LA VIEILLE DAME ( nouvelle n 7 )
mirage au dessus des nuages sage n 1
De ma jeunesse je garde une profonde trace, est incrusté
dans mon cœur un triste souvenir que je n'arrive pas à
effacer. Pour que je puisse me soulager de celui-ci, je
vais donc raconter mon histoire à autrui.
dans mon cœur un triste souvenir que je n'arrive pas à
effacer. Pour que je puisse me soulager de celui-ci, je
vais donc raconter mon histoire à autrui.
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A la fleur de mon âge, j'ai la réputation d'une bonne
mère de famille. Elle se compose de trois enfants et un
mari que je vénère toujours. Les enfants ont pour l'aine
Marc, dix ans, sept ans pour Liliane ma fille aînée et
cinq ans pour le dernier garçon, Luc. Comme je suis
habile de mes mains, d'une manière générale je
m'acquitte bien de tous les travaux qui incombent à
une mère digne de représenter sa famille avec en plus
un savoir-faire que j'exerce avec facilité : La légèreté
de mon doigté me permet de broder de la lingerie fine,
des rideaux à fleurs, de beaux châles multicolores,
des nappes splendides et beaucoup d'autres choses qui
n'ont pas valeur ordinaire.
mère de famille. Elle se compose de trois enfants et un
mari que je vénère toujours. Les enfants ont pour l'aine
Marc, dix ans, sept ans pour Liliane ma fille aînée et
cinq ans pour le dernier garçon, Luc. Comme je suis
habile de mes mains, d'une manière générale je
m'acquitte bien de tous les travaux qui incombent à
une mère digne de représenter sa famille avec en plus
un savoir-faire que j'exerce avec facilité : La légèreté
de mon doigté me permet de broder de la lingerie fine,
des rideaux à fleurs, de beaux châles multicolores,
des nappes splendides et beaucoup d'autres choses qui
n'ont pas valeur ordinaire.
Cela attire l'attention de mon voisinage qui
m'apporte toute sa sympathie et son encouragement,
que j'accepte avec joie. Il n'y a pas que moi sur qui ces
louanges font sensation car ma fille Liliane est aussi
beaucoup admirée par les vêtements qu'elle porte.
Tout cela réveille en elle une fierté suscitée par les
compliments.
A l'époque dont je vous parle, la richesse ne court m'apporte toute sa sympathie et son encouragement,
que j'accepte avec joie. Il n'y a pas que moi sur qui ces
louanges font sensation car ma fille Liliane est aussi
beaucoup admirée par les vêtements qu'elle porte.
Tout cela réveille en elle une fierté suscitée par les
compliments.
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pas les rues. Nous portons les habits le plus longtemps
possible. Une de mes voisines me gratifie souvent
d'éloges sur la beauté des vêtements que porte ma fille.
Elle se laisse émouvoir sur la particularité des fines
broderies qui reflètent tout le bien -être de Liliane !
Sa fillette, de deux années plus jeune que Liliane,
répond au nom de Sophie. Elle passe tous ses loisirs
avec sa fille.
Je trouve que leurs caractères se conjuguent avec
harmonie, une amitié profonde les guide sur une
route jonchée de nombreuses aventures. Il arrive
que les vêtements de Liliane deviennent trop petits,
je fais en sorte que Sophie puisse continuer, après
quelques reprises, à les porter. L'acceptation de mon
geste se lit dans la profondeur de son regard clair,
noble et pur de vérité, ainsi que dans sa démarche
radieuse.
J'ai remarqué le respect soigneux qu'elle garde
pour ces vêtements.
répond au nom de Sophie. Elle passe tous ses loisirs
avec sa fille.
Je trouve que leurs caractères se conjuguent avec
harmonie, une amitié profonde les guide sur une
route jonchée de nombreuses aventures. Il arrive
que les vêtements de Liliane deviennent trop petits,
je fais en sorte que Sophie puisse continuer, après
quelques reprises, à les porter. L'acceptation de mon
geste se lit dans la profondeur de son regard clair,
noble et pur de vérité, ainsi que dans sa démarche
radieuse.
J'ai remarqué le respect soigneux qu'elle garde
pour ces vêtements.
