STATION DEBOUT ( nouvelle 48 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Durant la récréation de nombreux
cris décachette les enfants dans leurs
jeux sportifs. Leur comportement est
dénonciateur car certain ont des
réactions sportif et d'autre pas.
L’enthousiasme de cette ribambelle
de champions vigoureux développe le
volume d'une énergie vocale qui
dépasse le son timide de la petite
cloche de l'école. Sa présence a du
mal de percer cet envoûtement
glorieux.
enseignants se sont regroupé sur la
troisième et dernière marche devant
la porte donnant accès aux classes.
Cette domination élévatrice permet
une détermination précise sur
chaque réaction individuelle des
élèves.
Cela fait trois semaines que la
rentrée eut démarré. Le rythme de la
convergence épouse certaines
habitudes.
Un groupe d'écoliers se retrouvent
autour de la fontaine en fonte, nulle
remarque contradictoire ne peut faire
l'objet d'une remontrance. Par contre ,
sous le préau, un ensemble de
turbulents n'observe aucune marge
de non violence, ils se chahutent
brillamment.
présence du directeur régional des
écoles. Sa présence consiste de
suivre le comportement compétitif des
élèves.
- Ce jeune garçon, monsieur Alain ,
se déplace avec rapidité, ce sera un
bon coureur pour nos compétitions.
- Je le pense aussi , monsieur le
directeur, c'est avec une vive
attention que je le retient pour
l'équipe de course a pied dans
l'interclasse.
Le directeur veut s'attribuer la
sélection des prochaines graines de
champions et championnes capable
de moissonner des coupes. Le maître
de la primaire, monsieur Marc, tente
de sélectionner dans son caractère de
fin musiciens, des élèves pour la
Quant a la maîtresse, madame
Bertin, elle fait son trie pour des
fervents de la pâte a sel. Pour elle se
sont les filles qui jalonnent le mieux
ce loisir manuel.
La cloche annonce timidement la fin
de la récréation. Les enfants se
rassemblent en silence méthodiquement.
Dans l'arrière cour, près de la fontaine
en fonte, une fillette verbalise du
retard vis a vis de ses camarades, elle
se déplace avec peine vers les rangées
d'écoliers qui se sont aligné devant
les trois marches d’axé a leur classe.
Monsieur le directeur remarque la
difficulté de cet enfant, il pose des
questions,
- Mais, quel sont les problèmes qui
verbalise cet enfants , sa difficulté
Le son de sa voix devient rude et
puissante, elle plane sur le silence du
rassemblement. Son attention dénonce
peut de sagesse car les trais de son
visage rime avec la rudesse de ses
paroles. Ce comportement bouleverse
l'ensemble des enseignants et des
élèves. La puissance de sa voix
résonne jusque dans le préau distant
de plus de trente mètres.
- Mais, regardez cette fillette la,
pour quelle raison ne se déplace
telle pas aussi vite que ses
compagnons de jeux ? Je trouve
bizarre son comportement. Il ne
faut pas que cet handicap puisse
embarrasser l'ensemble de nos
élèves. Madame Bertin, vous ne
m'avez pas fais part de l'incapacité
- Non monsieur le directeur, mon
élève apprend bien en classe et
comprend sans difficulté tous nos
cours, elle n'a aucune lacune .
- Je veux croire votre indifférence,
mais, madame Bertin, vous vous
rendez compte, un enfant qui boite
et avance avec peine ? Sa lenteur
devient incontestable parmi des
enfants normaux, elle peut
déstabiliser tout l'ensemble de
notre école.
Madame Bertin vient de subir un
blâme, sur cet enfant sans retard
intellectuelle. Pour elle cette enfant
ne mérite une excommunication de
l'établissement. Comment une telle
confrontation peut elle rentrer dans
les mœurs du directeur régional des
sports ? Ce comportement épouse
qu'engainent les pensées de son
supérieur.
Le directeur tourne sa moustache
grise avec vive satisfaction. Son air
dominateur réveille celui de son
orgueil dut a la place de sa nomination.
