LA PROPOSITION ( nouvelle n 81 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1.
LA PROPOSITION
La Peugeot 405 du taxi affiche, sur son
compteur, ses cinq cents mille kilomètres.
Cette remarque n'est pas alarmante, du moins ;
mais dans une entreprise qui transporte des
personnes, il va de sois que la marque de
référence passe par le remplacement régulier
de son outil de travail.
déstabilisent leur comportement sentimentale.
Marcel a du mal a persuader Berthe pour qui
chaque explication devient une contradiction.
Le bon Marcel tente de réparer ce pot brisé
par le nombre d'heures supplémentaire.
Devant la gare, où il stationne, d'autres
collègues plaident le manque a gagner , ce
qui augmente le nombre de véhicules et
surtout l'attende d'un client.
Berthe devient décourageante cella les
éloigne de plus en plus. Pour oublier Marcel
trouve son équilibre près de sa voiture, qu'il
astique avec sentiment.
Le jour se termine et le parc des voitures
taxi se vide. Marcel reste seul avec sa voiture
qu'il astique avec son chiffon . Plus personne
ne vient, il pourrait rentrer, mais son coeur
Une jeune femme, a l'allure gracieuse,
vient vers lui pour le questionner. Ravissante
et douce dans son parler, elle ébloui Marcel
qui l'observe avec attention. Sa courte jupe
laisse apparaître des jambes de déesse, quant
a son buste il laisse entrevoir une partie de sa
poitrine. La féminité de cette jeune femme
attire par son charme et sa démarche . Marcel
a des doutes sur la personne et trouve dans
son approche une part des propositions,
- J'admire avec amour votre savoir faire
monsieur lorsque vous astiquer cette voiture !
- Merci Madame, je dois reconnaître que c'est
la valeur de mon outil de travail qui dévoile
le respect qu'on porte pour nos clients.
- J'approuve votre remarque, mais tient a
vous dire que je ne suis qu'une Mademoiselle
qui tente de trouver une âme sœur qui est très
charitable dans le fond de son coeur.
vous disposez de propres valeurs remarquables
pour trouver sans complication une âme sœur
a votre image ?
- Cela n'attire que certaine personnes, qui tentent
de trouver dans la valeur de mon corps le capital
sexuelle. Ce que je recherche, ce sont des
sentiments honnête qui se rapprochent de la vie
conjugale.
- Votre remarque me tient a coeur, mais, je suis
marier et rien ne dit que votre proposition résulte
de boniments ?
- Votre réticence est éloquente monsieur et cette
remarque ne peut que verbaliser un juste équilibre
de votre franchise. Voila la valeur que je recherche
et rien d'autre ne peut me détourner de mon
objectif. Je vous avoue que je vous observe de
nombreuses soirées depuis ma fenêtre qui se
trouve juste en face de votre stationnement.
L’analyse de votre démarche correspond a ce
Marcel reste bouche bée , il s’encre dans des
doutes ombragés et incertain, vaguerait il sur des
ondes ensorcelé, comme ci un virage vient de
l'emporter ? Le charme de cette demoiselle lui
parait sincère . Et ci, par attentisme il se laisserait
aller ? Que deviendra la suite de cette rencontre ?
- C'est comment votre prénom Monsieur ?
- Marcel pour celles et ceux que je contacte !
- Et moi c'est Roberte pour celui qui croit en
ma loyauté !
- C'est un jolie prénom , Roberte.
- Comme on se tutoie, veux tu m'accompagner
dans ma chambre Marcel ?
- Avec une aussi agréable proposition, je ne peux
m'attarder et t'accompagne Roberte.
Le taxi reste stationné et le couple marche
comme deux amoureux, main dans la main. Ils
prennent un ascenseur qui les transporte
jusqu'au septième étages. La qualité de ce
bâtiment est remarquable par la richesse de la
décoration. Ma simplicité a Marcel ne rivalise
sur aucun point. Mais, il se doute des paroles
romantique de cette jeune femme ? Et sa
femme Berthe, que va elle en penser ?