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Pendant la messe, je la contemple assise au premier
rang et me laisse envahir par un sentiment satisfaisant.
Tous lui va comme sur le corps d'une adorable poupée
en porcelaine. Une vivacité surprenante comble ces deux
fillettes d'un charme très rocambolesque, d'une gaieté
flamboyante de caprice et d'une fierté digne grâce à mon
savoir -faire. Je retrouve, dans leur ressemblance, une
vie commune qui nous fait des signes concordant a une
bonne foi. Cela va de soi m'a fait comprendre le curé de
notre paroisse qui, lui aussi, a remarqué cette grâce.
rang et me laisse envahir par un sentiment satisfaisant.
Tous lui va comme sur le corps d'une adorable poupée
en porcelaine. Une vivacité surprenante comble ces deux
fillettes d'un charme très rocambolesque, d'une gaieté
flamboyante de caprice et d'une fierté digne grâce à mon
savoir -faire. Je retrouve, dans leur ressemblance, une
vie commune qui nous fait des signes concordant a une
bonne foi. Cela va de soi m'a fait comprendre le curé de
notre paroisse qui, lui aussi, a remarqué cette grâce.
Les saisons me permettent de crées une variation de
modèles que je réalise dans une progression constate.
Aucune faille ne trouve la malice de se mettre en travers
de mon savoir-faire; c'est grâce à notre Dieu que je
réussis par développer cela; de ce fait je le vénère jusqu'à
ce jour car il me sert de guide vers un avenir qui remplit
mes pensées de sagesse. Pour cette raison que je partage
ce qui peut encore servir pour d'autres dans le besoin.
modèles que je réalise dans une progression constate.
Aucune faille ne trouve la malice de se mettre en travers
de mon savoir-faire; c'est grâce à notre Dieu que je
réussis par développer cela; de ce fait je le vénère jusqu'à
ce jour car il me sert de guide vers un avenir qui remplit
mes pensées de sagesse. Pour cette raison que je partage
ce qui peut encore servir pour d'autres dans le besoin.
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Cette vieille dame garde son regard étincelant de véritéet de charme. Sa foi catholique la transporte vers la
transparence de ses mots qui l'endoctrinement. Elle
possède le cœur sur la main et sa bonté est divine. Je
me laisse guider par sa voix m'emportant vers une
lumière qui éclaire sa vraie valeur sentimentale.
Pour les huit années de Liliane , à sa première
communion, je confectionne une belle robe blanche,
brodée de toutes parts, que j'ai décorée d'après une
inspiration qui provient des fleurs printanières, j'y
représente des lys sur toute la surface du corsage et dans
le dos, des pâquerettes qui forment une grande auréole
composées de huit fleurs. Sur le pourtour du cou, une
multitude de petites étoiles orne le contour d'une élégance
parfaite. Elle lui frôle les mimolettes où des rosaces
déterminent la fin de la robe. Sur ses bras, une natte de
feuilles fortifie les longues manches. Sur sa tête j'ai posé
un châle blanc écru qui lui couvrent ses cheveux blonds
jusqu'aux épaules. Je récolte de nouveau toute
cette journée par une "griffe " qui me revit radieusement.
Sophie partage les mêmes sentiments, je le vois par la
satisfaction que dévoile ses traits, empreints d'une joie
profonde. Je m'agrippe fortement à cette image pour que
s'incruste dans mes pensées la belle journée qui vient de
nous bercer.
Je ne suis pas la seule à m'émouvoir ainsi car, le soir communion, je confectionne une belle robe blanche,
brodée de toutes parts, que j'ai décorée d'après une
inspiration qui provient des fleurs printanières, j'y
représente des lys sur toute la surface du corsage et dans
le dos, des pâquerettes qui forment une grande auréole
composées de huit fleurs. Sur le pourtour du cou, une
multitude de petites étoiles orne le contour d'une élégance
parfaite. Elle lui frôle les mimolettes où des rosaces
déterminent la fin de la robe. Sur ses bras, une natte de
feuilles fortifie les longues manches. Sur sa tête j'ai posé
un châle blanc écru qui lui couvrent ses cheveux blonds
jusqu'aux épaules. Je récolte de nouveau toute
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l'admiration des paroissiens , ce qui glorifie de plus bellecette journée par une "griffe " qui me revit radieusement.
