LA PEUR ( nouvelle n 75 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1.
LA PEUR
De l'entrée des grottes, qui nous servent
d'habitation, notre vue surplombe une verte
vallée que charment des petits arbres porteur de
divers fruits. Ils produisent a merveille une man de
vitamines de toute sorte. La multitude de rangées
d'arbustes , adroitement alignées, émettent une
odeur agréable.
Ce jardin de merveille est le fruit des planteurs
qui, jadis, ont voyagé a travers les étendus de
l’Afrique. La nature joue avec l’harmonie des
couleurs ,du métrique de la plantation et des
essences qui se juxtaposent comme sur une
toile d'un grand maître de peinture.
paisible de cette oasis où un havre de paix se
conjugue avec les humains .
Le sage de cette oasis est le garde spirituelle de
nombreux contes, qu'il nous eut raconté depuis
son plus jeune âge. Il tient toutes les histoires de
son père qui lui les tient de son grand père. En
résumé, cela dit que ce fut notre prophète qui
nous conduisit dans cette riche vallée
merveilleuse.
Le germe principale de la richesse de ce village
provient de cette douce source claire, qui jaillit des
roches noir. Elle remplit avec pureté un petit étang
d'où s’échappe un ruisseau remplit de vie
aquatique. Ce ruisseau suit une irrigation qui
serpente entre les racines des arbustes de dates,
d'amandiers de figuiers, des orangés, des
citronniers et des plantations du potager. Ce sont
les mains de Mustapha qui gère cette irrigation avec
savoir.
changer brutalement , une sécheresse vient alors
imposer sa présence.
Comme notre oasis est une vallée protégé par une
chaîne montagneuse faite de roches noir, notre
équilibre ne rencontre de faiblesse.
Le désert de sable blanc se trouve distant d'à
peine six montagnes. La mer n'est pas visible mais,
parfois l'on entend les vagues que nous apporte
le vent remplit d'humidité. Elle se trouve a peine
distante de quatre dunes qui nous l'effacent de
notre vue.
Les habitants du village sont d'ancien caravanier
Touareg qui depuis plusieurs générations se sont
laissé amadoué par le charme de cette
miraculeuses oasis.
Ils y ont trouvé refuge dans les cavités naturelle
très spacieuse par leur grande et la température
constante qui y règne. Leur profondeur a plein
de mérite car elle conserve une tiédeur très
avec des tapis de laines qu'ont travaillé depuis leur
plus jeune âge les filles du village.
De nombreux passage de caravanes y ont
rapporté des objets divers, qui au fil du temps
modernise les occupants. Ce vas et vient eut
transformé cet endroit en une plate forme
marchante.
Les familles prolifèrent , toutes,ont une famille
nombreuse, a par un couple stérile. Le couple
sans enfant possède la moiter de l'oasis ,la où
la terre permet aux fruits et les légumes de
pousser a volonté.
Le représentant de cette famille porte le nom
d’Ali et son âge épouse celui des grands sages
comme sa femme qui garde gravé sur son visage
les sillons des années de passage.
De nombreux tatouages , noir comme les roches
des montagnes , couvrent son visage. Les rides
profond, ont transforme ses significations devenu
Ils n'ont eut d'enfant et aucun héritier ne se
chargera de cette richesse accumulé depuis de
nombreuses années.
Ali se rend compte de se manque de lien , dans
ses pensées circulent des ombres d'insatisfaction
cerné par d'incertitude qui devient le centre de
tous ses tourments. Il se dit,
- A quoi bon la fortune ci l'on n'a pas d’héritier ?
Ce nuage l’inquiète plus que tout. Un soir, il se
rend chez le Grand Sage , qui comme tout les soirs ,
plonge le fil de sa canne de bambou en direction
du milieu de son reflet . Il y a peu de vaguelette
sur cette étang a l'eau transparente.
Ali, par respect ,fractionne avec attention , le
silence qu'entoure le Grand sage , il luit fait part de
son inquiétude.
- Grand sage, mon malheur veut que je n'ai de
garçon ni de fille qui puisse prendre ma richesse
en héritage. Quel sont tes conseilles ?
