A LA RECHERCHE D'UNE MAISON SECONDAIRE (nouvelle 74 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1.
A LA RECHERCHE D'UNE MAISON
SECONDAIRE
Le soleil devient notre première référence, pour
cette remarque nous tentons de trouver une
ancienne bâtisse dans le sud de la France, la où
le soleil montre sa référence comme signe
indubitable.
L'on se tourne vers les annonces de journaux
qui priment la vente de cette sorte de maison.
Notre chance trouve ce donc nous cherchons, aussi
bien dans la région qui nous attire.
Le prix évoque une valeur équitable a notre
revenu, cela mérite que nous nous attardons . Je
laisse fuir toute mon indulgence vers cette belle
région de France.
car, sans perdre de temps, nous prenons contacte
avec la personne qui s’occupe de cet engagement.
Elle nous fait part par écrit de la surface et de la
description de chaque habitation disponible, aussi
que tu prix demandé par les propriétaires.
Au terme de se laisser hypnotiser par des mots
de convergence, nous voila sur des propos digne
d'une ritournelle d'importance qui mérite qu'un
départ sois programmé pour voir en réalité et
toucher cette pierre que l'on veut acquérir. Il
faut voir cette habitation car son prix éblouit toute
transaction.
L'ignorance épouse une faiblesse, celle qui
réveille une imagination détournent la réalité.
Notre méfiance cultive un facteur qui nous
entraîne vers une aventure ternit de mépris
englobant l’âme de notre naïveté.
La route devient interminable, le paysage
autoroutier engloutit la somme de 273 francs au
distance de 850 kilomètres.
Enfin, nous voila auprès de ce village tant
pavoisé où la tranquillité signe une marque de
silence sur la place du village où nous prenons
assise sur un des bancs.
Les platanes sont élingué hardiment car il ne
reste plus que des grosses branches sans une
seul feuille. Le soleil prête sa parure avec
bienfaisance, que nos corps emmagasine avec
appréciation.
Notre mirage de liberté nous dévoile une chaîne
de maisons engouffré l'une près de l'autre. Cette
conception d'habitation en escargot, ne nous donne
aucune valeur attractive aux regards que prête
notre estime !
Ne perdons pas notre nord et laissons nous bercer
par des promesses du Sud que cette annonce nous
a glorifié. Notre rêverie tient sur un bon fil solide,
pas de doute cela correspond.
de contacter la personne pour la prévenir de notre
arrivé. Il est 11 heures, et la réponse que nous
enregistrons consiste de leur accorder une petite
patience de 25 minutes jusqu'à leur arrivé.
La route demandait de la patience mais cette
attende de 25 minutes grave dans notre estime
une impatience houleuse. On se gave de la beauté
des vielles pierres de maisons qui nous entourent,
elles nous ébahissent avec philosophie. Plusieurs
petits commerces , rustique, entourent cette place .
Au milieu, dans le fond de la place, un grand
bâtiment avec des lettres dorée sur la façade
dénonce comme étant la maison communal.
Aucun sifflement d'oiseaux ne vient interrompre
ce doux silence du midi de la France.
Cela harmonise avec louange une part de notre
repos mérité que nous prenons sur cette place de
ce village.
Enfin, notre tuteur de guide, d'une cinquantaine
Elle vient a notre rencontre pour nous saluer
dans la marge d'une félicité. Elle nous présente
son mari ainsi que son fils. Ils nous accueillent
avec un sourire et un hommage commerciale.
Nous suivons ce trio qui nous sert de guide dans
cette belle contrée inconnu pour notre
élucubration.
La première des habitations que nous visitons
se trouve pas loin de cette place. Ils nous guident
dans une petite ruelle qui longe la place de la
maison communal. Dans ce passage pas bien
grand, nous nous arrêtons près d'une maison
qui fait angle. Cette bâtisse difforme fait de
pierre de taille, attire nos trois guide qui ouvre
la porte d'entrée pour nous la faire visiter.
Sur le moment notre surprise nous laisse pensif
car notre savoir émeut toutes nos imaginations.
L'on est surpris, ma femme et moi, de cette
brusque mise a l'épreuve. Nous gardons une
pour connaître une suite sans bouleversement.
