LEUR RENCONTRE ( nouvelle 38 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
1
Quant les gens prennes
de l'âge leurs histoires
deviennent fiction
.
LA RENCONTRE
Je pose une question a ma tante de
Bâle
- Quant as tu rencontré ton mari ,
Frédéric ?
- C'est une histoire venu du fond de
ma jeunesse, durant les années
1940 dans la gare de Bâle. Ce jour
la une chaleur insupportable de
mois d’août nous obligeait de boire
de l'eau plus que de coutume.
international Suisse. Comme je
suis infirmière a l’hôpital du canton
de Bâle, mon savoir est sollicité.
J'en suis fière et porte vaillamment
le poids de mon idéologie. Dans la
gare y règne une atmosphère de
routine. Nous avons tous une peur
au ventre car l'affluence des
déportées et les bruits au lointain
des bombardements venus de
l’Alsace nous rendent nerveux.
Nous devons répartir les enfants
dans les familles qui viennent les
prendre en charge, ce n'est pas
une chose facile mais grâce a la
neutralité de la Suisse notre fierté
réussi a sauver des bombardements
tous ces enfants et personnes qui
nous demandent notre aide ; nous
n'a de limite et a chaque arrivage
nous distribuons de la boisson du
pain et quelques friandises. Nous
contrôlons la santé de ces arrivants
qui nous remercie avec bonheur et
compliment. L'affluence est grande
et notre engagement n'a pas de
limite. Ce matin la, j'observe un
train de marchandise stationné la,
il a du arriver dans la nuit. Je suis
prête avec mes collègues que l'on
entreprend le rituelle habituelle.
Mais, un convoi de personnes dans
des wagons de marchandises ce
n'est pas banale ? Avec la guerre
il faut s'attendre a l'impossible.
Nous nous préparons pour se diriger
vers se train français. A ce moment
la police Suisse nous interdit son
venir en aide a ces gens la qui ne
sont que de passage car le train a
pour destination la Pologne. Avec
les bombardements, voyager de
jour devient dangereux. Le train
doit attendre le soir pour repartir.
Tous les occupants avaient soif et la
chaleur devenait intenable sans
boire. Je fis les démarches auprès
de la police Suisse qui rejetait
impérativement ma bonne foi. Il ne
fut pas possible de partager quoi
que se sois. Des soldats de l'armé
Allemande montaient la garde
autour des wagons a bétails. Les
occupants du train parlent tous
en français et me demandent de
l'eau pour leurs enfants qui pleurent
énormément. Mon cœur fait volte
le responsable des hommes de la
croix rouge Suisse. A ce moment la
je rencontre Frédéric qui occupe
cette place. Par mon engagement
et mes explications j'arrive a le
convertir en ma bonne fois, celui
de donner a boire aux occupant de
ce train. Les gardes Allemand sont
contre notre projet comme la police
Suisse. Il nous a fallu de longue
explications, que nous obtenons
l’autorisation de distribuer de l'eau
et vidanger leurs seaux. Les
Allemands nous expliquent que ce
train part pour un camp de remis en
forme. Les portes des wagons
doivent resté cadenassé. Par une
petite ouverture nous faisons passer
les seaux, souvent on en déverse
appellent de l'aide nous somme
tous médusé. Une peine profonde
nous marque. Certaines personnes
nous laissent des lettres que nous
postons par la suite. Je reste avec
Frédéric jusqu’à ce que le train
quitte la gare. A partir de la nous
somme resté fidèle l'un a l'autre.
Le souvenir de ces trains français
qui stationnaient dans la gare le jour
nous ont profondément marqué
surtout après la guerre quant nous
hume appris que les occupants ont
tous disparues dans des camps de
concentration.
JJM
Ecrit ce jour, 26 11 2010, 870 lecteurs
09 07 2018, 103 706 lecteurs
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
Auteur
Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
remis a jour le 13 08 2019 .
A ce jour, 01 08 2019, 114 066 lecteurs.
A ce jour, 13 08 2019, 114 314 lecteurs.
1
Quant les gens prennes
de l'âge leurs histoires
deviennent fiction
.