- Ali ton âge devient le mendiant de la vie, t'a
dans l'équilibre de son déplacement elle me
rappelle les vieux roseaux séchés qui se
courbent aux plus faible des vents. Je suis
certain qu'au prochain vent dominant elle se
renversera pour toujours.
- J'ai peur de cette vérité Grand sage et t'implore
de me révéler qu'elle solution pourrai me racheter ?
- Elle est simple Ali, elle consiste de rajeunir t'a vie
de couple dans le plus bref délais.
- Grand sage, par quelle possibilité la jeunesse
peut elle me narguer ?
- Ali, il faut que tu épouses une jeunesse de notre
village et la rendre porteuses de tes intentions !
- Quelle famille peut me faire part de cet hommage
Grand sage ?
- Vas auprès de Mustapha, il a plus de dix filles
qui attendent la chance de devenir une femme.
- Sans tarder, Grand sage, je fais part de mes
intentions de mariage a une des filles de
Dans le village l'on fête l'heureux événement
du mariage d'Ali qui eut choisi la plus jeune des
filles de Mustapha. Elle vient d'avoir ses 12 ans ,
Ali espère effacer, avec une jeunette, un peu plus
de son grand âge.
Sa nouvelle femme porte le prénom de Nadia,
elle voit dans ce mariage un jeux qui n'a pas d'âge.
Pour Nadia, la rencontre du grand âge ne lui
rapporte que des ondes de faiblesse sur le
comportement de son mari vieillissant trop
rapidement.
Ali ne pense plus a jouer, ses nombreuses
incapacité le prive de tout amour pour sa nouvelle
femme qu'il ne chérie en aucune manière.
Il ne la prive d'aucune corvée car au petit matin
Nadia démarre avec fermeté jusqu'au soir du
couché.
Sur la peau douce de son visage la marque de
Jeunesse perdu c'est envolé avec la vertu d'un
souvenir de famille qui l'avais endimanche toute
sa vie. Elle ne pleure pas car, solide comme du
bon bois, le vent ne la courbe pas.
Le commerce demande de l’astuce, des
souffrances pour faire du profit . Ali ne comprend
rien en vie de famille, engranger de la fortune
reste sa seule devise.
Un matin, la vieille femme d'Ali ne gémissais
plus comme dans ses habitudes, mais elle
devenais grincheuse et résistante, jalouse sans
scrupule envers Nadia qu'elle accusait de tous les
tords. Les vents devenaient le soutien de Nadia
durant toute la journée, il eut hurlé toute la nuit
pour s’effacer qu'au petit matin.
Nadia était seul au petit matin quant soudais, Ali
apparu abattu comme un pauvre petit chien ; le
long de ses rides profond coulent des larmes en
forme de prières. Sa tristesse très profonde le
geste toute la journée. Le Grand sage le lui eut
prédit ce drame .
A la fin de la journée, au couché du soleil, Ali
guide son petit âne gris , en direction de la mer la
où les dunes de sable fin coupe l’horizon.
Sur le dos de l’âne, il transporte le corps du
cadavre de sa première femme. Elle est
enveloppé dans un tapi de laine de brebis. Une
pelle pend sur son épaule. Dans sa main droite
des écrits de sagesse et sur son visage la
couleur de la tristesse.
Ali , seul, marche la tête basse comme un
mendiant qui passe suivi de son petit âne gris .
Ali creuse le sable fin de la dune, il y fait un trou
aussi large qu'un petit tapis de prière et aussi
profond qu'une jarde en terre cuite. Personne
ne le regarde faire ni écoute ses prières. Il
positionne la défunte pour que son visage
se place en face de la mer. Il n'y a que la lune
eut repris la direction de son étable sans le
moindre bruit.
Ali y passe toute la nuit a la lueur d'une lampe
a l'huile et au petit matin retrouve son habitation .
A partir de la, Nadia suit des contradictions sur tous
ce qu'elle entreprend. La peine d'Ali la transformé
en un mari pas très commode.
Nadia n'a plus personne sur qui trouver refuge.
