BLANC COMME NEIGE ( poésie n 44 )
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la clarté du jour par sentiment.
Quant reviennent les belles journées,
Tu fond en larmes sans te gêner.
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la clarté du jour par compliment.
Une couche se rajoute,
Tu gonfles comme par enchantement.
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la clarté du jour par agrément.
Puis, les rayons du soleil te taquine,
Tu fond comme par routine.
tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la prolongation du jour quel décrément.
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la clarté du jour par compliment.
Une couche se rajoute,
Tu gonfles comme par enchantement.
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la clarté du jour par agrément.
Puis, les rayons du soleil te taquine,
Tu fond comme par routine.
tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la prolongation du jour quel décrément.
Tu gonfles toutes les rivières,
Retrouves la mer, bien clair.
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
Et la clarté du soir devient l’attachement.
Retrouves la mer, bien clair.
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
Et la clarté du soir devient l’attachement.
Tu as comme compliment,
Celui d'arroser les fleurs du printemps .
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la clarté du jour par sentiment.
Tu restes blanc jusqu'au printemps,
A la clarté du jour par sentiment.
JJM
auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 26 11 2007, remis a jour le 05 10 2019.
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