CONTE A REBOURS ( nouvelle 56 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
CONTE A REBOURS
Je viens de recevoir une lettre qui me précise
que je suis inviter a l’anniversaire d'un de mes
camarades de classe.
Pour moi cette reconnaissance flirte mes
sentiments. Se genre de compliment signe le
mérite d'une digne révérence.
Je lis l'adresse et, a cet instant la, un embarra
vient se figer dans mes pensées. L'invitation
provient d'une famille, pauvre ; elle occupe une
habitation vétuste situé au centre d'un quartier
indécent. Il y flâne cette honte, celle où l'ombre
de la pauvreté se conjugue avec familiarité.
qui me dévoilent des histoires fulgurantes des
habitants qui logent dans ces vieilles masures.
Il parait que la trace des siècles marquent
l'usure d'un affaiblissement certain. Les
matériaux ont perdu de leur valeur première.
Leurs décompositions mutilent son architecture
ainsi que les normes de sécurités. Sa destruction
sera fatale car la dépense pour son entretien
dépasse les ressources de la commune.
Cela fait belle lurette que la boiseries comme le
plâtre ,noire de moisissure, se décompose de ses
assises. La pauvreté y a trouvé refuge en tandem
d'un éternel refrain celui de n'éprouver de
chagrin.
Beaucoup de personnes chôment, elles récusent
l'effort du travail pour se contenter de faire la
manche devant les églises, les marchés, ou toute
autre lieux de passage intensif de la population.
D'autres tentent de survivre avec leur petite rente
Il reste une proposition travailleuse qui avec
peine, pataugent dans une galère stationnaire.
Un fort taux d'alcoolique clame un partenariat
fidèle qui agrippe avec ferveur tous ces déroutés
qui dix ans après la seconde guerre mondiale
croient en un avenir meilleur.
Mon ambivalence bascule vers un propos positif
que j'attribue par écrit a mon camarade de classe,
Marc. J'accepte son invitation tout en gardant
dans mes pensées un petit signe d'hésitation. Je
rencontre Marc pendant la récréation et lui
remet son invitation en lui disant,
- Ta décision est une politesse qui me rend
honneur Marc, je serai avec toi le jour de ton
anniversaire.
- Nous n'aurons pas de mourons a ce faire car ma
maman possède le cœur sur chaque main elle les
comble de sentiments digne d'une très bonne
cuisinière pour le partager avec tous mes invités.
maussade trace sa présence. Dans mes pensées,
vaguent des conclusions pervers car je me suis
dis que je ne risque de perdre grand chose de la
journée.
Je me dirige vers son habitation malsaine où, la
médiocrité me donne un malaise. Ce germe la me
repousse, je retient cette hantise amère sous la
couverture d'un sourire, ironique, pour cacher
mon amertume. Ce n'est qu'une aventure
journalière, elle ne peut en rien hachurer le bien
être de nous autres les bien loti ! De toute
manière, ce déclin ne peut offenser ma raison
personnel guidé par ma curiosité.
Mes yeux ne perdent pas le nord et ils scrutent
chaque élément qui m'intriguent profondément.
La tristesse de se bâtiment épouse le lugubre avec
la saleté et les moisissures qui y ont laissées leurs
traces. Mon attention remarque des marches en
bois de châtaigne ébréché que les vers ont
odeur de moisissure enivre mes narines. De petits
tas de sciure, provoqué par le capricorne, se
remarquent sur le sol en marbre gris. Dans le
plafond, de grands trous, démarques par un
treillis de lattes de bois , dénoncent le manque de
plâtre. Les belles moulures, incomplètes, signent
l'époque de la renaissance. Des couleurs délavées
s’intègrent dans celui de cette poussière centenaire.
Un manque de clarté rend la monté des marches
incertaine, de nombreuses vitres cassées sont
remplacé par des morceaux de cartons gras. Le
volume des ouvertures diminue l'éclairage
naturelle . Pour l'instant je ne récolte aucune
séduction instructive. Je reste sur mes gardes, de
peur de tomber a travers le plancher.
Le vacarme que font mes camarades de classe ,
que je rencontre dans ce vaste couloir a l'étage,
font épanouir cette zone jonché de doutes.
Gaiement, en chahutent nous arrivons
Elle a une particularité par rapport aux autres
alignent dans le couloir. Une couleur rose vif
et brillante lui donne un ressort de gaieté vis
a vis des autres portes d'entrées toute grise.
Je peux conclure que cette attention détient
un signe différent des autres locataires. Il n'y a
pas de toute, cette famille tente, avec volonté, de
se redresser de la tumeur qui les entoure !
Nous pénétrons dans l’immense pièce, aussi
grande que la salle d'un vaste château, aussi
haut que le plafond d'une chapelle et très
propre comme dans une famille distingué.