Je le compare au réverbère qui ne
brûle que pour éclairer une certaine
partie de la nuit. Il approuve par ce
comportement la puissance de son
jugement comme in menhir supérieur
qui décide de ce qui se jouera. C'est
lui le metteur en scène de ce qui suivra,
il tirera les ficelles des obligations de
cet établissement, ce sera lui seul qui
détient la responsabilité des enfants et
ce n'est pas une fillette aussi incomplet
qui risquera de déstabiliser l'ensemble
de ses écoliers.
soit crée, je tiendrai l’académie au
courant de mes entendions et
convoquerai les parents de l'élève
pour leur faire comprendre que
cette école n'est pas un lieu pour un
enfant handicapé.
Personne ne rajoute de parole et le
soir venu, l'élève Angélique Rellum
emporte la lettre qui l'exclu de cet école.
Les parents sont troublé par cette
exclusion qui bafoue leurs sentiments.
La fillette de six ans ne comprend pas
le motif de cette interdiction, ce
changement la bouleverse
profondément. Elle en pleure durant
le questionnaire qu'elle pose a ses
parents.
- C'est pour quelle raison que je n'ai
plus le droit de retourner en classe ?
ne trouve son pesant d’être et le moral
des parents frictionne une réponse tant
bien que mal,
- Tu sais Angélique, il y a trots
d'élèves a l'école, tu devras rester
quelques temps a la maison.
Des ombres de révolte plane dans les
pensées des parents. Ils ne tardent
d'écrire une lettre recommandé a leur
médecin de famille, une autre au
médecin conseil qui leur eut accordé
son invalidité permanent, et une autre
a la mairie du village .
Dans la suite de cette histoire, aucune
des démarches ne parvient de
transformer le refus du directeur car, il
persiste impunément sur sa décision.
Revenir en arrière c'est abaisser son
caractère, il n'est point question, formalité
l'en oblige.
Pour qu'une commission soit complet,
il faut trois mois ; ce qui congédie
l'enfant un trimestre. Trois mois, mais
cet enfant a le droit de prendre des cours
comme tous les enfants de son âge ?
mais que ce passe t il donc dans la tête
de ce directeur très impudent ? Je trouve
que son langage pervers signe une sorte
de chantage ainsi que celui d'une ingrate
injustice. Nous ne devons laisser macérer
cette malfaçon, il y a iniquité .
Le père résonne comme cela, il ne
laisse pas le temps s'égarer les idées
délictueux. Plusieurs lettres recommandés
suivent auprès de la magistrature. Au
bout de deux semaines, enfin une décision
est prise.
La famille doit se présenter devant la
commission comme des prévenus
impliqué dans une malfaçon.
salle de la marie de la commune concerné.
Les grands fonctionnaires possèdent la
chance de pouvoir s'attabler autour d'une
vaste table ovale, faite en dur bois de
chêne. Ils sont confortablement assit
dans de profonde chaises capitonnées.
Ces orateurs se comptent au nombre
de treize personnes. Les représentants
sont, Le directeur de sport, de la
maîtresse, madame Bertin, du maître
d’école, monsieur Marc le maire du
village, du médecin de famille, d'un
disciple de l'académie de Strasbourg,
de deux psychiatres qu'accompagnent
deux psychologues, d'une assistance
sociale, d'un orthophoniste et un
représentant contrôleur de la caisse
d'assurance de maladie.
Le silence devient maître suprême
famille et l'enfant en question pénètre
dans cette vaste salle .
Dans un lieu aussi prodige, la
politesse doit suivre ; le moindre mot
n'évoque un signe de sagesse a
l'encontre de la mise a l'épreuve des
prévenus, personne ne répond au
bonjour de cette famille. Cette masse
d’intellectuelle ne sonne un seul mot.
Dans le silence de la salle, vibre un
son timide ; c'est Angélique qui, donne
un ton de politesse. De se bonjour
raisonnable brille celui d'une sagesse
généreuse.
Aucune personne ne s'abaisse pour
lui répondre. Des hochements de tête
marquent leur présence.
Le moral de toute la famille Rellum
risque de ce cloîtrer dans une attention
leur intentions tente d'alléguer des
propos équilibrés. Pour cela ils apportent
une formule magique pour dénoncer
le poids de l'injustice qui les accable.
Tenir tête au directeur c'est cultiver le
risque de se voir désœuvré du moindre
support éducatif. La volonté de réussir
leur objectif devient plus fort que celui
du directeur car, la valeur de leur
enfant signe une richesse personnelle.
