LA LACUNE DE MA DÉFAITE ( nouvelle 58 )
Le 27 03 2021.
LA LACUNE DE MA DÉFAITE
(- PA - TRI- CI- A -)
Le son de mes paroles s'entrechoquent
entre les ossatures en béton, ébréchés, percés,
fissurés, qui définissent l'emplacement des
habitations de cette grande ville tenu en otage.
La guerre y a semée sa rage. La vie n'est plus
ici, l'odeur de la mort épouse celui de notre
déchéance. Nous restons, mon chien et moi,
les derniers survivant de cette horrible guerre ?
Je poursuis ma marche d'un pas objectif,
pardessus les divers débris de notre civilisation
meurtrie.
( - PA-TRI-CI-A-)
impure qui me provoque une sueur froide ; suis
je dans un cimetière a ciel ouvert ? Suis je le seul
être vivant dans ces panaches de fumées? De
détritus, de cadavres ? Cette attention me charge
d'une peur incertaine. Je me rend compte que la
perte de mes compagnons a fragilisé mon état
second. Tout mon groupe vient de périr dans les
sous sols du reste de cet immeuble, la derrière
moi, suite aux bombardements.
Je ne me retourne pas, de honte de m’être sortie
de cette galère. L'avenir vas de l'avant, le
croisement de mes malheurs fructifient ma
rancune et ma vengeance digne d'une haine âpre.
Mon action n'a pour objectif que de poursuivre
notre doctrine commune, celui de la digne liberté.
La perte de mes compagnons ne peut m'affaiblir,
je suis le commandant de ma nation, je dois
poursuivre goûte que goûte. Je crie avec toute ma
force,
Il est impossible que je reste le seul survivant
dans cette ville, mais où sont tous les autres, mes
semblables, ceux qui se battent pour la même
philosophie , pour le même idéalisme et les mêmes
convictions ? Où sont ils donc mes compagnons ?
Je me remet a crier pour retrouver mon ambition
et mes compagnons,
( - PA-TRI-CI-A- )
Je porte des chaussures de cuir qui proviennent
d'un soldat de l'armée adverse. La ruse de nos
adversaires consiste de placer sous les corps des
victimes, des grenades qui explosent a la moindre
manipulation. Le flaire de mon chien berger évite
ce danger et me met en garde. C'est ainsi que j'ai
pu retirer ce gilet par balle et les chaussures, une
trouvaille de valeur, sur le corps d'un officier
Russe. La guerre n'a pas de merci, celui qui survie
se sert de ce qu'il trouve autour de lui.
(- PA-TRI-CI-A-)
les crie avec espoirs et soulagements. Mais, le vide
retrouve son importance ; un sifflement d’obus
coupe cour a cette béatitude, un bruit fracassant
ampute une partie du second étage de ce grand
immeuble a quelques centaines de mètre de mes
yeux, le feux se proclame vite par des hautes
flammes ravageuse. Une odeur de corps brûlés
nargue mon odorat, mon ventre se noue, mais,
cette attention ne déstabilise mes intentions, je
me penche sur le cadavre d'un soldat Russe, il a
la bannière de la tête de mort et sur le coté une
fine lame de commando que je saisi ainsi que des
victuailles pour survivre. Mon cœur reste de glace.
(-PA-TRI-CI-A-)
Je me dit que ci l’ennemie continue de nous
bombarder c'est que dans cette amas de ville, il
reste des combattants ; je dois les retrouver le
plus vite possible. Mes pas évitent de nombreux
corps militaires mais aussi de nombreux civiles
de tout âge. Cette attention n'enrage plus que tout.
Je ne peux verser de larme mais, jure devant
toutes cette barbarie et ces victimes que notre
raison trouvera sa juste valeur dans l'avenir.
Je crie de toute ma force,
(- PA-TRI-CI-A- )
A l'angle d'un carrefour, dans la vitrine d'une
boucherie, les crochets servant habituellement
pour des carcasses de viande, retiennent les corps
d'enfants mutilés, suspendu par les pieds, le sang
dégouline de leur gorge tranché !!! C'est la guerre,
me ferez vous comprendre, pour moi , c'est le
crime de la force injuste de l'adversaire celui qui
nous impute de la charge de terroriste, ils sent
prennent a nos enfants, je ne le supporte pas.
Vous tous qui m'observez avec recule venez a moi !
