstrès vieux et aimerais vous demander
conseil pour que je puisse finir mon
restant de vie dans une maison en bois,
un chalet c'est cela qui me redonnera la
marque d'une jeunesse réconfortante,
vous savez, Madame, mon abri de bois
et de carton ne me protège plus des
grands froids.
- Sur votre problème, monsieur, je ne peux
vous porter conseil, mais pour des
médicaments oui a condition que vous
passez chez le médecin il est large
dans son savoir faire sur la santé.
Elle sait impertinemment qu'a par des
pièces de fer blanc il ne possède rien qui fait
lien avec les puissants .
De ce pas le vagabond va chez le médecin
du village.
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- Docteur, pouvez vous me donner unconseil contre ma vieillesse qui arpente
ma santé. L'hiver devient rude et dans
la cabane de bois et de carton je ne
trouve de chaleur qui puisse m'abriter
plus confortablement. J'aimerai habiter
une vraie maison en bois, un chalet pour
retrouver un brin de ma santé de
jeunesse.
- Monsieur le vagabond, votre pauvreté
ne peut entreprendre financièrement
la construction d'une maison en bois,
un chalet comme vous me demandez.
Allez voir Monsieur le curé, il est prêt
a vous aidez, il possède la foi.
Le vagabond prit son courage entre ses
deux mains pour trouver Monsieur le curé.
Il lui demande dans la routine de son
courtage,
7
- Monsieur le curé, pouvez vous medonner un peu d' ombre de votre
savoir pour promouvoir les marches
a suivre qui permettent d'habiter un
chalet de bois, comme dans les
montagnes. Mon âge cri sa vieillesse
et je veux retrouver le confort qui eut
fait partie de ma jeunesse.
- Cher vagabond de passage, vous
voulez me demander un partage ? Les
dimanches vous faite la manche pour
ne point travailler dans la semaine ?
Allez voir Monsieur le maire c'est lui
qui peut vous orienter vers un
éventuelle partage dans le bâtiment
de notre école.
Le vagabond ne fait tarder sa mendicité
et part trouver Monsieur le maire du village,
- Monsieur le maire, je me sent vieillir et
dans mon abri de bois et de carton il ne
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résonne plus que la misère . J'aimeraihabiter une véritable maison en bois,
un chalet comme dans nos belles
montagnes.
- Chère vagabond, pour une maison il
n'en est pas question et pour une pièce
quelconque je ne peux donner on
abrogation. Ce que je peux élucider
comme conseil c'est de demander le
fermier, pour qu'il vous trouve une place
dans une de ses étables sur de la paille
en hivers il fait bon vivre.
- Je part incessamment chez le fermier,
certainement qu'il doit posséder de la
place dans son étable.
Le vagabond travers le village, monte dans
les alpages pour retrouver le fermier. Sa venu
met en alerte les chiens qui aboient. Le
fermier vient a sa rencontre,
- Alors vagabond, cherches tu a manger ?
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vas dans la cuisine.- Non brave homme, je suis venu pour te
questionner.
- Dans ce cas il faut que tu me parles
pendant que je travaille.
- Ce que je demande c'est de pouvoir
m'aider pour mon avenir, tu sais , je
prend de l'âge et dans ma cabane en
bois et en cartons les courants d'air fond
fortune, ils me laminent, je crois qu'a force
de les combatte j'y laisserai ma santé. Un
chalet en bois me ferai un grand hommage
un chalet comme ceux qui se trouvent dans
les hautes montagnes.
- Très chère vagabond, la vie est chère
et un chalet en bois est hors de prix. Tu sais
moi même je dois travailler sans relâche
pour parvenir a joindre les bouts de mes
fins de mois.
- Mais , fermier, je ne te demande point de
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subvenir aux dépenses qui entraînent laconstruction d'un chalet, je possède de l'or,
des pièces d'argent, des diamants et autres
pierres précieuse.