Nulle écriture disparate ne peut
déséquilibrer la valeur de leur enfant.
Il faut qu'elle puisse a nouveau retourner
dans son école. La parole va a ce
directeur pervers,
- Comme vous pouvez le constater,
messieurs, cette fillette la possède
des difficultés pour ce déplacer. Il
n'est indigne vis a vis des autres
de l'accepter au sain dans mon école.
Les parents en sont frustré par cette
gérance, ils n'ont pas le droit a la parole.
Leur station debout devient pénible,
surtout pour Angélique. Elle ne marque
nulle peine pour cette contrainte. Il
faut comprendre cet enfant tient a
reprendre ses cours dans le village.
L’assistante sociale connaît le dossier
d'Angélique pour elle ce n'est pas juste
qu'ont la refuse a l'école elle demande,
- Quelle raison exacte pousse votre
responsabilité de ne point accepter
cette enfant dans l'école, monsieur
le directeur ?
- Cet enfant ne peut monter
allègrement les trois marches qui lui
permet d'aller en classe. Dans le cas
d'une chute, je serai tenu comme
Les parents écoutent avec
incompréhension et révoltant ce
stratagème qui vient d'abaisser avec
pudeur Angélique . Tout cela provient
du directeur de l'école. l'orthophoniste
demande a l'enfant,
- Quel est ton nom de famille et ton
prénom, où habites tu et quel âge
as tu ?
La station debout de la fillette devient
pénible mais, cette note d'importance
lui redonne un vive courage. La
question posé active un charme certain,
car enfin, elle est prise au sérieux et
peut s'exprimer. Elle fait un sourire
serein et adresse a l’orthophoniste la
réponse suivante,
- J Je m'appelle Rellum Angélique ,
madame, j'habite a Matwiller et
- Pour une enfant de six ans elle
parle très bien ! )
L' orthophoniste en est ravie, son
attention penche du bon coté. Les deux
psychologues se lèvent pour l’occulter
physiquement. L'un lui demande ci
elle pouvait décrire un cercle en
marchant sans l'aide de qui que se sois.
Elle fait cette figure avec simplicité
mais avec un rythme approprier a son
handicap.
- Ses réactions sont normal et sa
démarche raisonnable pour la
malformation de sa jambe, je n'ai
pas de reproche a constater.
Le maire du village s'exprime en
demandant au directeur de l'école,
- Monsieur le directeur dois je faire
modifier les marches de l'école
plus facilement en classe ?
Cette remarque trouble le directeur
qui,
- Monsieur le maire, votre proposition
est généreuse , mais ma responsabilité
ne peut accepter votre requête car
dans le village voisin l'école n'a pas
de marche elle est construite au
niveau du sol. Il suffit de l'envoyer
la bas !
- Vous avez demandé que l'enfant
poursuit ses cours dans une école
spécialisé, monsieur le directeur ?
- Oui, effectivement, vue quelle
présente une malformation, les
marches deviennent un obstacle
dangereux.
L’employer de la caisse de la sécurité
sociale expose sa requête,
une école spéciale, cela revient
pour la société une charge imposante
car il faut lui attribuer un moyen de
transport durant toute sa scolarité.
Je doute que l'efficacité de cette
excommunication puisse lui venir
en aide !
Les pensées du directeur changent de
comportement, il tente de trouver assise
auprès du maître d'école ,
- Monsieur Marc, cet enfant ne présent
il pas un handicap pour notre
programme sportif ?
- Oui monsieur le directeur, elle ne
pourra se présenter sur la liste de nos
compétitions
- Et pour vous madame Bertin ?
- Je n'ai rien a lui reprocher, elle suit
convenablement les cours et ne
sont fait avec exactitude, elle n'a
pas eut d'absentéisme jusqu'au
moment où vous l'avez renvoyé !
Le visage des parents de l'enfant
trouvent dans ce dialogue une bonne
part d’autodéfense, bien que la partie
ne touche sa fin. Le médecin de famille
présente les radios et les résultats des
analyses et rajoute avec ambivalence,
- La malformation d'une jambe ne
veut pas dire que cet enfant soit
exclu de la vie normal, l’empêcher
de vivre et d'évoluer avec les autres
enfants du village natale c'est
pousser dans un précipice une
personne qui demande de l'aide.