La façade n'est pas plus large que deux mètres
cinquante ! La porte d'entrée en chêne massif de
quatre vingt dix centimètre proprement verni a
un aspect de neuf, en son milieu une grande vitre
fenêtre permet que la clarté pénètre dans le
couloir. On nous fais comprendre que cette
maison a une importance primordiale.
Après avoir fouillé dans un sac en plastique
de supermarché, la Dame, de grand âge, tente de
trouver la bonne clé de cette porte d'entrée. Le
bruit métallique d'une multitude d'autres clé
provoquent une ritournelle de frottement. Elle
nous ouvre cette porte de chêne, puis, une odeur
de renfermé et de moisissure s’échappe de l'entrée.
Nous pénétrons dans une grande pièce biscornu,
carrelé et propre a notre regard. Des meubles sont
éparpillé et un petit désordre fait en sorte que
notre attention se laisse détourner de notre
dans un ordre bien confuse.
Le prix devient un facteur ombragé par sa
lumière bien trot élevé, 220 000 francs pour une
masure sans fenêtre.
Dans une autre rue du village, nous visitons
une autre conspiration faite d'une ritournelle de
petites chambres superposés.
Sur le fait notre attention se laisse impressionné
par le non de la bâtisse qui nacre sa valeur ; je le
retient avec félicité, ( La maison des Anglets ).
Quant a son prix, 210 000 francs fait valser notre
attention. La maison possède une petite terrasse
au premier, d'une grandeur de deux mètres sur
deux, avec un sol carrelé de briques flambées
rouge et dans une niche dans la façade de la
maison voisine, une bouteille de vin rouge y est
emmuré a moitie. Son étiquette nous dévoile
l'année de la mise en bouteille, 1963, un millésime
certainement ?
passer que peu de regard et de liberté vers cette
belle région du Roussillon.
Il est midi, dans le Sud de la France plus
personne ne s'aventure dans les ruelles que nous
empruntons.
Nous visitons une habitation où il reste l’âme
vivante d'un couple que l'on doit déranger pendant
leur repas. De l'entrée, nous récoltons l'odeur
appétissante d'omelette et de pommes de terre
grillé. Nos estomacs crie famine. Nous entrons
dans cette habitation par la cave au niveau de
la ruelle, elle est grande et haute, le sol est fait en
terre battu. Sur des étagères en pierre , sont
rangé des pommes de toute sorte qui dégagent
un agréable parfum .
Sans aucun gène, nos trois vendeurs nous font
visiter cette grande maison . Au dessus de la cave
il y a trois pièces très grande de 8 mètres sur quatre
et de belles fenêtres qui donnent de la valeur . A
sortir de la pièce sur une terrasse de trois mètres
de large sur toute la longueur de la maison qui
doit , je pense avoir ses dix mètres. On peut ainsi
se placer au sud, ou a l'est de l'habitation. Comme
l'habitation principale est situé au sommet, notre
vue se promène par dessus les toitures de ce vieux
village Catalan. Cette habitation retient notre
attention, je questionne la marchante de bien sur
le prix de cette maison. Il était convenu que nous
disposons d'une valeur de 270 000 francs, que la
banque nous met a disposition par un prêt.
Sur l’instant nous ne recevions de réponse, puis
au bout de quelques minutes la marchante nous dit
que se sont 330 000 Francs la mis a prix mais
que nous devions contacter le notaire pour définir
le juste prix il peut certainement le diminuer ?
Nous prenons la route sinueuse qui va nous
faire connaître un autre village dans le Minervois.
Le paysage que nous côtoyons résume d'une
où de nombreuses vignes, très basse, poussent sur
une terre fertile en cailloux blanc que sur poudre
une fine terre brune. Les cépages y sont nombreux.
Il sonne 14 heures lorsque nous entrons dans ce
village perché, la vendeuses de bien nous propose
d'accepter de prendre un repas dans un typique
petit restaurant du village. La sympathie de
ces occupants nous encadre avec révérence que
j'apprécie. La pièce du café restaurant n'est pas
bien grande, il n'y a que quatre tables, un
comptoir que trois chaises haute entourent.
Je prend place a la fin pour laisser endoctriner
mon regard sur la présentation d'une belle carte
de couleur que l'on nous eut proposé. Sur elle
de nombreuses variétés de petits repas
gastronomique nous accaparent avec envie.
