LA PRISONNIÈRE ( nouvelle n 90 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
1
LA PRISONNIÈRE
Une circulation dense dénonce la fin d'une
journée de travail dans notre ville. Il est 16 heures
30 , les écoles maternel ferment, de nombreuses
mamans retrouvent leur logement. Je me trouve
dans un bureau de tabac pour y faire des achats.
Je suis pressé comme tous les citadins car, mon
véhicule occupe un stationnement gênant. Je
dois suivre la fil derrière une foule de gens, mon
impatience me trahit car mon inquiétude grandit.
de cinq ans, je le suppose. Son déplacement se
fait comme celui d'un renard , en se faufilant
courtoisement. Pardons, par ci, pardons par là,
je ne trouve de mot qui tenterait de le dissuader
de ses intentions. Il n'a qu'un mètre de grandeur,
ses cheveux noir sont fripé, il vous partage
son sourire sympathique. La peau de son visage
reflet les traces d'un bronzage naturelle, quant a
ces habits, délavé et rafistolé, dénoncent celui de
la pauvreté. Les traits sur sa figure tracent la
naïvetés qu'enlace une jeunesse sans instruction.
Je ne trouve dans ce partage d'émotion, nulle
valeur envers une verbalisation pouvant le
contrarier. Dans mes pensées plane l'intention
de suivre ma curiosité. Pourquoi ce garçonnet
vient il acheter des cigarettes ?
Je brave le doute et me laisser dépasser
sans la moindre réplique.
Mon esprit doit fulminer des interrogations. Moi,
petit homme souriant ? Devrais je entreprendre
un litige pour faire valoir mes droits, moi, ce
colosse aux multiples attributions ?
journée de travail dans notre ville. Il est 16 heures
30 , les écoles maternel ferment, de nombreuses
mamans retrouvent leur logement. Je me trouve
dans un bureau de tabac pour y faire des achats.
Je suis pressé comme tous les citadins car, mon
véhicule occupe un stationnement gênant. Je
dois suivre la fil derrière une foule de gens, mon
impatience me trahit car mon inquiétude grandit.
2.
Entre mes pieds, passe furtivement un garçonnetsde cinq ans, je le suppose. Son déplacement se
fait comme celui d'un renard , en se faufilant
courtoisement. Pardons, par ci, pardons par là,
je ne trouve de mot qui tenterait de le dissuader
de ses intentions. Il n'a qu'un mètre de grandeur,
ses cheveux noir sont fripé, il vous partage
son sourire sympathique. La peau de son visage
reflet les traces d'un bronzage naturelle, quant a
ces habits, délavé et rafistolé, dénoncent celui de
la pauvreté. Les traits sur sa figure tracent la
naïvetés qu'enlace une jeunesse sans instruction.
Je ne trouve dans ce partage d'émotion, nulle
valeur envers une verbalisation pouvant le
contrarier. Dans mes pensées plane l'intention
de suivre ma curiosité. Pourquoi ce garçonnet
vient il acheter des cigarettes ?
Je brave le doute et me laisser dépasser
sans la moindre réplique.
Mon esprit doit fulminer des interrogations. Moi,
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une grande personne , se laisse dépasser par unpetit homme souriant ? Devrais je entreprendre
un litige pour faire valoir mes droits, moi, ce
colosse aux multiples attributions ?
Ce petit homme ne parle pas un mot, et, garde
dans sa petite menotte une somme en pièces .
Il fait signe de sa main droite en direction de la
buraliste et avec l'autre main, il montre les
rangés de cigarettes.
dans sa petite menotte une somme en pièces .
Il fait signe de sa main droite en direction de la
buraliste et avec l'autre main, il montre les
rangés de cigarettes.
La buraliste reste songeur sur la sorte de
cigarette qu'elle doit lui remettre car, la valeur de
l'argent ne correspond a aucune définition.
- petit homme, tu es trots jeune pour acheter
des cigarettes, envois ta maman.
Normal que son refus est radicale, aucun
enfant ne peut acheter de cigarette.
Les muscles du visage de l'enfant
épousent une autre signification. Son
sourire s’égare pour céder la place à la
tristesse. Voilà que ma curiosité me joue des
d'enfant ?
Le garçonnet sort de l'établissement.
cigarette qu'elle doit lui remettre car, la valeur de
l'argent ne correspond a aucune définition.
- petit homme, tu es trots jeune pour acheter
des cigarettes, envois ta maman.
Normal que son refus est radicale, aucun
enfant ne peut acheter de cigarette.
Les muscles du visage de l'enfant
épousent une autre signification. Son
sourire s’égare pour céder la place à la
tristesse. Voilà que ma curiosité me joue des
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tours car, je me laisse influencer par ce regardd'enfant ?
Le garçonnet sort de l'établissement.
Je le suit, il rejoint ma voiture qui se
trouve a deux pas de l'entré du bureau de
tabac. Sur mon chemin Je croise a nouveau
le regard de l' enfant, il abaisse son regard
pour cacher sa défaite; puis il s'engage dans
une ruelle sans issu. Le manque de lumière
naturelle la rend insalubre et des odeurs d'
urines sens dégage.