Ce que vous imposez, monsieur le
directeur, c'est obliger une famille
d'ouvrier a faire des dépenses
familiale. Je reste sur ma position
de défense et me garde de rajouter
d'autres paroles !
L'académicien de Strasbourg regarde
a gauche, puis a droite et hanche sa
tête en disant ,
- L'enfant n'a pas de faiblesse
mentale, conclusion, elle peut
rester dans cette école !
Les deux psychiatres ,songeur, lancent
avec refrain,
- Oui l'enfant ne présente aucun trouble
mentale, elle peut rester dans l'école
et suivre ses études.
L'histoire se termine sur une bonne
voie, mais, doit on en venir la pour
prouver qu'une personne mal formé
ne possède pas les même capacités
intellectuel que nous autres ?
Durant les années qui suivent les
mêmes réserves furent posé et a la fin
de chaque plaidoirie le directeur eut
perdu un peu de son assise.
Deux dizaines d'années se sont
écoulé, Angélique détient un poste
de notable dans la magistrature.
Aucun obstacle ne l'eut freiné, pas
même celui des futures marches a
monter !!!
Merci monsieur le directeur.
( Angélique Rellum )
1
STATION DEBOUT
Durant la récréation de nombreux
cris décachette les enfants dans leurs
jeux sportifs. Leur comportement est
dénonciateur car certain ont des
réactions sportif et d'autre pas.
L’enthousiasme de cette ribambelle
de champions vigoureux développe le
volume d'une énergie vocale qui
dépasse le son timide de la petite
cloche de l'école. Sa présence a du
mal de percer cet envoûtement
glorieux.
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Pour surveiller les élèves, lesenseignants se sont regroupé sur la
troisième et dernière marche devant
la porte donnant accès aux classes.
Cette domination élévatrice permet
une détermination précise sur
chaque réaction individuelle des
élèves.
Cela fait trois semaines que la
rentrée eut démarré. Le rythme de la
convergence épouse certaines
habitudes.
Un groupe d'écoliers se retrouvent
autour de la fontaine en fonte, nulle
remarque contradictoire ne peut faire
l'objet d'une remontrance. Par contre ,
sous le préau, un ensemble de
turbulents n'observe aucune marge
de non violence, ils se chahutent
brillamment.
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Ce présent jour, l'on honore laprésence du directeur régional des
écoles. Sa présence consiste de
suivre le comportement compétitif des
élèves.
- Ce jeune garçon, monsieur Alain ,
se déplace avec rapidité, ce sera un
bon coureur pour nos compétitions.
- Je le pense aussi , monsieur le
directeur, c'est avec une vive
attention que je le retient pour
l'équipe de course a pied dans
l'interclasse.
Le directeur veut s'attribuer la
sélection des prochaines graines de
champions et championnes capable
de moissonner des coupes. Le maître
de la primaire, monsieur Marc, tente
de sélectionner dans son caractère de
fin musiciens, des élèves pour la
4
chorale de l'église.Quant a la maîtresse, madame
Bertin, elle fait son trie pour des
fervents de la pâte a sel. Pour elle se
sont les filles qui jalonnent le mieux
ce loisir manuel.
La cloche annonce timidement la fin
de la récréation. Les enfants se
rassemblent en silence méthodiquement.
Dans l'arrière cour, près de la fontaine
en fonte, une fillette verbalise du
retard vis a vis de ses camarades, elle
se déplace avec peine vers les rangées
d'écoliers qui se sont aligné devant
les trois marches d’axé a leur classe.
Monsieur le directeur remarque la
difficulté de cet enfant, il pose des
questions,
- Mais, quel sont les problèmes qui
verbalise cet enfants , sa difficulté
5
de déplacement n'est pas cogérante.Le son de sa voix devient rude et
puissante, elle plane sur le silence du
rassemblement. Son attention dénonce
peut de sagesse car les trais de son
visage rime avec la rudesse de ses
paroles. Ce comportement bouleverse
l'ensemble des enseignants et des
élèves. La puissance de sa voix
résonne jusque dans le préau distant
de plus de trente mètres.