La patience laisse s'évader le germe d'une
multitude d'attentions . Des remarques que
nous portons les un envers les autre, donnent
comportement. Notre guide donne une
marque de politesse aux assiettes et aux
couverts qui se trouvent sur la table,
- Elle sont jolie vos assiettes madame, c'est la
première fois que j'en voie de cette sorte !
Je prête mon attention a la particularité des
assiettes et trouve des rayures profonde sur
l'ensemble de leur surface. Ce ne sont que de
simple assiette commune que l'on rencontre
dans les marchés de France. De la manière
qu'elle eut parlé, nous met a ce demander ci
c'est la première fois qu'elle vient manger dans
cette établissement ?
- C'est bien la première fois que nous mangeons
dans cette établissement, j'aime ce décor
agrémenté.
Elle le précise avec une finesse peu commune.
D'après la carte l'on se décide de prendre le même
repas pour tout le monde, une manière de gagner
L'on se met en commun accord pour boire de la
bière Allemande en canette, il n'y a pas de bière
en pression.
Nos paroles dévoilent une reconnaissance sur
la valeur et la qualité de cette bière. Nous
discutons de ceci et de cela avec sympathie, puis
notre vendeuse de bien nous demande,
- Voulez vous une autre bière ?
Je ne refuse pas et la commande suit son pas.
La serveuse revient avec une apostrophe qui
signe l'excuse d'un embarras ? Il n'y a plus de
canette de bière dans leur réserve ?
Je rencontre dans cette explication une
douteuse sorte de préméditation qui définit le
frein pour la dépense. Par la suite Ils nous
servent de la salade verte, du poisson grillé et
quelque pommes de terre cuite a l'eau. Puis la
dame nous propose du café je ne refuse point
pour ne pas la vexer !
demande une facture pour régler l'ensemble
des repas. Elle lui donne un billet de 200 francs .
La discutions suit son cour et dans le tumulte de
nos hésitations la serveuse rapporte la monnaie
de la facture dans une petite assiette ébréché.
Notre guide reprend cette monnaie en contrôlant
la facture. Elle fait un signe a la serveuse pour
lui dire a haute voix qu'elle vient de lui rendre de
trots sur la somme correspondant. Cette attention
lyrique me fait comprendre le jeux psychologique
qu'elle tente de nous endoctriner par cette
référence honnête.
La suite de notre journée de visite nous entraîne
vers une autre maison de ce bourg. Notre déception
mérite des explications car, cette habitation est en
pleine transformation. Rien ne répond aux normes
de la bonne conjonction et je remarque que ce
bricolage mérite une vérification profonde dans
toutes les conceptions allant de la maçonnerie au
chauffage. Une nouvelle déception garnie notre
journée.
Nous partons dans un autre village placé sur le
sommet d'une petite colline. L’enchevêtrement des
maisons est si rapproché qu'il est difficile de passer
dans la ruelle avec notre voiture . Nous devons la
garer au centre du village.
La porte d'entré métallique vitré, en bon état, se
trouve dans la façade de la maison voisine. La
maison est peinte en rose vieilli par la poussière et
les sali des cheminées et aération environnante.
Je prête attention sur une coulée claire qui marque
la façade, elle provient de la toiture. Cette traînée
verbalise certaines réflexion. L'entrée est une vaste
pièce biscornu, de 7 mètres sur 10, ou se trouve la
cuisine, les toilettes et elle fait aussi guise de salon .
Un escalier métallique, adossé au mur du fond,
pas bien large, permet une accession a l'étage
suivant. La même étendu en surface départagé
qu'une des pièces avec lumière naturelle.
Un autre escalier en métal pas bien large permet
d'accéder au deuxième étage. La , une grande
cuisine qui fait en même temps salle a manger.
Un autre escalier nous permet d’accéder sur la
terrasse et la une petite pièce , couverte de tuiles
romane, nous fait découvrir la machine a laver .
Un mur entoure cette terrasse, il est recouvert de
tuiles romane. Le carrelage de la terrasse est
fendu a plusieurs endroits. Pas de doute que les
murs intérieure germe une moisissure .
L'étanchéité laisse a désirer. La vue de cette
terrasse donne sur les toitures du village le
soleil nous dévoile son espace de bien être, pas
de verdure, pas de mer, seul le bleu du ciel nous
convoite.
Nos remarques ne sont pas preneur. Il est 16
heures 30 et le temps passe avec embarras.