Mon regard le suit avec peine. Je remarque
les signes qui marquent la pauvreté, par un
cumul de laissé allé. Des poubelles sont
éventrée et les boites de conserves vide
traînent dans cette impasse. Le gamin donne
un coup de pied sur une boite. Elle provoque
des rebonds bruyant. Puis il se dirige vers
la porte d'entrée entrouverte de l'une de ses
masures. Il se faufile un chemin a travers le
Derrière cette porte, attend une jeune
femme , emmitouflé sous un tissu noir, elle
tient un autre enfant du même âge .
Elle attend impatiemment le garçonnet, a sa
vue, elle le questionne parle a haute voix,
- as tu acheté des cigarettes ?
l'enfant, choqué répond,
- non maman je n'ai pas reçu de cigarettes.
Le visage de cet enfant devient blême.
- qu'as tu dit a la marchande ?
- j'ai tendu la main avec l'argent et je lui
ai montré la rangé de cigarettes.
Le garçonnet, blessé, abaisse son regard .
- retourne cher la marchande et rapporte moi
un paquet de cigarette.
Sa maman contrôle l'argent qu'il a en main.
- Il y a asse d'argent pour quelle raison ne
veut elle pas te servir ? Retourne chez elle
et demande lui des cigarettes.
Le garçonnet fait demis tour et vient a ma
hauteur. Sa maman le suit du regard . Mon
apparition la perturbe, elle fait un recule
se couvre de son voile et reste fixe sur le palier
de la porte.
Je viens d'acheter une cartouche de 20
paquets de cigarettes. Je sort un paquet et le
lui donne.
- tient petit, tu ne recevras pas de cigarette tu
es trots jeune, la loi c'est la loi un enfant n'a
pas le droit d'acheter des cigarettes. Ce n'est
nullement la faute de ce petit homme.
Les yeux de la jeune femme croise le mien.
Notre rencontre la trouble profondément car,
elle tire brutalement son bambin qu'elle tient
a la main vers l'intérieure de la masure, comme
un tas de chiffon. La gamin ne dit le moindre
merci et s'enfonce dans les profondeurs de
ce couloir lugubre .
trouve a deux pas de l'entré du bureau de
tabac. Sur mon chemin Je croise a nouveau
le regard de l' enfant, il abaisse son regard
pour cacher sa défaite; puis il s'engage dans
une ruelle sans issu. Le manque de lumière
naturelle la rend insalubre et des odeurs d'
urines sens dégage.
Mon regard le suit avec peine. Je remarque
les signes qui marquent la pauvreté, par un
cumul de laissé allé. Des poubelles sont
éventrée et les boites de conserves vide
traînent dans cette impasse. Le gamin donne
un coup de pied sur une boite. Elle provoque
des rebonds bruyant. Puis il se dirige vers
la porte d'entrée entrouverte de l'une de ses
masures. Il se faufile un chemin a travers le
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désordre et cette saleté.Derrière cette porte, attend une jeune
femme , emmitouflé sous un tissu noir, elle
tient un autre enfant du même âge .
Elle attend impatiemment le garçonnet, a sa
vue, elle le questionne parle a haute voix,
- as tu acheté des cigarettes ?
l'enfant, choqué répond,
- non maman je n'ai pas reçu de cigarettes.
Le visage de cet enfant devient blême.
- qu'as tu dit a la marchande ?
- j'ai tendu la main avec l'argent et je lui
ai montré la rangé de cigarettes.
Le garçonnet, blessé, abaisse son regard .
- retourne cher la marchande et rapporte moi
un paquet de cigarette.
Sa maman contrôle l'argent qu'il a en main.
- Il y a asse d'argent pour quelle raison ne
veut elle pas te servir ? Retourne chez elle
et demande lui des cigarettes.
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Le garçonnet fait demis tour et vient a ma
hauteur. Sa maman le suit du regard . Mon
apparition la perturbe, elle fait un recule
se couvre de son voile et reste fixe sur le palier
de la porte.
Je viens d'acheter une cartouche de 20
paquets de cigarettes. Je sort un paquet et le
lui donne.
- tient petit, tu ne recevras pas de cigarette tu
es trots jeune, la loi c'est la loi un enfant n'a
pas le droit d'acheter des cigarettes. Ce n'est
nullement la faute de ce petit homme.
Les yeux de la jeune femme croise le mien.
Notre rencontre la trouble profondément car,
elle tire brutalement son bambin qu'elle tient
a la main vers l'intérieure de la masure, comme
un tas de chiffon. La gamin ne dit le moindre
merci et s'enfonce dans les profondeurs de
ce couloir lugubre .
Il ne reste plus que les détailles qui inondent
répartis dans la cour et les détritus qui jaugent
les recoins. Certainement que c'est son terrain
de jeux au gamin ?
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mes pensées , les carcasses de voitures qui sontrépartis dans la cour et les détritus qui jaugent
les recoins. Certainement que c'est son terrain
de jeux au gamin ?
Mon cœur se ressert de plus belle et je rejoint
ma voiture avec dans le fond de mes pensées
une manne de remords.
ma voiture avec dans le fond de mes pensées
une manne de remords.
JJM
auteur Jean Jacques Mutz
écrit le 08 04 2012, remis a jour le 20 10 2019
A ce jour 08 04 2012, 17 139 lecteurs.
A ce jour 04 08 2018, 104 314 lecteurs.
a ce jour, 20 10 2019, 116 568 lecteurs.
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A ce jour, 02 07 2023, 181 664 lecteurs.
La nouvelle est en cour de montage des
changements peuvent suivre.
La nouvelle est en cour de montage des
changements peuvent suivre.
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