Les murs sont peint d'un bleu ciel et le plafond,
flaqué de nombreuses fissures, reflète une clarté
grâce a sa couleur blanc cassé. Cette lumière
naturelle redonne vie a la valeur caractérielle de
ce bâtiment. Je ne rencontre rien d'hostile, au
contraire, une strophe de plaisance me met en
confiance. Les meubles sont aligné le long du
Des lits superposés suivent l'alignement opposé
aux vastes fenêtres et, au centre de la pièce une
table ronde aux pieds tournées, est rouvert d'une
belle nappe brodé. Plusieurs chaises difformes
l'entourent.
Comme nous somme huit copains de classe,
huit chaises nous sont réservé et quatre
tabourets pour La famille de Marc. L'un des
lits est recouverts d'une belle couverture tricoté
en plusieurs motifs de couleurs criard, elle
représentant des motifs d' éléphants ; un
accordéon y stationne replié sur lui même.
Son père au visage bronzé, nous accueille avec
politesse, il porte d'épaisse lunette faisant
loupe, ses yeux sont comme gonflé. Il nous
regarde d'un air incongru, puis, nous tend sa
grosse main pour serrer les nôtres qu'il
recouvre de sa main gauche.
La mère, avec des nattes très blonde, nous
d'une richesse comblé de bonne humeur. En
observant ces gens la, j’emmagasine un
sentiment rassurant ; je ne regrette ma
présence parmi eux .
Sur la table sont préparé des couverts en
métal chromé et rayer mais, placé dans un
ordre digne de famille cultivé. Au milieux de
cette table un jolie bouquet de fleurs l'enrichit .
On nous invite par prendre place puis, le père
enfile les sangles de l'accordéon autour de ses
épaules. Il gonfle les poumons de l'instrument
en l'étirant au maximum ; suivent des tapes
régulières, que provoque ses pieds sur le
plancher.
Ce rythme marque un pas entraînant. Ses
doigts suivent le mouvements de la musique
qui naît par enchantement dans l'harmonie
d'un style que je trouve étonnant. Le son de
la musique résonne dans le volume de ce vaste
théâtre de notre ville. Nous l'accompagnons
tous avec des frappements de mains. Je ne
connais pas cette musique la, je me laisse
entraîner avec une facilité qui me plonge dans
une joie profonde. Le sourire embaume nos
visages et dans le fond de nos cœur, vague
une fluidité digne d'une sagesse divine.
Le temps de la musique s'épanouit et l'on
boit le sirop servit dans nos verres a moutarde.
Le mien est garnie d'une fleur printanière, du
muguets. Puis, ils nous offrent des morceaux
de gâteaux sec et très sucré. Leur goût possède
une particularité que je n'arrive a définir.
Une entende cordiale nous entoure, j’analyse
1
CONTE A REBOURS
Je viens de recevoir une lettre qui me précise
que je suis inviter a l’anniversaire d'un de mes
camarades de classe.
Pour moi cette reconnaissance flirte mes
sentiments. Se genre de compliment signe le
mérite d'une digne révérence.
Je lis l'adresse et, a cet instant la, un embarra
vient se figer dans mes pensées. L'invitation
provient d'une famille, pauvre ; elle occupe une
habitation vétuste situé au centre d'un quartier
indécent. Il y flâne cette honte, celle où l'ombre
de la pauvreté se conjugue avec familiarité.
2
Mes présomptions se murent sur des on dit,qui me dévoilent des histoires fulgurantes des
habitants qui logent dans ces vieilles masures.
Il parait que la trace des siècles marquent
l'usure d'un affaiblissement certain. Les
matériaux ont perdu de leur valeur première.
Leurs décompositions mutilent son architecture
ainsi que les normes de sécurités. Sa destruction
sera fatale car la dépense pour son entretien
dépasse les ressources de la commune.
Cela fait belle lurette que la boiseries comme le
plâtre ,noire de moisissure, se décompose de ses
assises. La pauvreté y a trouvé refuge en tandem
d'un éternel refrain celui de n'éprouver de
chagrin.
Beaucoup de personnes chôment, elles récusent
l'effort du travail pour se contenter de faire la
manche devant les églises, les marchés, ou toute
autre lieux de passage intensif de la population.
D'autres tentent de survivre avec leur petite rente
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de guerre ou du travail.Il reste une proposition travailleuse qui avec
peine, pataugent dans une galère stationnaire.
Un fort taux d'alcoolique clame un partenariat
fidèle qui agrippe avec ferveur tous ces déroutés
qui dix ans après la seconde guerre mondiale
croient en un avenir meilleur.