(- PA-TRI-CI-A-)
Ma voix exprime sa rancune, je reste le seul
survivant dans cette grande ville, aidez moi, votre
a moi tueur de faible, venez a moi mort certaine,
venez a moi compagnons de combat.
(-PA-TRI-CI-A- )
Je perd la boule et appelle avec acharnement
le code de regroupement. Le fait de ne rien voir
bouger me trouble plus que tout, devrais je me
rendre a ces meurtriers bouchers ?
Non, ma volonté regorge de puissance, je dois
rencontrer d'autres camarades de combats, de
ceux la qui croisent le même idéalise que moi. Je
porte mon arme avec de forte intention de
vengeance et de défense, personne m'imposera
la défaite.
Je suis sur le qui vive comme une bête au aboies.
Sur ma ceinture sont accroché des grenades
récupéré durant mon déplacement et mon épaule
est tapissé d'une multitude de bandes de
cartouches.
Le silence reste mon seul reperd. Aucune balle
suis je pris en cible par un adversaire ? Je répète
mon appel,
( - PA-TRI-CI-A- )
La journée se termine et le froid englouti mes
muscles. Je me faufile entre des caches avec un
repli de protection et crie a pleine voix
( - PA-TRI-CI-A-,
- PA-TRI-CI-A-)
Ce n'est pas l'écot de ma voix mais belle est bien
une réponse venu de je ne sais qu'elle endroit ?
Une joie immense prête a livrer ma dernière
bataille quant, une voix dit,
(-PA-TRI-CI-A-, PA-TRI-CI-A-)
Ce sont les mots de cet autre que je ne reconnais
pas, où ce cache t'il ? Le chien sort ses dents, il est
prêt a bondir, mes doutes me mettent en émoi, je
me rend conte que je viens de faire une grosse
faute ; les Russes tentent certainement de me
localiser ?
correspond, après une réponse, il faut prononcer
deux fois (- Pa-tri-ci-a- ).
Le silence redevient hostile, mais, ma raison
d’être reprend de la valeur, je ne suis plus seul.
Notre force de frape a doublé, ont est capable de
retourner la terre entière.
( - PA-TRI-CI-A-,
PA-TRI-CI-A- )
Comme un écot, des réponses viennent de
partout ?
Je reste au aguets et suis prêt a faire feux sur
la moindre âme me prenant en joue. L'ennemie
est lâche et cruelle, rusé et sanguinaire, c'est la
guerre ; cette idée devient elle la source de ma
défaite ? Je suis le témoin de toutes leurs
exactions, dire que tous mes compagnons périrent
brûlé vif dans leurs abris, suite a l'impacte de
bombes incendiaire.
Je reste le seul survivant de mon armé pour
avec leurs blindés et leurs avions de combats qui
nous canardent de bombes et d'obus.
(-PA-TRI-CI-A-,
PA-TRI-CI-A-)
Cette voix inconnu se rapproche de moi, je suis
frustré de peur en même temps inonde de joie ,
mon chien ne grogne plus, cette remarque me vide
de mes présomptions. Une ombre se dessine
devant mes yeux, je me tient prêt a faire crépiter
mon fusil.
Un jeune visage me scrute sans menace, je repose
mon arme et lui fait signe de se rapprocher .
Notre rencontre se fait dans un silence prompt, le
partage de nos retrouvailles émet une allégresse
commune. Cet être vivant est une jeune femme, je
n'en revient pas ? Elle me dit,
- Commandant, je suis toute seule, sans arme, je
me met a votre disposition pour donner des soins
aux victimes.
savoir que je suis le dernier survivant de mon
unité. Il va falloir rejoindre les montagnes au
plus vite, je suis peu fière de n'avoir sus tenir
tête aux soldats Russe avec toutes nos victimes
c'est un véritable carnage.
- Commandant, je ne suis pas toute seule, car
d'autres combattants ont suivi tes ordres, et ils
se cachent dans les recoins de la ville je suis
leur porte parole, vient suit moi,
- C'est un hommage de pouvoir retrouver ses
compagnons, tu viens de marquer une page de
notre histoire.
Cette jeune militante infirmière, connaît tous
les recoins de la ville et toutes les caches des
camarades de combat. A la fin des retrouvailles ,
une centaines de soldats valides et intentionné
prennent le chemin du maquis.