Cette révélation perturbe le comportement
du fermier qui laisse en suspend son travail ,
Il jetta sa faux sur un tas d'herbes qu'il eut
coupé , s'essuie ses mains contre son
pantalon et sa sueur avec un mouchoirs
blanc fripé qu'il eut tiré de sa vaste poche.
Ce qu'il vient d'entendre le surprend
énormément. Il ne reste qu'a savoir ci se
vagabond ne lui raconte pas de boniment.
Il l'observe d'un air douteux et le questionne,
- Tu possèdes une fortune, en or, en
argent ainsi que de nombreuses pierres
précieuses ?
- Bien plus que mon pesant car ma richesse
représente un véritable trésor.
Pour le fermier, cette révélation devient le
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germe d'une intrigue. Il se ressaisit puisreprend sa faux pour terminer de couper
l'herbes qu'il doit distribuer a ses lapins. Le
vagabond ne reste pas inactif dans son
langage et continu de pavoiser ses futur
intentions.
- Fermier es tu prêt a gérer ma richesse
comme tu soignes tes bêtes ?
- Oui je tacherai de te rendre heureux, mais
je dois savoir ci effectivement ton acquit
a de la valeur. Sans que je puisse en voir
la couleur rien ne me donne crédit de ta
bienveillance. Montre moi un brin de cette
valeur qui prime ta richesse ?
Le vagabond sort de la poche de son
manteau une pièce d'or frappé au temps des
romains. Avec naïveté il la tend au fermier
qui, insensiblement, laisse un moment son
travail en suspend. Il regarde celle ci comme
une monnaie de fer blanc et demande au
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vagabond,- Peux tu me prêter cette pièce d'or pour
que le la montre a qui connaît sa juste
valeur ?
- Oui fermier, je te l'offre cette pièce pour
ta bonne foi, mais attention, ce n'est pas
de l'argent, c'est de l'or que tu portes
entre tes doigts.
- Je peux te dire , dans les jours a venir, ci
effectivement cette pièce a de le valeur,
nous allons au marché en ville et la je
demanderais a qui de droit. Je te promet
que je tiendrais parole au sujet du chalet
en bois.
Rien ne trouble le comportement du
vagabond ni celui du fermier qui lui propose
de prendre un verre de vin dans sa cuisine la,
où sa femme fait la vaisselle. Celle ci ne
manifeste de contradiction et place deux
verres sur la grande table que recouvre une
nappe blanche parsemé de broderies fait de
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main de maîtresse . Elle y place une cruchede vin puis prend place auprès de son mari .
le fermier sort la pièce d'or de sa vaste
poche,
- Tu vois femme ce que le vagabond ma
fait part, une pièce d'or et il en détient bien
plus, en échange il nous demande si on
pourrais s'occuper de lui.
Le vagabond reste émerveillé par cette
amabilité et il rajoute,
- Ci vous me fêtent construire un chalet de
bois je vous réserve une partie de ma
richesse mais, ne l'ébruiter pas et faite en
sorte que seul le musée de la ville en soit
averti. Pour toute question supplémentaire je
me trouve dans la cabane au lieu dit Carabos.
- Nous tacherons de faire notre possible
le plus vite ;
- J'aimerais qu'il sois construit près de
chez vous dans ce petit bois la.
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- Quant penses tu femme ?- Je ne contredirais pas ses intentions.
La cruche se vide et le vagabond se lève, il
fait ses adieux. Le fermier dit a sa femme,
- Femme termine le travaille que j'ai
entrepris, car je vais chez monsieur le
maire .
- C'est bien, je m'occuperais de l'herbe a
distribuer.
Le fermier ne tarde a trouver Monsieur le
maire.
- Monsieur le maire pouvez vous
m'accorder quelques minutes ?
- Je ne possède de temps , et mes
ouvrières de mon usine de couture
demandent une surveillance pour
qu'elles travaillent avec fermeté. Mais
si c'est pour me rembourser ton crédit,
je veux bien t'accorder quelques instants.