La porte de l'appartement s'ouvre sur un
vaste séjour où l’illumination de nombreuses
lampes éclairent comme en plein jour. Des
meubles de qualité que surmonte de diverse
sculptures de marbre, sont éparpillé
méthodiquement. D'épais tapis persan, sont
dispatchent. Des miroirs , ciselés, reflètent
cette richesse comme par enchantement.
Marcel virevolte de cette vision et se laisse
endoctriner par l'odeur du parfum.
- Marcel, comment trouves tu mon appartement ?
- Il a une qualité d’extrême beauté.
- Et ci tu voudrais y vivre, te plairais tu ?
- J'en serai ravi et fière d'y séjourner.
- Et bien ci tu le désire, j'accepterais que tu
vives avec moi.
Le miracle des sentiments amoureux entraîne
Marcel dans un tourbillons contrôlable. Il y fit
son nid sans rencontrer de préoccupation
financière , sans avertir qui que se sois . Sa 405
Peugeot est resté plusieurs jours a son
emplacement jusqu’à ce que la fourrière
l'emporta.
JJM
auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 21 09 2011, remis a jour le 28 10 2019
A ce jour, 21 09 2011, 2 766 lecteurs.
A ce jour, 28 10 2019, 116 817 lecteurs.
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LA PROPOSITION
La Peugeot 405 du taxi affiche, sur son
compteur, ses cinq cents mille kilomètres.
Cette remarque n'est pas alarmante, du moins ;
mais dans une entreprise qui transporte des
personnes, il va de sois que la marque de
référence passe par le remplacement régulier
de son outil de travail.
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Ce caractère pose certaines divergences,
dans le couple que forme Marcel et Berthe,
leur conjoncture financière tourne a menu
mélo. Des zones d'ombres sont responsable
de ce ralentissement. A vrai dire, la
déstabilisation revient par le fait de vivre
au dessus de leur moyen qui paragraphe
leur finance.
Les explications de Marcel sont tout autre, il
prêtant que se sont les impôts qui en sont
responsable. Le percepteur se sucre avec
effervescence sans la moindre ristourne .
Voila le responsable qui chahute de leur
endettement.
Pour Berthe , qui se gave de tout axait , rien
ne freine ses dépenses, elle veut vivre comme
une grande dame avec apparat.
La solution serait de combler la faille de ce
déséquilibre, il va falloir réduire certain bien
être pour arriver a changer de véhicule.
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Berthe ne veut rien entendre du changement
de véhicule, elle veut garder son standing.
Le couple cultive des alternances, lé-quellesdéstabilisent leur comportement sentimentale.
Marcel a du mal a persuader Berthe pour qui
chaque explication devient une contradiction.
Le bon Marcel tente de réparer ce pot brisé
par le nombre d'heures supplémentaire.
Devant la gare, où il stationne, d'autres
collègues plaident le manque a gagner , ce
qui augmente le nombre de véhicules et
surtout l'attende d'un client.
Berthe devient décourageante cella les
éloigne de plus en plus. Pour oublier Marcel
trouve son équilibre près de sa voiture, qu'il
astique avec sentiment.
Le jour se termine et le parc des voitures
taxi se vide. Marcel reste seul avec sa voiture
qu'il astique avec son chiffon . Plus personne
ne vient, il pourrait rentrer, mais son coeur
4
reste ici, égaré sans un péché.Une jeune femme, a l'allure gracieuse,
vient vers lui pour le questionner. Ravissante
et douce dans son parler, elle ébloui Marcel
qui l'observe avec attention. Sa courte jupe
laisse apparaître des jambes de déesse, quant
a son buste il laisse entrevoir une partie de sa
poitrine. La féminité de cette jeune femme
attire par son charme et sa démarche . Marcel
a des doutes sur la personne et trouve dans
son approche une part des propositions,
- J'admire avec amour votre savoir faire
monsieur lorsque vous astiquer cette voiture !