Mon ambivalence bascule vers un propos positif
que j'attribue par écrit a mon camarade de classe,
Marc. J'accepte son invitation tout en gardant
dans mes pensées un petit signe d'hésitation. Je
rencontre Marc pendant la récréation et lui
remet son invitation en lui disant,
- Ta décision est une politesse qui me rend
honneur Marc, je serai avec toi le jour de ton
anniversaire.
- Nous n'aurons pas de mourons a ce faire car ma
maman possède le cœur sur chaque main elle les
comble de sentiments digne d'une très bonne
cuisinière pour le partager avec tous mes invités.
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Ce jeudi la, le jour de son invitation, un tempsmaussade trace sa présence. Dans mes pensées,
vaguent des conclusions pervers car je me suis
dis que je ne risque de perdre grand chose de la
journée.
Je me dirige vers son habitation malsaine où, la
médiocrité me donne un malaise. Ce germe la me
repousse, je retient cette hantise amère sous la
couverture d'un sourire, ironique, pour cacher
mon amertume. Ce n'est qu'une aventure
journalière, elle ne peut en rien hachurer le bien
être de nous autres les bien loti ! De toute
manière, ce déclin ne peut offenser ma raison
personnel guidé par ma curiosité.
Mes yeux ne perdent pas le nord et ils scrutent
chaque élément qui m'intriguent profondément.
La tristesse de se bâtiment épouse le lugubre avec
la saleté et les moisissures qui y ont laissées leurs
traces. Mon attention remarque des marches en
bois de châtaigne ébréché que les vers ont
5
vermoulu , la balustrade n'est plus fiable. Uneodeur de moisissure enivre mes narines. De petits
tas de sciure, provoqué par le capricorne, se
remarquent sur le sol en marbre gris. Dans le
plafond, de grands trous, démarques par un
treillis de lattes de bois , dénoncent le manque de
plâtre. Les belles moulures, incomplètes, signent
l'époque de la renaissance. Des couleurs délavées
s’intègrent dans celui de cette poussière centenaire.
Un manque de clarté rend la monté des marches
incertaine, de nombreuses vitres cassées sont
remplacé par des morceaux de cartons gras. Le
volume des ouvertures diminue l'éclairage
naturelle . Pour l'instant je ne récolte aucune
séduction instructive. Je reste sur mes gardes, de
peur de tomber a travers le plancher.
Le vacarme que font mes camarades de classe ,
que je rencontre dans ce vaste couloir a l'étage,
font épanouir cette zone jonché de doutes.
Gaiement, en chahutent nous arrivons
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devant la vaste porte d'entrée de son habitation.Elle a une particularité par rapport aux autres
alignent dans le couloir. Une couleur rose vif
et brillante lui donne un ressort de gaieté vis
a vis des autres portes d'entrées toute grise.
Je peux conclure que cette attention détient
un signe différent des autres locataires. Il n'y a
pas de toute, cette famille tente, avec volonté, de
se redresser de la tumeur qui les entoure !
Nous pénétrons dans l’immense pièce, aussi
grande que la salle d'un vaste château, aussi
haut que le plafond d'une chapelle et très
propre comme dans une famille distingué.
Les murs sont peint d'un bleu ciel et le plafond,
flaqué de nombreuses fissures, reflète une clarté
grâce a sa couleur blanc cassé. Cette lumière
naturelle redonne vie a la valeur caractérielle de
ce bâtiment. Je ne rencontre rien d'hostile, au
contraire, une strophe de plaisance me met en
confiance. Les meubles sont aligné le long du
7
murs qui donne sur le couloir de cette masure.Des lits superposés suivent l'alignement opposé
aux vastes fenêtres et, au centre de la pièce une
table ronde aux pieds tournées, est rouvert d'une
belle nappe brodé. Plusieurs chaises difformes
l'entourent.
Comme nous somme huit copains de classe,
huit chaises nous sont réservé et quatre
tabourets pour La famille de Marc. L'un des
lits est recouverts d'une belle couverture tricoté
en plusieurs motifs de couleurs criard, elle
représentant des motifs d' éléphants ; un
accordéon y stationne replié sur lui même.
Son père au visage bronzé, nous accueille avec
politesse, il porte d'épaisse lunette faisant
loupe, ses yeux sont comme gonflé. Il nous
regarde d'un air incongru, puis, nous tend sa
grosse main pour serrer les nôtres qu'il
recouvre de sa main gauche.
La mère, avec des nattes très blonde, nous
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salut de la tête en gardant un sourire digned'une richesse comblé de bonne humeur. En
observant ces gens la, j’emmagasine un
sentiment rassurant ; je ne regrette ma
présence parmi eux .
Sur la table sont préparé des couverts en
métal chromé et rayer mais, placé dans un
ordre digne de famille cultivé. Au milieux de
cette table un jolie bouquet de fleurs l'enrichit .