Sophie partage les mêmes sentiments, je le vois par la
satisfaction que dévoile ses traits, empreints d'une joie
profonde. Je m'agrippe fortement à cette image pour que
s'incruste dans mes pensées la belle journée qui vient de
nous bercer.
même, une visite vient concrétiser tout cela. C'est Sophie
et sa maman qui en sont tout émerveillées ; elles viennent
pour me féliciter. Leur présence n'est pas vraiment
gratuite car elles sont aussi venues pour me demander,
avec une formule de politesse que je qualifierais de
remarquable, s'il est possible que nous leur prêtions dans
deux ans, l'admirable ensemble pour la première
communion de Sophie. Cette demande de prêt, un peu
précoce, m'honore grandement. Je ne refuse pas et tiens
la promesse que l'ensemble de nos habits leur
reviendront.
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les journées s'écoulent et souvent les deux fillettes , vont
contempler l'ensemble de vêtements que j'ai emballé avec
soin dans notre grande armoire de la chambre à
coucher. Le manque de précision, pour remettre en place
le précieux vêtement, me laisse entrevoir leur passion !
Une maladie cruelle enlace beaucoup de personnes. Des
gens de toute âge sont atteint gravement et mœurs. Aucune
solution n'arriver a bout une issu.
Quelle mauvaise chose que ce présage qui enlace nos contempler l'ensemble de vêtements que j'ai emballé avec
soin dans notre grande armoire de la chambre à
coucher. Le manque de précision, pour remettre en place
le précieux vêtement, me laisse entrevoir leur passion !
Une maladie cruelle enlace beaucoup de personnes. Des
gens de toute âge sont atteint gravement et mœurs. Aucune
solution n'arriver a bout une issu.
âmes sans le moindre pardon. Sophie figure , sur la liste
de ceux dont la chance de vivre s'effondre comme la
structure d'un château de cartes. La maladie a coupé
sa jeunesse. La fin de sa vie vient sonner.
Le malheur ne part pas les mains vide, il frappe
d'autres habitations sans disgrâce. Malgré les
prières et de multiples larmes, rien n'y fait la peine est
au aguets de chacun.
Je ne suis épargner, ni ma fille Liliane que le chagrin
a brisé. Nous méditons ensemble de longue longues
d'autres habitations sans disgrâce. Malgré les
prières et de multiples larmes, rien n'y fait la peine est
au aguets de chacun.
Je ne suis épargner, ni ma fille Liliane que le chagrin
a brisé. Nous méditons ensemble de longue longues
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journées, pour que Dieu la guide vers l'éternité.
Après une belle messe, suivi par l'ensemble des
villageois, elle fut enterrée, comme le veut notre
coutume, dans le cimetière qui se trouve au bas de la
colline.
Nous ne possédons pas la moindre fleur car l'ardeur
de l'hiver se trouve a son apogée ! Les couleurs actuelles
de cette saison n'offrant pas de fleur gracieuse. Pour
combler ce manque d'expression florale nous décidons
de recouvrir la tombe d'un épais tapis de branches de
sapins. Cela lui donne la forme d'une épaisse couverture.
Je ne peux essuyer mes larmes ni celles de Liliane. Dire
que la disparue avait à peine ses sept ans.
villageois, elle fut enterrée, comme le veut notre
coutume, dans le cimetière qui se trouve au bas de la
colline.
Nous ne possédons pas la moindre fleur car l'ardeur
de l'hiver se trouve a son apogée ! Les couleurs actuelles
de cette saison n'offrant pas de fleur gracieuse. Pour
combler ce manque d'expression florale nous décidons
de recouvrir la tombe d'un épais tapis de branches de
sapins. Cela lui donne la forme d'une épaisse couverture.
Je ne peux essuyer mes larmes ni celles de Liliane. Dire
que la disparue avait à peine ses sept ans.
Les nuits deviennent une interminable suite
de réflexion, des cauchemars me poursuivent. Sophie me
parle par des messages où elle apparaît.
de réflexion, des cauchemars me poursuivent. Sophie me
parle par des messages où elle apparaît.