- Merci Madame, je dois reconnaître que c'est
la valeur de mon outil de travail qui dévoile
le respect qu'on porte pour nos clients.
- J'approuve votre remarque, mais tient a
vous dire que je ne suis qu'une Mademoiselle
qui tente de trouver une âme sœur qui est très
charitable dans le fond de son coeur.
5
- Je peux conclure que pour vous Mademoiselle,vous disposez de propres valeurs remarquables
pour trouver sans complication une âme sœur
a votre image ?
- Cela n'attire que certaine personnes, qui tentent
de trouver dans la valeur de mon corps le capital
sexuelle. Ce que je recherche, ce sont des
sentiments honnête qui se rapprochent de la vie
conjugale.
- Votre remarque me tient a coeur, mais, je suis
marier et rien ne dit que votre proposition résulte
de boniments ?
- Votre réticence est éloquente monsieur et cette
remarque ne peut que verbaliser un juste équilibre
de votre franchise. Voila la valeur que je recherche
et rien d'autre ne peut me détourner de mon
objectif. Je vous avoue que je vous observe de
nombreuses soirées depuis ma fenêtre qui se
trouve juste en face de votre stationnement.
L’analyse de votre démarche correspond a ce
6
que je recherche.Marcel reste bouche bée , il s’encre dans des
doutes ombragés et incertain, vaguerait il sur des
ondes ensorcelé, comme ci un virage vient de
l'emporter ? Le charme de cette demoiselle lui
parait sincère . Et ci, par attentisme il se laisserait
aller ? Que deviendra la suite de cette rencontre ?
- C'est comment votre prénom Monsieur ?
- Marcel pour celles et ceux que je contacte !
- Et moi c'est Roberte pour celui qui croit en
ma loyauté !
- C'est un jolie prénom , Roberte.
- Comme on se tutoie, veux tu m'accompagner
dans ma chambre Marcel ?
- Avec une aussi agréable proposition, je ne peux
m'attarder et t'accompagne Roberte.
Le taxi reste stationné et le couple marche
comme deux amoureux, main dans la main. Ils
prennent un ascenseur qui les transporte
jusqu'au septième étages. La qualité de ce
bâtiment est remarquable par la richesse de la
décoration. Ma simplicité a Marcel ne rivalise
sur aucun point. Mais, il se doute des paroles
romantique de cette jeune femme ? Et sa
femme Berthe, que va elle en penser ?
La porte de l'appartement s'ouvre sur un
vaste séjour où l’illumination de nombreuses
lampes éclairent comme en plein jour. Des
meubles de qualité que surmonte de diverse
sculptures de marbre, sont éparpillé
méthodiquement. D'épais tapis persan, sont
dispatchent. Des miroirs , ciselés, reflètent
cette richesse comme par enchantement.
Marcel virevolte de cette vision et se laisse
endoctriner par l'odeur du parfum.
- Marcel, comment trouves tu mon appartement ?
- Il a une qualité d’extrême beauté.
- Et ci tu voudrais y vivre, te plairais tu ?
- J'en serai ravi et fière d'y séjourner.
- Et bien ci tu le désire, j'accepterais que tu
vives avec moi.
Le miracle des sentiments amoureux entraîne
Marcel dans un tourbillons contrôlable. Il y fit
son nid sans rencontrer de préoccupation
financière , sans avertir qui que se sois . Sa 405
Peugeot est resté plusieurs jours a son
emplacement jusqu’à ce que la fourrière
l'emporta.
JJM
auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 21 09 2011, remis a jour le 28 10 2019
A ce jour, 21 09 2011, 2 766 lecteurs.
A ce jour, 28 10 2019, 116 817 lecteurs.
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