LA RENCONTRE
Je pose une question a ma tante de
Bâle
- Quant as tu rencontré ton mari ,
Frédéric ?
- C'est une histoire venu du fond de
ma jeunesse, durant les années
1940 dans la gare de Bâle. Ce jour
la une chaleur insupportable de
mois d’août nous obligeait de boire
de l'eau plus que de coutume.
2
J'étais de service a la croix rougeinternational Suisse. Comme je
suis infirmière a l’hôpital du canton
de Bâle, mon savoir est sollicité.
J'en suis fière et porte vaillamment
le poids de mon idéologie. Dans la
gare y règne une atmosphère de
routine. Nous avons tous une peur
au ventre car l'affluence des
déportées et les bruits au lointain
des bombardements venus de
l’Alsace nous rendent nerveux.
Nous devons répartir les enfants
dans les familles qui viennent les
prendre en charge, ce n'est pas
une chose facile mais grâce a la
neutralité de la Suisse notre fierté
réussi a sauver des bombardements
tous ces enfants et personnes qui
nous demandent notre aide ; nous
3
le faisons avec fierté. Notre ambitionn'a de limite et a chaque arrivage
nous distribuons de la boisson du
pain et quelques friandises. Nous
contrôlons la santé de ces arrivants
qui nous remercie avec bonheur et
compliment. L'affluence est grande
et notre engagement n'a pas de
limite. Ce matin la, j'observe un
train de marchandise stationné la,
il a du arriver dans la nuit. Je suis
prête avec mes collègues que l'on
entreprend le rituelle habituelle.
Mais, un convoi de personnes dans
des wagons de marchandises ce
n'est pas banale ? Avec la guerre
il faut s'attendre a l'impossible.
Nous nous préparons pour se diriger
vers se train français. A ce moment
la police Suisse nous interdit son
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approche. Il n'est pas question devenir en aide a ces gens la qui ne
sont que de passage car le train a
pour destination la Pologne. Avec
les bombardements, voyager de
jour devient dangereux. Le train
doit attendre le soir pour repartir.
Tous les occupants avaient soif et la
chaleur devenait intenable sans
boire. Je fis les démarches auprès
de la police Suisse qui rejetait
impérativement ma bonne foi. Il ne
fut pas possible de partager quoi
que se sois. Des soldats de l'armé
Allemande montaient la garde
autour des wagons a bétails. Les
occupants du train parlent tous
en français et me demandent de
l'eau pour leurs enfants qui pleurent
énormément. Mon cœur fait volte
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face et mon courage me guide versle responsable des hommes de la
croix rouge Suisse. A ce moment la
je rencontre Frédéric qui occupe
cette place. Par mon engagement
et mes explications j'arrive a le
convertir en ma bonne fois, celui
de donner a boire aux occupant de
ce train. Les gardes Allemand sont
contre notre projet comme la police
Suisse. Il nous a fallu de longue
explications, que nous obtenons
l’autorisation de distribuer de l'eau
et vidanger leurs seaux. Les
Allemands nous expliquent que ce
train part pour un camp de remis en
forme. Les portes des wagons
doivent resté cadenassé. Par une
petite ouverture nous faisons passer
les seaux, souvent on en déverse
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une partie. De nombreux pleursappellent de l'aide nous somme
tous médusé. Une peine profonde
nous marque. Certaines personnes
nous laissent des lettres que nous
postons par la suite. Je reste avec
Frédéric jusqu’à ce que le train
quitte la gare. A partir de la nous
somme resté fidèle l'un a l'autre.
Le souvenir de ces trains français
qui stationnaient dans la gare le jour
nous ont profondément marqué
surtout après la guerre quant nous
hume appris que les occupants ont
tous disparues dans des camps de
concentration.
JJM
Ecrit ce jour, 26 11 2010, 870 lecteurs
09 07 2018, 103 706 lecteurs
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
Auteur
Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
remis a jour le 13 08 2019 .
A ce jour, 01 08 2019, 114 066 lecteurs.
A ce jour, 13 08 2019, 114 314 lecteurs.
A ce jour, 06 04 2021, 147 254 lecteurs.
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