La journée se charge de déceptions.
autre bâtisse qui se trouve a quelques pas de la.
La façade est triste, gris, et s'écaille. Aucune
couleur ne vient nous égailler seul la grisaille et
la poussière verbalisent nos pensées. C'est avec
peine que nous parvenons a ouvrir la porte
d'entrée, le bois très vétuste, est déformé. Les
pièces sont grande et vaste mais modeste par
la malpropreté qui y règne. L' humidité nous
repousse avec mépris.
Ma femme vient d'appuyer sa main contre le
mur de la cuisine, sa main pénètre dans le plâtre.
Des traces de minuscule champignons tapissent
les murs et une sensation de démangeaison se
fait ressentir.
De déception en compromission, nous voilons
notre face par un ensemble de confrontations.
C'est la dernière des maisons que nous venons
de visiter dans notre programme. Aucune perle
rare n'égaille notre curiosité. Qui sais, par
valeur de cette habitation ?
La réponse véhicule une forte secousse ,
220 000 francs pour une aussi grande maison,
ce n'est qu'une bagatelle nous fait elle comprendre.
Sacré journée que de chercher pour augmenter
notre patrimoine dans de la pierre de misère.
Le petit dessin d'une copieuse maison de
campagne ne correspond a notre imagination.
Nos salutations se font avec respect dans le doute
d'une réflexion sur un éventuelle achat ?
Dans nos cœur reste gravé notre déception
amère .
Je garde de cette journée de découverte une
déception pas très concrète sur l' honnêteté de ces
vendeurs de biens. Ils se basent sur notre
ignorance et sur leur publicité malhonnête.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
écrit le 10 04 2011, remis a jour le 09 10 2019.
A ce jour, 10 04 2011, 1603 lecteurs .
A ce jour, 30 10 2018, 105 977 lecteurs .
A ce jour, 09 10 2019, 116 200 lecteurs.
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A LA RECHERCHE D'UNE MAISON
SECONDAIRE
Le soleil devient notre première référence, pour
cette remarque nous tentons de trouver une
ancienne bâtisse dans le sud de la France, la où
le soleil montre sa référence comme signe
indubitable.
L'on se tourne vers les annonces de journaux
qui priment la vente de cette sorte de maison.
Notre chance trouve ce donc nous cherchons, aussi
bien dans la région qui nous attire.
Le prix évoque une valeur équitable a notre
revenu, cela mérite que nous nous attardons . Je
laisse fuir toute mon indulgence vers cette belle
région de France.
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Notre curiosité cultive une tournure sans pareillecar, sans perdre de temps, nous prenons contacte
avec la personne qui s’occupe de cet engagement.
Elle nous fait part par écrit de la surface et de la
description de chaque habitation disponible, aussi
que tu prix demandé par les propriétaires.
Au terme de se laisser hypnotiser par des mots
de convergence, nous voila sur des propos digne
d'une ritournelle d'importance qui mérite qu'un
départ sois programmé pour voir en réalité et
toucher cette pierre que l'on veut acquérir. Il
faut voir cette habitation car son prix éblouit toute
transaction.
L'ignorance épouse une faiblesse, celle qui
réveille une imagination détournent la réalité.
Notre méfiance cultive un facteur qui nous
entraîne vers une aventure ternit de mépris
englobant l’âme de notre naïveté.
La route devient interminable, le paysage
autoroutier engloutit la somme de 273 francs au
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total pour un allé et un plein de gaz oïl pour unedistance de 850 kilomètres.
Enfin, nous voila auprès de ce village tant
pavoisé où la tranquillité signe une marque de
silence sur la place du village où nous prenons
assise sur un des bancs.
Les platanes sont élingué hardiment car il ne
reste plus que des grosses branches sans une
seul feuille. Le soleil prête sa parure avec
bienfaisance, que nos corps emmagasine avec
appréciation.
Notre mirage de liberté nous dévoile une chaîne
de maisons engouffré l'une près de l'autre. Cette
conception d'habitation en escargot, ne nous donne
aucune valeur attractive aux regards que prête
notre estime !
Ne perdons pas notre nord et laissons nous bercer
par des promesses du Sud que cette annonce nous
a glorifié. Notre rêverie tient sur un bon fil solide,
pas de doute cela correspond.