Je me tracasse de plus belle et tente de trouver une
éventuelle faute que j'aurais commis envers elle. Dans
mes rêves elle me fait des signes de pitié avec toujours un
visage triste et désespérant. Je n'arrive pas à comprendre
dans mes songes ? Ce visage de pierre glace ma chair et
mes réactions humaines. Je ne mange plus, bois très peu
et me laisser emporter par la chaîne de faiblesse qui
enlace les grands malades. Je reste allongée, ma vue se
trouble, ma propreté a des lacunes et ma coiffure se
désordonne. Je cultive une maladie, cela est certain,
laquelle ?
Le médecin ne trouve de ressemblance avec toutes
celles qui sèment à ce jour cet impitoyable carnage !
Pour lui il n'y a pas de doute, ce mal qui m'emporte
signe un laisser aller que guide une raison qui sort
de son ressort ! Le fait que mon cerveau dégénère
lentement doit inéluctablement provenir d'une lacune
psychologique.
éventuelle faute que j'aurais commis envers elle. Dans
mes rêves elle me fait des signes de pitié avec toujours un
visage triste et désespérant. Je n'arrive pas à comprendre
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les raisons de cette ahurissante obstination d'apparaîtredans mes songes ? Ce visage de pierre glace ma chair et
mes réactions humaines. Je ne mange plus, bois très peu
et me laisser emporter par la chaîne de faiblesse qui
enlace les grands malades. Je reste allongée, ma vue se
trouble, ma propreté a des lacunes et ma coiffure se
désordonne. Je cultive une maladie, cela est certain,
laquelle ?
Le médecin ne trouve de ressemblance avec toutes
celles qui sèment à ce jour cet impitoyable carnage !
Pour lui il n'y a pas de doute, ce mal qui m'emporte
signe un laisser aller que guide une raison qui sort
de son ressort ! Le fait que mon cerveau dégénère
lentement doit inéluctablement provenir d'une lacune
psychologique.
Le signal d'alarme résonne dans les oreilles du curé
de notre paroisse. Il ne tarde pour venir à mon chevet.
Je ne peux révéler à qui que ce soit la raison qui entraîne
ce laisser aller. La belle Sophie devient l'obsession de mes
nuits et mon comportement s'en ressent, pourquoi me fait
elle cela ?
de notre paroisse. Il ne tarde pour venir à mon chevet.
Je ne peux révéler à qui que ce soit la raison qui entraîne
ce laisser aller. La belle Sophie devient l'obsession de mes
nuits et mon comportement s'en ressent, pourquoi me fait
elle cela ?
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La présence du curé devient mon secours car je lui
confie mon secret qui tente d'égarer mon âme, pour
m'enlever la vie.
Ma voix diminue de telle sorte qu'il est difficile de
comprendre mes paroles et mon angoisse ! Je lui
explique, tant bien que mal, ce qui perturbe si
gravement ma santé. Il m'écoute avec attention et
patience.
Son analyse arrive à une conclusion déterminante : la
défunte me hante, et provoque ma faiblesse. Pour en
connaître la raison , il me questionne dans les moindres
détails sur ce que fut mon passé, sur les éventuels
rattachements psychologiques qui fondèrent notre union
sentimentale. Quant on blesse son subconscient celui ci
gère un rayonnement capable de m’entraîner vers la mort.
Je lui énumère les jeux que firent ensemble Sophie
et ma fille Liliane. Les vêtements que je lui donnai et, la
fameuse promesse que je lui fis le jour de la première
communion de Liliane.
Le curé trouva la fin de mon labyrinthe, qui expliquait
Sophie au sujet des vêtements quelle pourra porter pour
sa première communion.
confie mon secret qui tente d'égarer mon âme, pour
m'enlever la vie.
Ma voix diminue de telle sorte qu'il est difficile de
comprendre mes paroles et mon angoisse ! Je lui
explique, tant bien que mal, ce qui perturbe si
gravement ma santé. Il m'écoute avec attention et
patience.