La nuit se rapproche vite , et le danger aussi,
plus aucun tire d'obus ne se fait entendre. Ce
Nous devons partir au plus vite. On appelle
a partir de la notre camarade infirmière
Patricia, c'est elle la clé de notre déroute car
elle nous a guidé vers une sortie ne pouvant
rencontrer de multiples engins blindés et cette
armée de fantassins prêt a nous tuer.
En ligne continu, éparpillé de part et d'autre, le
restant de mon armée se mue en silence. Devant
nous mon chien nous marque son attention a
travers un petit chemin qu'il renifle en avec
attention, puis il gémie, un signe de danger.
Devant nous, le corps d'un de nos camarades
déchiqueté par une mine. On redouble de
prudence et le chien renifle le sol.
La nuit se rapproche, avec l'aide de chiffons
accroché a un bâton, nous marquons la
présence des mines.
Cette zone freine dangereusement notre
marche. Beaucoup de cadavres sont éparpillé
vivent mais il sont très abîmer, plus de jambes,
plus de mains suite aux mines antipersonnel.
Devant nous, plus une seule victime, le chien se
déplace rapidement et ma confiance reprend,
j’accélère le pas quant soudain , une explosion
me coupe mon équilibre. Ma jambe droite vient
d’être déchiqueté. Je reste allongé. Patricia vient
a mon secoure pour les premiers soin puis l'on
me transporte sur un brancard improvisé.
Je suis la seule victime, tous les autres rencontré
sur notre parcours sont mort ou mourant. Ce sont
des personnes qui ont tenté de passer durant la
journée, leur état ne leur donnait plus de chance
de survivre. Pour nous c'est une victoire, mais
pour la grande armée de la Russie c'est une défaite !
Un peuple qui accumule un manque de liberté ,
un jour ou l'autre se révoltera et comblera ses
rangs.
LA LACUNE DE MA DÉFAITE
(- PA - TRI- CI- A -)
Le son de mes paroles s'entrechoquent
entre les ossatures en béton, ébréchés, percés,
fissurés, qui définissent l'emplacement des
habitations de cette grande ville tenu en otage.
La guerre y a semée sa rage. La vie n'est plus
ici, l'odeur de la mort épouse celui de notre
déchéance. Nous restons, mon chien et moi,
les derniers survivant de cette horrible guerre ?
Je poursuis ma marche d'un pas objectif,
pardessus les divers débris de notre civilisation
meurtrie.
( - PA-TRI-CI-A-)
2
Je bouleverse volontairement ce silenceimpure qui me provoque une sueur froide ; suis
je dans un cimetière a ciel ouvert ? Suis je le seul
être vivant dans ces panaches de fumées? De
détritus, de cadavres ? Cette attention me charge
d'une peur incertaine. Je me rend compte que la
perte de mes compagnons a fragilisé mon état
second. Tout mon groupe vient de périr dans les
sous sols du reste de cet immeuble, la derrière
moi, suite aux bombardements.
Je ne me retourne pas, de honte de m’être sortie
de cette galère. L'avenir vas de l'avant, le
croisement de mes malheurs fructifient ma
rancune et ma vengeance digne d'une haine âpre.
Mon action n'a pour objectif que de poursuivre
notre doctrine commune, celui de la digne liberté.
La perte de mes compagnons ne peut m'affaiblir,
je suis le commandant de ma nation, je dois
poursuivre goûte que goûte. Je crie avec toute ma
force,
3
(- PA-TRI-CI-A-)Il est impossible que je reste le seul survivant
dans cette ville, mais où sont tous les autres, mes
semblables, ceux qui se battent pour la même
philosophie , pour le même idéalisme et les mêmes
convictions ? Où sont ils donc mes compagnons ?
Je me remet a crier pour retrouver mon ambition
et mes compagnons,
( - PA-TRI-CI-A- )
Je porte des chaussures de cuir qui proviennent
d'un soldat de l'armée adverse. La ruse de nos
adversaires consiste de placer sous les corps des
victimes, des grenades qui explosent a la moindre
manipulation. Le flaire de mon chien berger évite
ce danger et me met en garde. C'est ainsi que j'ai
pu retirer ce gilet par balle et les chaussures, une
trouvaille de valeur, sur le corps d'un officier
Russe. La guerre n'a pas de merci, celui qui survie
se sert de ce qu'il trouve autour de lui.