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Une cabine téléphonique a carte , nous permetde contacter la personne pour la prévenir de notre
arrivé. Il est 11 heures, et la réponse que nous
enregistrons consiste de leur accorder une petite
patience de 25 minutes jusqu'à leur arrivé.
La route demandait de la patience mais cette
attende de 25 minutes grave dans notre estime
une impatience houleuse. On se gave de la beauté
des vielles pierres de maisons qui nous entourent,
elles nous ébahissent avec philosophie. Plusieurs
petits commerces , rustique, entourent cette place .
Au milieu, dans le fond de la place, un grand
bâtiment avec des lettres dorée sur la façade
dénonce comme étant la maison communal.
Aucun sifflement d'oiseaux ne vient interrompre
ce doux silence du midi de la France.
Cela harmonise avec louange une part de notre
repos mérité que nous prenons sur cette place de
ce village.
Enfin, notre tuteur de guide, d'une cinquantaine
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d'année, coupe cette translucidité avec résonance.Elle vient a notre rencontre pour nous saluer
dans la marge d'une félicité. Elle nous présente
son mari ainsi que son fils. Ils nous accueillent
avec un sourire et un hommage commerciale.
Nous suivons ce trio qui nous sert de guide dans
cette belle contrée inconnu pour notre
élucubration.
La première des habitations que nous visitons
se trouve pas loin de cette place. Ils nous guident
dans une petite ruelle qui longe la place de la
maison communal. Dans ce passage pas bien
grand, nous nous arrêtons près d'une maison
qui fait angle. Cette bâtisse difforme fait de
pierre de taille, attire nos trois guide qui ouvre
la porte d'entrée pour nous la faire visiter.
Sur le moment notre surprise nous laisse pensif
car notre savoir émeut toutes nos imaginations.
L'on est surpris, ma femme et moi, de cette
brusque mise a l'épreuve. Nous gardons une
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certaine inadvertance sur notre comportementpour connaître une suite sans bouleversement.
La façade n'est pas plus large que deux mètres
cinquante ! La porte d'entrée en chêne massif de
quatre vingt dix centimètre proprement verni a
un aspect de neuf, en son milieu une grande vitre
fenêtre permet que la clarté pénètre dans le
couloir. On nous fais comprendre que cette
maison a une importance primordiale.
Après avoir fouillé dans un sac en plastique
de supermarché, la Dame, de grand âge, tente de
trouver la bonne clé de cette porte d'entrée. Le
bruit métallique d'une multitude d'autres clé
provoquent une ritournelle de frottement. Elle
nous ouvre cette porte de chêne, puis, une odeur
de renfermé et de moisissure s’échappe de l'entrée.
Nous pénétrons dans une grande pièce biscornu,
carrelé et propre a notre regard. Des meubles sont
éparpillé et un petit désordre fait en sorte que
notre attention se laisse détourner de notre
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objectif primordial. De nombreuses pièces suiventdans un ordre bien confuse.
Le prix devient un facteur ombragé par sa
lumière bien trot élevé, 220 000 francs pour une
masure sans fenêtre.
Dans une autre rue du village, nous visitons
une autre conspiration faite d'une ritournelle de
petites chambres superposés.
Sur le fait notre attention se laisse impressionné
par le non de la bâtisse qui nacre sa valeur ; je le
retient avec félicité, ( La maison des Anglets ).
Quant a son prix, 210 000 francs fait valser notre
attention. La maison possède une petite terrasse
au premier, d'une grandeur de deux mètres sur
deux, avec un sol carrelé de briques flambées
rouge et dans une niche dans la façade de la
maison voisine, une bouteille de vin rouge y est
emmuré a moitie. Son étiquette nous dévoile
l'année de la mise en bouteille, 1963, un millésime
certainement ?
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Ce petit recoin entouré de haut murs, ne laissepasser que peu de regard et de liberté vers cette
belle région du Roussillon.
Il est midi, dans le Sud de la France plus
personne ne s'aventure dans les ruelles que nous
empruntons.
Nous visitons une habitation où il reste l’âme
vivante d'un couple que l'on doit déranger pendant
leur repas. De l'entrée, nous récoltons l'odeur
appétissante d'omelette et de pommes de terre
grillé. Nos estomacs crie famine. Nous entrons
dans cette habitation par la cave au niveau de
la ruelle, elle est grande et haute, le sol est fait en
terre battu. Sur des étagères en pierre , sont
rangé des pommes de toute sorte qui dégagent
un agréable parfum .