Les réactions d'Ali devinent cruelle , seul son
commerce devient l'enjeu de sa raison d’être.
En cachette Nadia cultive sa tristesse mais,
quant un groupe d'enfant de son âge la croisent,
elle retrouve son sourire qui équilibre sa raison.
Sa force de caractère la rend puissante. Toute les
jeunes filles de l'oasis en sont devenu jalouse.
Ali engendre un caractère repoussant tout
contacte commerciale. Les caravanes ne veulent
plus faire affaire avec lui car il conteste chaque
marchandise ainsi que le prix. Il augmente la
de stationnement pour que les chameliers ne
trouve pas d'aisance dans l'oasis.
Plusieurs personnes ainsi que Mustapha
trouvent le Grand sage du village pour lui faire
part du scrupules d'Ali car pour eux, le manque
de caravane étouffe le bien être de l'oasis.
Le Grand sage eut remarqué qu’Ali entre dans
une forme d’ermitage il fait comprendre aux
personnes présente,
- Ali possède une puissante fortune, comme il
n'a pas de descendant directe, il se conduit
avec maladresse. Faite le lui savoir pour qu'il
vienne me trouver, je le guiderais pour que la
suite redevienne raisonnable.
Mustapha était la personnes la plus inquiète,
sa fille y vie et l'abandonner serait la condamner.
Il part trouvé Ali et lui dit,
- Ali que t'arrive d'il, ta tristesse emporte ton
grand cœur de commerçant et celui de ton
faire boire les chameaux dans notre oasis.
- Mustapha, ma tristesse donne la raison de
ma paresse, de la richesse, j'en ai
suffisamment et marchander n'a plus de
sens. A quoi bon entasser si je n'ai d'héritier ?
- Tu n'es pas paresseux Ali, va donc trouver le
Grand sage, il te guidera vers un source bien
sage.
Ali se laisse guider par les paroles de
Mustapha. Il apprécie ce juste langage et attend
impatiemment que la clarté du jour laisse sa place
a la tombé de la nuit. A cette heure la, il peut
rencontrer le Grand sage près de l'étang de l'oasis.
Ce Grand sage retient sont attention sur le
bouchon qui relit sa canne de bambou. Un silence
entoure cet homme qui écoute attentivement
avec philosophie la mélodie que charme le
sifflement des oiseaux. Dans leur chants, ce prédit
l'avenir du prochain jour.
curieux qui ne veut primer le moindre mot. Le
visage d'Ali se reflète dans l'eau a coté de celui du
Grand sage ; celui ci remarque la tristesse d'Ali
plongé dans une profonde taciturne. Cette
morosité, cache son inquiétude. Le Grand sage
lui adresse la parole,
- Quel vent te pousse vers moi Ali, tu exprimes
sur la face de ton visage une peine bien lasse
et très chaste ?
- Grand sage , mes engagements n'ont pas
retrouvé sa jeunesse comme tu me l'eus prédit,
je suis devant la porte de la maladresse sans
comprendre le pourquoi de mon impuissance.
J'ai beau épouser une jeunesse, elle n'écarte
en rien celui de ma vieillesse qui conjugue que
des maladresses. Depuis que ma première
femme eut quitté notre monde, je me trouve
devant le miroir de la dernière page de mon
histoire. Je n'ai pas su faire naître un héritier
- Ali, tu viens de comprendre que, pour suivre
une vie équitable tu doit posséder certaines
vertus. Dans ton savoir tu connais celui de
l'avoir et du travail bien défendu. Tu es le
plus riche de cet oasis et de tous les
commerçants que j'ai connu a ce jour. Tu as
épousé la plus belle jeunesse de l'oasis sans
pouvoir faire part d'un héritier. Dit moi, quel
frein te retient pour ne plus féconder la
multiplication de la vie ?
- J'ai beaucoup de travail et mes occupations ne
peuvent suivre une vie de famille. Ma femme
est trop jeune pour produire comme une adulte.
Quel opinion as tu pour que mon entourage me
couve de satisfaction et de fécondation ?