(- PA-TRI-CI-A-)
4
Mes paroles sont ma force et mon idéalisme, jeles crie avec espoirs et soulagements. Mais, le vide
retrouve son importance ; un sifflement d’obus
coupe cour a cette béatitude, un bruit fracassant
ampute une partie du second étage de ce grand
immeuble a quelques centaines de mètre de mes
yeux, le feux se proclame vite par des hautes
flammes ravageuse. Une odeur de corps brûlés
nargue mon odorat, mon ventre se noue, mais,
cette attention ne déstabilise mes intentions, je
me penche sur le cadavre d'un soldat Russe, il a
la bannière de la tête de mort et sur le coté une
fine lame de commando que je saisi ainsi que des
victuailles pour survivre. Mon cœur reste de glace.
(-PA-TRI-CI-A-)
Je me dit que ci l’ennemie continue de nous
bombarder c'est que dans cette amas de ville, il
reste des combattants ; je dois les retrouver le
plus vite possible. Mes pas évitent de nombreux
corps militaires mais aussi de nombreux civiles
5
fusillé, des femmes, des enfants, et des personnesde tout âge. Cette attention n'enrage plus que tout.
Je ne peux verser de larme mais, jure devant
toutes cette barbarie et ces victimes que notre
raison trouvera sa juste valeur dans l'avenir.
Je crie de toute ma force,
(- PA-TRI-CI-A- )
A l'angle d'un carrefour, dans la vitrine d'une
boucherie, les crochets servant habituellement
pour des carcasses de viande, retiennent les corps
d'enfants mutilés, suspendu par les pieds, le sang
dégouline de leur gorge tranché !!! C'est la guerre,
me ferez vous comprendre, pour moi , c'est le
crime de la force injuste de l'adversaire celui qui
nous impute de la charge de terroriste, ils sent
prennent a nos enfants, je ne le supporte pas.
Vous tous qui m'observez avec recule venez a moi !
(- PA-TRI-CI-A-)
Ma voix exprime sa rancune, je reste le seul
survivant dans cette grande ville, aidez moi, votre
6
présence sera la source de notre équilibre, veneza moi tueur de faible, venez a moi mort certaine,
venez a moi compagnons de combat.
(-PA-TRI-CI-A- )
Je perd la boule et appelle avec acharnement
le code de regroupement. Le fait de ne rien voir
bouger me trouble plus que tout, devrais je me
rendre a ces meurtriers bouchers ?
Non, ma volonté regorge de puissance, je dois
rencontrer d'autres camarades de combats, de
ceux la qui croisent le même idéalise que moi. Je
porte mon arme avec de forte intention de
vengeance et de défense, personne m'imposera
la défaite.
Je suis sur le qui vive comme une bête au aboies.
Sur ma ceinture sont accroché des grenades
récupéré durant mon déplacement et mon épaule
est tapissé d'une multitude de bandes de
cartouches.
Le silence reste mon seul reperd. Aucune balle
7
ne siffle autour de moi ; cela me donne des doutes,suis je pris en cible par un adversaire ? Je répète
mon appel,
( - PA-TRI-CI-A- )
La journée se termine et le froid englouti mes
muscles. Je me faufile entre des caches avec un
repli de protection et crie a pleine voix
( - PA-TRI-CI-A-,
- PA-TRI-CI-A-)
Ce n'est pas l'écot de ma voix mais belle est bien
une réponse venu de je ne sais qu'elle endroit ?
Une joie immense prête a livrer ma dernière
bataille quant, une voix dit,
(-PA-TRI-CI-A-, PA-TRI-CI-A-)
Ce sont les mots de cet autre que je ne reconnais
pas, où ce cache t'il ? Le chien sort ses dents, il est
prêt a bondir, mes doutes me mettent en émoi, je
me rend conte que je viens de faire une grosse
faute ; les Russes tentent certainement de me
localiser ?
8
Mais cela n'est pas possible car, le codecorrespond, après une réponse, il faut prononcer
deux fois (- Pa-tri-ci-a- ).
Le silence redevient hostile, mais, ma raison
d’être reprend de la valeur, je ne suis plus seul.
Notre force de frape a doublé, ont est capable de
retourner la terre entière.
( - PA-TRI-CI-A-,
PA-TRI-CI-A- )
Comme un écot, des réponses viennent de
partout ?
Je reste au aguets et suis prêt a faire feux sur
la moindre âme me prenant en joue. L'ennemie
est lâche et cruelle, rusé et sanguinaire, c'est la
guerre ; cette idée devient elle la source de ma
défaite ? Je suis le témoin de toutes leurs
exactions, dire que tous mes compagnons périrent
brûlé vif dans leurs abris, suite a l'impacte de
bombes incendiaire.