- Mais, regardez cette fillette la,
pour quelle raison ne se déplace
telle pas aussi vite que ses
compagnons de jeux ? Je trouve
bizarre son comportement. Il ne
faut pas que cet handicap puisse
embarrasser l'ensemble de nos
élèves. Madame Bertin, vous ne
m'avez pas fais part de l'incapacité
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de cet enfant sur son déplacement ?- Non monsieur le directeur, mon
élève apprend bien en classe et
comprend sans difficulté tous nos
cours, elle n'a aucune lacune .
- Je veux croire votre indifférence,
mais, madame Bertin, vous vous
rendez compte, un enfant qui boite
et avance avec peine ? Sa lenteur
devient incontestable parmi des
enfants normaux, elle peut
déstabiliser tout l'ensemble de
notre école.
Madame Bertin vient de subir un
blâme, sur cet enfant sans retard
intellectuelle. Pour elle cette enfant
ne mérite une excommunication de
l'établissement. Comment une telle
confrontation peut elle rentrer dans
les mœurs du directeur régional des
sports ? Ce comportement épouse
7
celui d'une discrimination socialqu'engainent les pensées de son
supérieur.
Le directeur tourne sa moustache
grise avec vive satisfaction. Son air
dominateur réveille celui de son
orgueil dut a la place de sa nomination.
Je le compare au réverbère qui ne
brûle que pour éclairer une certaine
partie de la nuit. Il approuve par ce
comportement la puissance de son
jugement comme in menhir supérieur
qui décide de ce qui se jouera. C'est
lui le metteur en scène de ce qui suivra,
il tirera les ficelles des obligations de
cet établissement, ce sera lui seul qui
détient la responsabilité des enfants et
ce n'est pas une fillette aussi incomplet
qui risquera de déstabiliser l'ensemble
de ses écoliers.
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- Il faut qu'une commission d'exclusionsoit crée, je tiendrai l’académie au
courant de mes entendions et
convoquerai les parents de l'élève
pour leur faire comprendre que
cette école n'est pas un lieu pour un
enfant handicapé.
Personne ne rajoute de parole et le
soir venu, l'élève Angélique Rellum
emporte la lettre qui l'exclu de cet école.
Les parents sont troublé par cette
exclusion qui bafoue leurs sentiments.
La fillette de six ans ne comprend pas
le motif de cette interdiction, ce
changement la bouleverse
profondément. Elle en pleure durant
le questionnaire qu'elle pose a ses
parents.
- C'est pour quelle raison que je n'ai
plus le droit de retourner en classe ?
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Le thème d'une réponse raisonnablene trouve son pesant d’être et le moral
des parents frictionne une réponse tant
bien que mal,
- Tu sais Angélique, il y a trots
d'élèves a l'école, tu devras rester
quelques temps a la maison.
Des ombres de révolte plane dans les
pensées des parents. Ils ne tardent
d'écrire une lettre recommandé a leur
médecin de famille, une autre au
médecin conseil qui leur eut accordé
son invalidité permanent, et une autre
a la mairie du village .
Dans la suite de cette histoire, aucune
des démarches ne parvient de
transformer le refus du directeur car, il
persiste impunément sur sa décision.
Revenir en arrière c'est abaisser son
caractère, il n'est point question, formalité
l'en oblige.
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Pour qu'une commission soit complet,
il faut trois mois ; ce qui congédie
l'enfant un trimestre. Trois mois, mais
cet enfant a le droit de prendre des cours
comme tous les enfants de son âge ?
mais que ce passe t il donc dans la tête
de ce directeur très impudent ? Je trouve
que son langage pervers signe une sorte
de chantage ainsi que celui d'une ingrate
injustice. Nous ne devons laisser macérer
cette malfaçon, il y a iniquité .
Le père résonne comme cela, il ne
laisse pas le temps s'égarer les idées
délictueux. Plusieurs lettres recommandés
suivent auprès de la magistrature. Au
bout de deux semaines, enfin une décision
est prise.
La famille doit se présenter devant la
commission comme des prévenus
impliqué dans une malfaçon.
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La rencontre se fait dans une grandesalle de la marie de la commune concerné.
Les grands fonctionnaires possèdent la
chance de pouvoir s'attabler autour d'une
vaste table ovale, faite en dur bois de
chêne. Ils sont confortablement assit
dans de profonde chaises capitonnées.