- J'ai compris ce qui peut te soulager , pour cela
embauche un apprenti, il te fera le travail en
soulageant ta vie. Tu disposeras de plus de
temps pour que naisse un enfant héritier.
dis moi, chez qui dois je prendre mon apprenti ?
- Tu parts chez Kamel, il conjugue une famille de
10 garçons.
- Je vais suivre tes indications et part demain chez
Kamel pour un apprenti.
Ali se présente chez Kamel avec les intentions
qui l'on suivi. Il choisi le plus fort des garçons, pour
sa grandeur et son savoir. Il choisi Rachid, un
jeune et robuste gaillard de 16 ans, il lui rappel
les reflets de son passé quant il avait son âge.
Dans le cœur de Nadia résonne de nouveau le
chant de son enfance et celui de sa jeunesse qui
retrouve toutes ses fractions du passé. Son
sourire devient radieux et câlin. Pour tout dévoiler,
cette nouvelle présence, Rachid, lui rappel les jeux
de son enfance.
La suite de l'histoire fait naître dans les entrailles
de Nadia un descendant pour Ali. Naît enfin un
garçon qui redonne vie dans la maison. Il
père Ali ? Ce sont les paroles du Grand sage .
Dans le fond de l'histoire se cache la vérité d'une
juste résolution car, toute impuissance d'Ali est
resté intacte.
Ali, n'a plus vécu longtemps et Nadia et son fils
sont devenu les plus riche personne de l'oasis.
Richesse oblige un jour de la laisser a d'autres
qui pourront en profiter.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
écrit le 03 07 2011 remis a jour le 13 08 2019.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
a ce jour, 13 08 2019, 114 300 lecteurs.
1
LA PEUR
De l'entrée des grottes, qui nous servent
d'habitation, notre vue surplombe une verte
vallée que charment des petits arbres porteur de
divers fruits. Ils produisent a merveille une man de
vitamines de toute sorte. La multitude de rangées
d'arbustes , adroitement alignées, émettent une
odeur agréable.
Ce jardin de merveille est le fruit des planteurs
qui, jadis, ont voyagé a travers les étendus de
l’Afrique. La nature joue avec l’harmonie des
couleurs ,du métrique de la plantation et des
essences qui se juxtaposent comme sur une
toile d'un grand maître de peinture.
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Mes lignes tentent de vous évoquer le signepaisible de cette oasis où un havre de paix se
conjugue avec les humains .
Le sage de cette oasis est le garde spirituelle de
nombreux contes, qu'il nous eut raconté depuis
son plus jeune âge. Il tient toutes les histoires de
son père qui lui les tient de son grand père. En
résumé, cela dit que ce fut notre prophète qui
nous conduisit dans cette riche vallée
merveilleuse.
Le germe principale de la richesse de ce village
provient de cette douce source claire, qui jaillit des
roches noir. Elle remplit avec pureté un petit étang
d'où s’échappe un ruisseau remplit de vie
aquatique. Ce ruisseau suit une irrigation qui
serpente entre les racines des arbustes de dates,
d'amandiers de figuiers, des orangés, des
citronniers et des plantations du potager. Ce sont
les mains de Mustapha qui gère cette irrigation avec
savoir.
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Cette région chaude du nord de l'Afrique peutchanger brutalement , une sécheresse vient alors
imposer sa présence.
Comme notre oasis est une vallée protégé par une
chaîne montagneuse faite de roches noir, notre
équilibre ne rencontre de faiblesse.
Le désert de sable blanc se trouve distant d'à
peine six montagnes. La mer n'est pas visible mais,
parfois l'on entend les vagues que nous apporte
le vent remplit d'humidité. Elle se trouve a peine
distante de quatre dunes qui nous l'effacent de
notre vue.
Les habitants du village sont d'ancien caravanier
Touareg qui depuis plusieurs générations se sont
laissé amadoué par le charme de cette
miraculeuses oasis.
Ils y ont trouvé refuge dans les cavités naturelle
très spacieuse par leur grande et la température
constante qui y règne. Leur profondeur a plein
de mérite car elle conserve une tiédeur très
4
agréable par tout temps. Les entrées sont ferméavec des tapis de laines qu'ont travaillé depuis leur
plus jeune âge les filles du village.