Sans aucun gène, nos trois vendeurs nous font
visiter cette grande maison . Au dessus de la cave
il y a trois pièces très grande de 8 mètres sur quatre
et de belles fenêtres qui donnent de la valeur . A
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chaque extrémité des portes fenêtres permettent desortir de la pièce sur une terrasse de trois mètres
de large sur toute la longueur de la maison qui
doit , je pense avoir ses dix mètres. On peut ainsi
se placer au sud, ou a l'est de l'habitation. Comme
l'habitation principale est situé au sommet, notre
vue se promène par dessus les toitures de ce vieux
village Catalan. Cette habitation retient notre
attention, je questionne la marchante de bien sur
le prix de cette maison. Il était convenu que nous
disposons d'une valeur de 270 000 francs, que la
banque nous met a disposition par un prêt.
Sur l’instant nous ne recevions de réponse, puis
au bout de quelques minutes la marchante nous dit
que se sont 330 000 Francs la mis a prix mais
que nous devions contacter le notaire pour définir
le juste prix il peut certainement le diminuer ?
Nous prenons la route sinueuse qui va nous
faire connaître un autre village dans le Minervois.
Le paysage que nous côtoyons résume d'une
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particularité propre a cette magnifique contréoù de nombreuses vignes, très basse, poussent sur
une terre fertile en cailloux blanc que sur poudre
une fine terre brune. Les cépages y sont nombreux.
Il sonne 14 heures lorsque nous entrons dans ce
village perché, la vendeuses de bien nous propose
d'accepter de prendre un repas dans un typique
petit restaurant du village. La sympathie de
ces occupants nous encadre avec révérence que
j'apprécie. La pièce du café restaurant n'est pas
bien grande, il n'y a que quatre tables, un
comptoir que trois chaises haute entourent.
Je prend place a la fin pour laisser endoctriner
mon regard sur la présentation d'une belle carte
de couleur que l'on nous eut proposé. Sur elle
de nombreuses variétés de petits repas
gastronomique nous accaparent avec envie.
La patience laisse s'évader le germe d'une
multitude d'attentions . Des remarques que
nous portons les un envers les autre, donnent
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une sorte de psychologie qui analyse notrecomportement. Notre guide donne une
marque de politesse aux assiettes et aux
couverts qui se trouvent sur la table,
- Elle sont jolie vos assiettes madame, c'est la
première fois que j'en voie de cette sorte !
Je prête mon attention a la particularité des
assiettes et trouve des rayures profonde sur
l'ensemble de leur surface. Ce ne sont que de
simple assiette commune que l'on rencontre
dans les marchés de France. De la manière
qu'elle eut parlé, nous met a ce demander ci
c'est la première fois qu'elle vient manger dans
cette établissement ?
- C'est bien la première fois que nous mangeons
dans cette établissement, j'aime ce décor
agrémenté.
Elle le précise avec une finesse peu commune.
D'après la carte l'on se décide de prendre le même
repas pour tout le monde, une manière de gagner
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du temps car d'autres maisons nous attendent.L'on se met en commun accord pour boire de la
bière Allemande en canette, il n'y a pas de bière
en pression.
Nos paroles dévoilent une reconnaissance sur
la valeur et la qualité de cette bière. Nous
discutons de ceci et de cela avec sympathie, puis
notre vendeuse de bien nous demande,
- Voulez vous une autre bière ?
Je ne refuse pas et la commande suit son pas.
La serveuse revient avec une apostrophe qui
signe l'excuse d'un embarras ? Il n'y a plus de
canette de bière dans leur réserve ?
Je rencontre dans cette explication une
douteuse sorte de préméditation qui définit le
frein pour la dépense. Par la suite Ils nous
servent de la salade verte, du poisson grillé et
quelque pommes de terre cuite a l'eau. Puis la
dame nous propose du café je ne refuse point
pour ne pas la vexer !
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Pour demander l’addition, notre guidedemande une facture pour régler l'ensemble
des repas. Elle lui donne un billet de 200 francs .
La discutions suit son cour et dans le tumulte de
nos hésitations la serveuse rapporte la monnaie
de la facture dans une petite assiette ébréché.