Ces orateurs se comptent au nombre
de treize personnes. Les représentants
sont, Le directeur de sport, de la
maîtresse, madame Bertin, du maître
d’école, monsieur Marc le maire du
village, du médecin de famille, d'un
disciple de l'académie de Strasbourg,
de deux psychiatres qu'accompagnent
deux psychologues, d'une assistance
sociale, d'un orthophoniste et un
représentant contrôleur de la caisse
d'assurance de maladie.
Le silence devient maître suprême
12
de cette pièce jusqu'au moment où lafamille et l'enfant en question pénètre
dans cette vaste salle .
Dans un lieu aussi prodige, la
politesse doit suivre ; le moindre mot
n'évoque un signe de sagesse a
l'encontre de la mise a l'épreuve des
prévenus, personne ne répond au
bonjour de cette famille. Cette masse
d’intellectuelle ne sonne un seul mot.
Dans le silence de la salle, vibre un
son timide ; c'est Angélique qui, donne
un ton de politesse. De se bonjour
raisonnable brille celui d'une sagesse
généreuse.
Aucune personne ne s'abaisse pour
lui répondre. Des hochements de tête
marquent leur présence.
Le moral de toute la famille Rellum
risque de ce cloîtrer dans une attention
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vide de toute action mais, la force deleur intentions tente d'alléguer des
propos équilibrés. Pour cela ils apportent
une formule magique pour dénoncer
le poids de l'injustice qui les accable.
Tenir tête au directeur c'est cultiver le
risque de se voir désœuvré du moindre
support éducatif. La volonté de réussir
leur objectif devient plus fort que celui
du directeur car, la valeur de leur
enfant signe une richesse personnelle.
Nulle écriture disparate ne peut
déséquilibrer la valeur de leur enfant.
Il faut qu'elle puisse a nouveau retourner
dans son école. La parole va a ce
directeur pervers,
- Comme vous pouvez le constater,
messieurs, cette fillette la possède
des difficultés pour ce déplacer. Il
n'est indigne vis a vis des autres
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écoliers, de prendre la responsabilitéde l'accepter au sain dans mon école.
Les parents en sont frustré par cette
gérance, ils n'ont pas le droit a la parole.
Leur station debout devient pénible,
surtout pour Angélique. Elle ne marque
nulle peine pour cette contrainte. Il
faut comprendre cet enfant tient a
reprendre ses cours dans le village.
L’assistante sociale connaît le dossier
d'Angélique pour elle ce n'est pas juste
qu'ont la refuse a l'école elle demande,
- Quelle raison exacte pousse votre
responsabilité de ne point accepter
cette enfant dans l'école, monsieur
le directeur ?
- Cet enfant ne peut monter
allègrement les trois marches qui lui
permet d'aller en classe. Dans le cas
d'une chute, je serai tenu comme
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responsable de l'accident.Les parents écoutent avec
incompréhension et révoltant ce
stratagème qui vient d'abaisser avec
pudeur Angélique . Tout cela provient
du directeur de l'école. l'orthophoniste
demande a l'enfant,
- Quel est ton nom de famille et ton
prénom, où habites tu et quel âge
as tu ?
La station debout de la fillette devient
pénible mais, cette note d'importance
lui redonne un vive courage. La
question posé active un charme certain,
car enfin, elle est prise au sérieux et
peut s'exprimer. Elle fait un sourire
serein et adresse a l’orthophoniste la
réponse suivante,
- J Je m'appelle Rellum Angélique ,
madame, j'habite a Matwiller et
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j'ai six ans,- Pour une enfant de six ans elle
parle très bien ! )
L' orthophoniste en est ravie, son
attention penche du bon coté. Les deux
psychologues se lèvent pour l’occulter
physiquement. L'un lui demande ci
elle pouvait décrire un cercle en
marchant sans l'aide de qui que se sois.
Elle fait cette figure avec simplicité
mais avec un rythme approprier a son
handicap.
- Ses réactions sont normal et sa
démarche raisonnable pour la
malformation de sa jambe, je n'ai
pas de reproche a constater.