De nombreux passage de caravanes y ont
rapporté des objets divers, qui au fil du temps
modernise les occupants. Ce vas et vient eut
transformé cet endroit en une plate forme
marchante.
Les familles prolifèrent , toutes,ont une famille
nombreuse, a par un couple stérile. Le couple
sans enfant possède la moiter de l'oasis ,la où
la terre permet aux fruits et les légumes de
pousser a volonté.
Le représentant de cette famille porte le nom
d’Ali et son âge épouse celui des grands sages
comme sa femme qui garde gravé sur son visage
les sillons des années de passage.
De nombreux tatouages , noir comme les roches
des montagnes , couvrent son visage. Les rides
profond, ont transforme ses significations devenu
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indescriptible.Ils n'ont eut d'enfant et aucun héritier ne se
chargera de cette richesse accumulé depuis de
nombreuses années.
Ali se rend compte de se manque de lien , dans
ses pensées circulent des ombres d'insatisfaction
cerné par d'incertitude qui devient le centre de
tous ses tourments. Il se dit,
- A quoi bon la fortune ci l'on n'a pas d’héritier ?
Ce nuage l’inquiète plus que tout. Un soir, il se
rend chez le Grand Sage , qui comme tout les soirs ,
plonge le fil de sa canne de bambou en direction
du milieu de son reflet . Il y a peu de vaguelette
sur cette étang a l'eau transparente.
Ali, par respect ,fractionne avec attention , le
silence qu'entoure le Grand sage , il luit fait part de
son inquiétude.
- Grand sage, mon malheur veut que je n'ai de
garçon ni de fille qui puisse prendre ma richesse
en héritage. Quel sont tes conseilles ?
- Ali ton âge devient le mendiant de la vie, t'a
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femme en fait aussi parti car , quant je l'observedans l'équilibre de son déplacement elle me
rappelle les vieux roseaux séchés qui se
courbent aux plus faible des vents. Je suis
certain qu'au prochain vent dominant elle se
renversera pour toujours.
- J'ai peur de cette vérité Grand sage et t'implore
de me révéler qu'elle solution pourrai me racheter ?
- Elle est simple Ali, elle consiste de rajeunir t'a vie
de couple dans le plus bref délais.
- Grand sage, par quelle possibilité la jeunesse
peut elle me narguer ?
- Ali, il faut que tu épouses une jeunesse de notre
village et la rendre porteuses de tes intentions !
- Quelle famille peut me faire part de cet hommage
Grand sage ?
- Vas auprès de Mustapha, il a plus de dix filles
qui attendent la chance de devenir une femme.
- Sans tarder, Grand sage, je fais part de mes
intentions de mariage a une des filles de
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Mustapha.Dans le village l'on fête l'heureux événement
du mariage d'Ali qui eut choisi la plus jeune des
filles de Mustapha. Elle vient d'avoir ses 12 ans ,
Ali espère effacer, avec une jeunette, un peu plus
de son grand âge.
Sa nouvelle femme porte le prénom de Nadia,
elle voit dans ce mariage un jeux qui n'a pas d'âge.
Pour Nadia, la rencontre du grand âge ne lui
rapporte que des ondes de faiblesse sur le
comportement de son mari vieillissant trop
rapidement.
Ali ne pense plus a jouer, ses nombreuses
incapacité le prive de tout amour pour sa nouvelle
femme qu'il ne chérie en aucune manière.
Il ne la prive d'aucune corvée car au petit matin
Nadia démarre avec fermeté jusqu'au soir du
couché.
Sur la peau douce de son visage la marque de
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fatigue lui efface les signes d'une jeunesse égaré.Jeunesse perdu c'est envolé avec la vertu d'un
souvenir de famille qui l'avais endimanche toute
sa vie. Elle ne pleure pas car, solide comme du
bon bois, le vent ne la courbe pas.
Le commerce demande de l’astuce, des
souffrances pour faire du profit . Ali ne comprend
rien en vie de famille, engranger de la fortune
reste sa seule devise.