Notre guide reprend cette monnaie en contrôlant
la facture. Elle fait un signe a la serveuse pour
lui dire a haute voix qu'elle vient de lui rendre de
trots sur la somme correspondant. Cette attention
lyrique me fait comprendre le jeux psychologique
qu'elle tente de nous endoctriner par cette
référence honnête.
La suite de notre journée de visite nous entraîne
vers une autre maison de ce bourg. Notre déception
mérite des explications car, cette habitation est en
pleine transformation. Rien ne répond aux normes
de la bonne conjonction et je remarque que ce
bricolage mérite une vérification profonde dans
toutes les conceptions allant de la maçonnerie au
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conduit d'eau , du courant électrique au manque dechauffage. Une nouvelle déception garnie notre
journée.
Nous partons dans un autre village placé sur le
sommet d'une petite colline. L’enchevêtrement des
maisons est si rapproché qu'il est difficile de passer
dans la ruelle avec notre voiture . Nous devons la
garer au centre du village.
La porte d'entré métallique vitré, en bon état, se
trouve dans la façade de la maison voisine. La
maison est peinte en rose vieilli par la poussière et
les sali des cheminées et aération environnante.
Je prête attention sur une coulée claire qui marque
la façade, elle provient de la toiture. Cette traînée
verbalise certaines réflexion. L'entrée est une vaste
pièce biscornu, de 7 mètres sur 10, ou se trouve la
cuisine, les toilettes et elle fait aussi guise de salon .
Un escalier métallique, adossé au mur du fond,
pas bien large, permet une accession a l'étage
suivant. La même étendu en surface départagé
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en deux, comporte deux chambres où il n'y aqu'une des pièces avec lumière naturelle.
Un autre escalier en métal pas bien large permet
d'accéder au deuxième étage. La , une grande
cuisine qui fait en même temps salle a manger.
Un autre escalier nous permet d’accéder sur la
terrasse et la une petite pièce , couverte de tuiles
romane, nous fait découvrir la machine a laver .
Un mur entoure cette terrasse, il est recouvert de
tuiles romane. Le carrelage de la terrasse est
fendu a plusieurs endroits. Pas de doute que les
murs intérieure germe une moisissure .
L'étanchéité laisse a désirer. La vue de cette
terrasse donne sur les toitures du village le
soleil nous dévoile son espace de bien être, pas
de verdure, pas de mer, seul le bleu du ciel nous
convoite.
Nos remarques ne sont pas preneur. Il est 16
heures 30 et le temps passe avec embarras.
La journée se charge de déceptions.
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Nous quittons cette colline pour visiter uneautre bâtisse qui se trouve a quelques pas de la.
La façade est triste, gris, et s'écaille. Aucune
couleur ne vient nous égailler seul la grisaille et
la poussière verbalisent nos pensées. C'est avec
peine que nous parvenons a ouvrir la porte
d'entrée, le bois très vétuste, est déformé. Les
pièces sont grande et vaste mais modeste par
la malpropreté qui y règne. L' humidité nous
repousse avec mépris.
Ma femme vient d'appuyer sa main contre le
mur de la cuisine, sa main pénètre dans le plâtre.
Des traces de minuscule champignons tapissent
les murs et une sensation de démangeaison se
fait ressentir.
De déception en compromission, nous voilons
notre face par un ensemble de confrontations.
C'est la dernière des maisons que nous venons
de visiter dans notre programme. Aucune perle
rare n'égaille notre curiosité. Qui sais, par
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coutume, pourquoi ne demande on pas lavaleur de cette habitation ?
La réponse véhicule une forte secousse ,
220 000 francs pour une aussi grande maison,
ce n'est qu'une bagatelle nous fait elle comprendre.
Sacré journée que de chercher pour augmenter
notre patrimoine dans de la pierre de misère.
Le petit dessin d'une copieuse maison de
campagne ne correspond a notre imagination.
Nos salutations se font avec respect dans le doute
d'une réflexion sur un éventuelle achat ?
Dans nos cœur reste gravé notre déception
amère .
Je garde de cette journée de découverte une
déception pas très concrète sur l' honnêteté de ces
vendeurs de biens. Ils se basent sur notre
ignorance et sur leur publicité malhonnête.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
écrit le 10 04 2011, remis a jour le 09 10 2019.
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