Le maire du village s'exprime en
demandant au directeur de l'école,
- Monsieur le directeur dois je faire
modifier les marches de l'école
17
pour que l'enfant puisse accéderplus facilement en classe ?
Cette remarque trouble le directeur
qui,
- Monsieur le maire, votre proposition
est généreuse , mais ma responsabilité
ne peut accepter votre requête car
dans le village voisin l'école n'a pas
de marche elle est construite au
niveau du sol. Il suffit de l'envoyer
la bas !
- Vous avez demandé que l'enfant
poursuit ses cours dans une école
spécialisé, monsieur le directeur ?
- Oui, effectivement, vue quelle
présente une malformation, les
marches deviennent un obstacle
dangereux.
L’employer de la caisse de la sécurité
sociale expose sa requête,
18
- Pour envoyer cette fillette dansune école spéciale, cela revient
pour la société une charge imposante
car il faut lui attribuer un moyen de
transport durant toute sa scolarité.
Je doute que l'efficacité de cette
excommunication puisse lui venir
en aide !
Les pensées du directeur changent de
comportement, il tente de trouver assise
auprès du maître d'école ,
- Monsieur Marc, cet enfant ne présent
il pas un handicap pour notre
programme sportif ?
- Oui monsieur le directeur, elle ne
pourra se présenter sur la liste de nos
compétitions
- Et pour vous madame Bertin ?
- Je n'ai rien a lui reprocher, elle suit
convenablement les cours et ne
19
trouble pas la classe, ses devoirssont fait avec exactitude, elle n'a
pas eut d'absentéisme jusqu'au
moment où vous l'avez renvoyé !
Le visage des parents de l'enfant
trouvent dans ce dialogue une bonne
part d’autodéfense, bien que la partie
ne touche sa fin. Le médecin de famille
présente les radios et les résultats des
analyses et rajoute avec ambivalence,
- La malformation d'une jambe ne
veut pas dire que cet enfant soit
exclu de la vie normal, l’empêcher
de vivre et d'évoluer avec les autres
enfants du village natale c'est
pousser dans un précipice une
personne qui demande de l'aide.
Ce que vous imposez, monsieur le
directeur, c'est obliger une famille
d'ouvrier a faire des dépenses
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imprévu ce qui fragilise le noyaufamiliale. Je reste sur ma position
de défense et me garde de rajouter
d'autres paroles !
L'académicien de Strasbourg regarde
a gauche, puis a droite et hanche sa
tête en disant ,
- L'enfant n'a pas de faiblesse
mentale, conclusion, elle peut
rester dans cette école !
Les deux psychiatres ,songeur, lancent
avec refrain,
- Oui l'enfant ne présente aucun trouble
mentale, elle peut rester dans l'école
et suivre ses études.
L'histoire se termine sur une bonne
voie, mais, doit on en venir la pour
prouver qu'une personne mal formé
ne possède pas les même capacités
intellectuel que nous autres ?
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Durant les années qui suivent les
mêmes réserves furent posé et a la fin
de chaque plaidoirie le directeur eut
perdu un peu de son assise.
Deux dizaines d'années se sont
écoulé, Angélique détient un poste
de notable dans la magistrature.
Aucun obstacle ne l'eut freiné, pas
même celui des futures marches a
monter !!!
Merci monsieur le directeur.
( Angélique Rellum )
Texte écrit pour que la société respecte tous ceux
qui n'ont pas le même comportement.
A ce jour, 24 12 2010 ,1 100 lecteurs
A ce jour , 02 05 2013, 61 108 lecteurs.
A ce jour, 04 01 2015 , 82 700 lecteurs.
A ce jour, 17 07 2018 , 103 910 lecteurs.
A ce jour, 24 09 2019, 115 557 lecteurs.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
Ecrit le 24 12 2010.
A ce jour, 24 12 2010 ,1 100 lecteurs
A ce jour , 02 05 2013, 61 108 lecteurs.
A ce jour, 04 01 2015 , 82 700 lecteurs.
A ce jour, 17 07 2018 , 103 910 lecteurs.
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A ce jour, 19 05 2021, 151 763 lecteurs.
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A ce jour, 20 05 2023, 175 711 lecteurs.
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
Depuis l'écriture de ce texte, il y eut
beaucoup de changement dans les entreprises
au sujet de personnes différente.
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