Un matin, la vieille femme d'Ali ne gémissais
plus comme dans ses habitudes, mais elle
devenais grincheuse et résistante, jalouse sans
scrupule envers Nadia qu'elle accusait de tous les
tords. Les vents devenaient le soutien de Nadia
durant toute la journée, il eut hurlé toute la nuit
pour s’effacer qu'au petit matin.
Nadia était seul au petit matin quant soudais, Ali
apparu abattu comme un pauvre petit chien ; le
long de ses rides profond coulent des larmes en
forme de prières. Sa tristesse très profonde le
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plonge dans un silence mystérieux. Il ne fait ungeste toute la journée. Le Grand sage le lui eut
prédit ce drame .
A la fin de la journée, au couché du soleil, Ali
guide son petit âne gris , en direction de la mer la
où les dunes de sable fin coupe l’horizon.
Sur le dos de l’âne, il transporte le corps du
cadavre de sa première femme. Elle est
enveloppé dans un tapi de laine de brebis. Une
pelle pend sur son épaule. Dans sa main droite
des écrits de sagesse et sur son visage la
couleur de la tristesse.
Ali , seul, marche la tête basse comme un
mendiant qui passe suivi de son petit âne gris .
Ali creuse le sable fin de la dune, il y fait un trou
aussi large qu'un petit tapis de prière et aussi
profond qu'une jarde en terre cuite. Personne
ne le regarde faire ni écoute ses prières. Il
positionne la défunte pour que son visage
se place en face de la mer. Il n'y a que la lune
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qui devient le témoin de cette scène car l’âne,eut repris la direction de son étable sans le
moindre bruit.
Ali y passe toute la nuit a la lueur d'une lampe
a l'huile et au petit matin retrouve son habitation .
A partir de la, Nadia suit des contradictions sur tous
ce qu'elle entreprend. La peine d'Ali la transformé
en un mari pas très commode.
Nadia n'a plus personne sur qui trouver refuge.
Les réactions d'Ali devinent cruelle , seul son
commerce devient l'enjeu de sa raison d’être.
En cachette Nadia cultive sa tristesse mais,
quant un groupe d'enfant de son âge la croisent,
elle retrouve son sourire qui équilibre sa raison.
Sa force de caractère la rend puissante. Toute les
jeunes filles de l'oasis en sont devenu jalouse.
Ali engendre un caractère repoussant tout
contacte commerciale. Les caravanes ne veulent
plus faire affaire avec lui car il conteste chaque
marchandise ainsi que le prix. Il augmente la
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valeur de ses récoltes , il multiplie les chargesde stationnement pour que les chameliers ne
trouve pas d'aisance dans l'oasis.
Plusieurs personnes ainsi que Mustapha
trouvent le Grand sage du village pour lui faire
part du scrupules d'Ali car pour eux, le manque
de caravane étouffe le bien être de l'oasis.
Le Grand sage eut remarqué qu’Ali entre dans
une forme d’ermitage il fait comprendre aux
personnes présente,
- Ali possède une puissante fortune, comme il
n'a pas de descendant directe, il se conduit
avec maladresse. Faite le lui savoir pour qu'il
vienne me trouver, je le guiderais pour que la
suite redevienne raisonnable.
Mustapha était la personnes la plus inquiète,
sa fille y vie et l'abandonner serait la condamner.
Il part trouvé Ali et lui dit,
- Ali que t'arrive d'il, ta tristesse emporte ton
grand cœur de commerçant et celui de ton
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argent car plus de caravane ne passe pourfaire boire les chameaux dans notre oasis.
- Mustapha, ma tristesse donne la raison de
ma paresse, de la richesse, j'en ai
suffisamment et marchander n'a plus de
sens. A quoi bon entasser si je n'ai d'héritier ?
- Tu n'es pas paresseux Ali, va donc trouver le
Grand sage, il te guidera vers un source bien
sage.
Ali se laisse guider par les paroles de
Mustapha. Il apprécie ce juste langage et attend
impatiemment que la clarté du jour laisse sa place
a la tombé de la nuit. A cette heure la, il peut
rencontrer le Grand sage près de l'étang de l'oasis.