Je reste le seul survivant de mon armé pour
9
l'instant ? l'adversaire est surarmer jusqu'au dentavec leurs blindés et leurs avions de combats qui
nous canardent de bombes et d'obus.
(-PA-TRI-CI-A-,
PA-TRI-CI-A-)
Cette voix inconnu se rapproche de moi, je suis
frustré de peur en même temps inonde de joie ,
mon chien ne grogne plus, cette remarque me vide
de mes présomptions. Une ombre se dessine
devant mes yeux, je me tient prêt a faire crépiter
mon fusil.
Un jeune visage me scrute sans menace, je repose
mon arme et lui fait signe de se rapprocher .
Notre rencontre se fait dans un silence prompt, le
partage de nos retrouvailles émet une allégresse
commune. Cet être vivant est une jeune femme, je
n'en revient pas ? Elle me dit,
- Commandant, je suis toute seule, sans arme, je
me met a votre disposition pour donner des soins
aux victimes.
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- Je te prend sous mes ordres mais tient a te fairesavoir que je suis le dernier survivant de mon
unité. Il va falloir rejoindre les montagnes au
plus vite, je suis peu fière de n'avoir sus tenir
tête aux soldats Russe avec toutes nos victimes
c'est un véritable carnage.
- Commandant, je ne suis pas toute seule, car
d'autres combattants ont suivi tes ordres, et ils
se cachent dans les recoins de la ville je suis
leur porte parole, vient suit moi,
- C'est un hommage de pouvoir retrouver ses
compagnons, tu viens de marquer une page de
notre histoire.
Cette jeune militante infirmière, connaît tous
les recoins de la ville et toutes les caches des
camarades de combat. A la fin des retrouvailles ,
une centaines de soldats valides et intentionné
prennent le chemin du maquis.
La nuit se rapproche vite , et le danger aussi,
plus aucun tire d'obus ne se fait entendre. Ce
11
silence est peut être le début d'une offensif ?Nous devons partir au plus vite. On appelle
a partir de la notre camarade infirmière
Patricia, c'est elle la clé de notre déroute car
elle nous a guidé vers une sortie ne pouvant
rencontrer de multiples engins blindés et cette
armée de fantassins prêt a nous tuer.
En ligne continu, éparpillé de part et d'autre, le
restant de mon armée se mue en silence. Devant
nous mon chien nous marque son attention a
travers un petit chemin qu'il renifle en avec
attention, puis il gémie, un signe de danger.
Devant nous, le corps d'un de nos camarades
déchiqueté par une mine. On redouble de
prudence et le chien renifle le sol.
La nuit se rapproche, avec l'aide de chiffons
accroché a un bâton, nous marquons la
présence des mines.
Cette zone freine dangereusement notre
marche. Beaucoup de cadavres sont éparpillé
12
sur ce champs de mine. Il arrive que des victimesvivent mais il sont très abîmer, plus de jambes,
plus de mains suite aux mines antipersonnel.
Devant nous, plus une seule victime, le chien se
déplace rapidement et ma confiance reprend,
j’accélère le pas quant soudain , une explosion
me coupe mon équilibre. Ma jambe droite vient
d’être déchiqueté. Je reste allongé. Patricia vient
a mon secoure pour les premiers soin puis l'on
me transporte sur un brancard improvisé.
Je suis la seule victime, tous les autres rencontré
sur notre parcours sont mort ou mourant. Ce sont
des personnes qui ont tenté de passer durant la
journée, leur état ne leur donnait plus de chance
de survivre. Pour nous c'est une victoire, mais
pour la grande armée de la Russie c'est une défaite !
Un peuple qui accumule un manque de liberté ,
un jour ou l'autre se révoltera et comblera ses
rangs.
La Russie l'a assassiné pour arriver a le dominer.
La guerre se répète sans tenir compte du nom de
La guerre se répète sans tenir compte du nom de
avec l'appui de la Russie.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz
écrit le 24 01 2011 remis a jour le 31 07 2019
A ce jour 16 12 2018, 107550 lecteurs.
A ce jour, 31 07 2019, 114 048 lecteurs .
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz
écrit le 24 01 2011 remis a jour le 31 07 2019
A ce jour 16 12 2018, 107550 lecteurs.
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