- Pour le crédit c'est pour bientôt, pour
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l'instant je demande votre accord pourque je puisse construire un chalet en bois
dans le petit bois près de ma ferme.
- Quel est cette raison d’extension ?
- C'est pour que le vagabond puisse
habiter dans un chalet en bois avant la
venu de l'hiver.
- Ça c'est la meilleur, je te l'ai envoyer pour
que tu lui permets d'habiter dans une de
tes granges et tu veux lui construire un
chalet.
Le fermier quitte Monsieur le maire en
gardant le secret dans le fond de son coeur.
Le lendemain il part en ville et trouve le
responsable du musée. Il lui explique qu'il
possède une pièce en or et qu'il aimerais
connaître sa valeur. Il lui montre la pièce
avec fierté. Le responsable du musée
demande ,
- Pouvez vous me donner la pièce d'or
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en main propre pour le regarder de plusprêt pour l'expertiser.
- Oui bien sur.
Il emporte la pièce dans un local , puis,
quelques minutes plus tard revient
émerveillé et lui dit,
- Je confirme que c'est une pièce d'or du
temps des romains, elle est en bon état.
Avez vous d'autre pièces de ce genre ?
- Un véritable trésor.
Cette confirmation trouble ce Monsieur
de bonne foi. Ses yeux prennent de la
clarté, derrière les verres épais de ses
lunettes, il est intrigué par cette pièces
qu'il redonne au fermier.
- Je suis stupéfié par la pièce qui vient
du temps de César, sa face y est gravé.
Et vous me dite que vous en avez
d'autres Monsieur .
- Oui un véritable trésor mais, je ne
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peux vous dévoiler l'emplacement sansque vous me faite connaître la juste valeur
de mes droits.
- Je vous donne le formulaire a remplir
pour l'institut archéologique et si vous le
voulez bien nos fouilles prendrons part
de vos trouvailles.
Le fermier retourne dans son village pour
rejoindre le vagabond près du lieu dit
Carabos. Il lui explique les suite a prendre
et s'il veux accorder la venu d'archéologue
sur le lieux de ses trouvailles.
Le vagabond fut d'accord pour faire
connaître l'emplacement de son trésor et
donna rendez-vous au jour suivant.
Le rendez vous au point de départ, de la
ferme, fit un véritable remue ménage dans
le village. La venu de cette équipe de
personnalité trouble la curiosité des
habitants .
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Monsieur le maire en est averti, le curéaussi, la pharmacienne de même quant au
médecin, il quitte son cabinet. Le fermier
se trouble devant toute cette foule ameuté.
Il hésite avec tracas pour les emmener
vers le lieux dix Carabos .
Le vagabond lézarde sa vie a l'ombre de
sa cabane de bois et de carton. Cette
meute de curieux ne l'intrigue point au
contraire, il exprime un sourire de fierté, de
politesse et de sagesse.
Toutes les personnes le salut poliment .
Il leur montre l'emplacement où il dort
depuis bien longtemps . Il tire le vieux
matelas puis leur montre un sarcophage
en pierre taillé. Il ouvre cette sépulture
avec habileté.
Les muséologues comptabilisent plus
de milles pièce d'or, autant en argent et
des parures de diamants et d'autre
ustensile de valeur. Cette découverte
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fit le tour des journaux.Dans la ferme les travaux de
construction du chalet de bois prit
racine rapidement près du petit bois.
Je suis tout émerveillé par sa franchise,
il aurait pu lapider petit a petit cette fortune ?
La véritable fierté de l’être humain c'est
de garder sa vertu, celle du partage et de
l’ honnêteté.
JJM
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 02 10 2010 remis a jour le 08 10 2019.
A ce jour, 08 10 2019, 116 134 lecteurs.
A ce jour, 29 12 2021, 163 920 lecteurs.
A ce jour, 03 05 2022, 169 356 lecteurs.
A ce jour, 18 10 2023, 185 515 lecteurs.
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