Ce Grand sage retient sont attention sur le
bouchon qui relit sa canne de bambou. Un silence
entoure cet homme qui écoute attentivement
avec philosophie la mélodie que charme le
sifflement des oiseaux. Dans leur chants, ce prédit
l'avenir du prochain jour.
13
Ali se tient derrière cet homme comme uncurieux qui ne veut primer le moindre mot. Le
visage d'Ali se reflète dans l'eau a coté de celui du
Grand sage ; celui ci remarque la tristesse d'Ali
plongé dans une profonde taciturne. Cette
morosité, cache son inquiétude. Le Grand sage
lui adresse la parole,
- Quel vent te pousse vers moi Ali, tu exprimes
sur la face de ton visage une peine bien lasse
et très chaste ?
- Grand sage , mes engagements n'ont pas
retrouvé sa jeunesse comme tu me l'eus prédit,
je suis devant la porte de la maladresse sans
comprendre le pourquoi de mon impuissance.
J'ai beau épouser une jeunesse, elle n'écarte
en rien celui de ma vieillesse qui conjugue que
des maladresses. Depuis que ma première
femme eut quitté notre monde, je me trouve
devant le miroir de la dernière page de mon
histoire. Je n'ai pas su faire naître un héritier
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et cette fierté me tient a cœur.- Ali, tu viens de comprendre que, pour suivre
une vie équitable tu doit posséder certaines
vertus. Dans ton savoir tu connais celui de
l'avoir et du travail bien défendu. Tu es le
plus riche de cet oasis et de tous les
commerçants que j'ai connu a ce jour. Tu as
épousé la plus belle jeunesse de l'oasis sans
pouvoir faire part d'un héritier. Dit moi, quel
frein te retient pour ne plus féconder la
multiplication de la vie ?
- J'ai beaucoup de travail et mes occupations ne
peuvent suivre une vie de famille. Ma femme
est trop jeune pour produire comme une adulte.
Quel opinion as tu pour que mon entourage me
couve de satisfaction et de fécondation ?
- J'ai compris ce qui peut te soulager , pour cela
embauche un apprenti, il te fera le travail en
soulageant ta vie. Tu disposeras de plus de
temps pour que naisse un enfant héritier.
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- Oui Grand sage, voila une juste résolution, mais,dis moi, chez qui dois je prendre mon apprenti ?
- Tu parts chez Kamel, il conjugue une famille de
10 garçons.
- Je vais suivre tes indications et part demain chez
Kamel pour un apprenti.
Ali se présente chez Kamel avec les intentions
qui l'on suivi. Il choisi le plus fort des garçons, pour
sa grandeur et son savoir. Il choisi Rachid, un
jeune et robuste gaillard de 16 ans, il lui rappel
les reflets de son passé quant il avait son âge.
Dans le cœur de Nadia résonne de nouveau le
chant de son enfance et celui de sa jeunesse qui
retrouve toutes ses fractions du passé. Son
sourire devient radieux et câlin. Pour tout dévoiler,
cette nouvelle présence, Rachid, lui rappel les jeux
de son enfance.
La suite de l'histoire fait naître dans les entrailles
de Nadia un descendant pour Ali. Naît enfin un
garçon qui redonne vie dans la maison. Il
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ressemble comme deux gouttes d'eau a sonpère Ali ? Ce sont les paroles du Grand sage .
Dans le fond de l'histoire se cache la vérité d'une
juste résolution car, toute impuissance d'Ali est
resté intacte.
Ali, n'a plus vécu longtemps et Nadia et son fils
sont devenu les plus riche personne de l'oasis.
Richesse oblige un jour de la laisser a d'autres
qui pourront en profiter.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
écrit le 03 07 2011 remis a jour le 13 08 2019.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
a ce jour, 13 08 2019, 114 300 lecteurs.
A ce jour, 16 03 2023, 173 605 lecteurs.
A ce jour, 18 02 2021, 143 813 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2022 , 170 101 lecteurs.
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