Son analyse arrive à une conclusion déterminante : la
défunte me hante, et provoque ma faiblesse. Pour en
connaître la raison , il me questionne dans les moindres
détails sur ce que fut mon passé, sur les éventuels
rattachements psychologiques qui fondèrent notre union
sentimentale. Quant on blesse son subconscient celui ci
gère un rayonnement capable de m’entraîner vers la mort.
Je lui énumère les jeux que firent ensemble Sophie
et ma fille Liliane. Les vêtements que je lui donnai et, la
fameuse promesse que je lui fis le jour de la première
communion de Liliane.
Le curé trouva la fin de mon labyrinthe, qui expliquait
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ma maladie. Il s'agissait de la promesse que j’eus faite àSophie au sujet des vêtements quelle pourra porter pour
sa première communion.
Ce jour là, la neige tomba bien dru. Elle recouvrait
toute la vallée et les sommets environnants. Les branches
des sapins se courbaient sous le poids qu'ils devaient
soutenir. Le silence était maître. Le chat se réchauffait
auprès du grand fourneau à bois d’où rayonnement
une douce chaleur.
toute la vallée et les sommets environnants. Les branches
des sapins se courbaient sous le poids qu'ils devaient
soutenir. Le silence était maître. Le chat se réchauffait
auprès du grand fourneau à bois d’où rayonnement
une douce chaleur.
Pour la première fois depuis quelques semaines, je
sens de nouveau , la chaleur de la vie ! Le curé a conclu
que nous devons écouter les besoins de Sophie, qui
demande de porter l'ensemble promis pour sa première
communion. Sens ces vêtements, elle hantera mes rêves
jusqu'à ma mort.
Mon mari et le curé n'ont pas perdu de temps pour
aller retrouver la tombe de Sophie. Ils se déplacer avec
peine, la neige est épaisse.
Mon mari ne trouve de peine a dégager ce monticule
de neige posé sur la couche de sapins. Le froid vif a gelé
donne une facilité pour parvenir à la terre qui reste
meuble et douce à manipuler.
Lorsqu'ils parviennent au cercueil blanc, qu'ils
ouvrent avec attention, un corps au visage souriant de
bonheur et de sainteté le attend.
Ils l'habillent des vêtements que je lui avais promis
et qu'elle désirait dans la mort.
sens de nouveau , la chaleur de la vie ! Le curé a conclu
que nous devons écouter les besoins de Sophie, qui
demande de porter l'ensemble promis pour sa première
communion. Sens ces vêtements, elle hantera mes rêves
jusqu'à ma mort.
Mon mari et le curé n'ont pas perdu de temps pour
aller retrouver la tombe de Sophie. Ils se déplacer avec
peine, la neige est épaisse.
Mon mari ne trouve de peine a dégager ce monticule
de neige posé sur la couche de sapins. Le froid vif a gelé
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tous les ruisseaux et les chemins. Le manteau de sapindonne une facilité pour parvenir à la terre qui reste
meuble et douce à manipuler.
Lorsqu'ils parviennent au cercueil blanc, qu'ils
ouvrent avec attention, un corps au visage souriant de
bonheur et de sainteté le attend.
Ils l'habillent des vêtements que je lui avais promis
et qu'elle désirait dans la mort.
Mes nuits retrouvent leur calme d'antan et mes rêves
sont secondaires. Je suis redevenue la femme que j'étais
autrefois mais je garde, gravée dans mes souvenirs,
l'histoire que je viens de vous confesser.
sont secondaires. Je suis redevenue la femme que j'étais
autrefois mais je garde, gravée dans mes souvenirs,
l'histoire que je viens de vous confesser.
JJM
auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 24 10 2009 .
écrit le 24 10 2009 .
A ce jour ,26 09 2013, 73 300 lecteurs
A ce jour, 27 11 2013, 77 500 lecteurs
A ce jour, 27 mai 2018, 102 800 lecteurs
A ce jour, 12 01 2019, 108 278 lecteurs.
A jour le 29 08 2019 ,114 629 lecteurs.
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A ce jour, 14 12 2022, 172 058 lecteurs.
La nouvelle est en cour de construction des
modifications peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz
La nouvelle est en cour de construction des
modifications peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz
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