On nous invite par prendre place puis, le père
enfile les sangles de l'accordéon autour de ses
épaules. Il gonfle les poumons de l'instrument
en l'étirant au maximum ; suivent des tapes
régulières, que provoque ses pieds sur le
plancher.
Ce rythme marque un pas entraînant. Ses
doigts suivent le mouvements de la musique
qui naît par enchantement dans l'harmonie
d'un style que je trouve étonnant. Le son de
la musique résonne dans le volume de ce vaste
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appartement comme ci, je l'entendais dans lethéâtre de notre ville. Nous l'accompagnons
tous avec des frappements de mains. Je ne
connais pas cette musique la, je me laisse
entraîner avec une facilité qui me plonge dans
une joie profonde. Le sourire embaume nos
visages et dans le fond de nos cœur, vague
une fluidité digne d'une sagesse divine.
Le temps de la musique s'épanouit et l'on
boit le sirop servit dans nos verres a moutarde.
Le mien est garnie d'une fleur printanière, du
muguets. Puis, ils nous offrent des morceaux
de gâteaux sec et très sucré. Leur goût possède
une particularité que je n'arrive a définir.
Une entende cordiale nous entoure, j’analyse
dans cette situation un mérite digne d'une belle
fête pour l'anniversaire de Marc. Je me contente
d'une seule portion de gâteau sec, il est très bon
mais, je pense que cette famille se trouve dans le
besoin. Je ne veux jouer le gourmand.
qu'elle prétend être véridique. Je me laisse
étourdir par ces paroles pour plonger dans
l'ivresse de son temps et me rendre absent de
mon présent.
- Jadis , notre famille eut attisé une richesse
volumineuse qui proliféra sans cesse. Nous
fumes la première fortune de notre région, la
troisième du pays et cette référence nous
donna la clé de toute les facultés pour
entreprendre des projets des plus grandioses.
Bien évidant, cette ristourne la eut un but précis
ce fut celui de sortir gagnant pour chaque
épopée en affaire. Notre pouvoir engendra rien
que des enjeux rimant des portillons allant
toujours du grand bénéfice avec de très grande
rentré d'argent. Ci je parle de volumineuse
conception c'est que souvent la bourse dut
suivre nos transactions. Notre bonne gestion
fit écot parmi des actionnaires qui nous
approuvèrent financièrement. Toute notre
haut lieu gouvernementale ainsi que celui de
la magistrature. Notre supériorité alla bon
chemin. Une sœur de ma grand mère fut
l'épouse d'un grand Radjas des colonies des
Inde. Qualité suprême que de tenir les rênes
d'un pays par la fortune que l'on possède et
qui peut le gouverner indirectement. Un beau
jour, toute la famille se rassembla pour
présenter un très gros investissement ; il
consistait en somme d'acheter un chargement
d'or, de diamant et d'argent qui provenait de
l' Amérique Latine. Une fortune faramineuses
dut être rassemblé . Un grand nombre d'entre
nous y placèrent toute leur économie. Avec cette
somme la, le chargement se mit a flotter sur un
trois mat aux voilure impressionnante. Leur
envergure défiait tous les navires de l'époque.
L’investissement d'une aussi grande fortune
devrait a son arrivé nous rapportez , dans la
quitta un port du brésil, flotta avec grâce
pour percer des vagues pouvant ressembler
a des enclumes. La vitesse fut son domaine
avec l'aide de la puissance des vents dominant
qu'il manipula avec labeur. Notre habitude de
gagner ne réveilla nul doute sur un quelconque
avarie ou accident pouvant manœuvrer contre
notre investissement. A travers le monde , nulle
guerre ne troubla les nouvelles, de pirates des
mers il n'en existe plus , ils se sont épanoui avec
les légendes de jadis. Le capitaine de ce voilier
eut gravi avec honneur tous les échelons de la
marine avec des mentions sonnant une bonne
recommandation. Nous ne rencontrons la
moindre inquiétude a cultiver. La
COMPAGNIE MARINE nous distrait de toute
assurance pour présenter a nos yeux ce que
vaudra notre chargement lorsqu'il arrivera au
port de Mantes dans les 3 mois qui suivent. Ils
calculèrent un large temps pour faire la
son majuscule et souffla avec une violence telle
que les vagues se révoltèrent . Le navire se
souleva de plus belle comme une plume sans
attache. Le vas et vient infernal bouscula
sans cesse le navire qui s’enfonçait dans des
creux interminable pour remonter vers des
sommets indomptable. La visibilité , entre ces
montagnes d'eau, détenait l'avenir du bateau.
Le chahut insensé devenait maître du
comportement du navire pour n'en faire
qu'une plume flagellé gravement. Le Dieu de
la mer tenait en otage le navire et son équipage.
Les pauvres marins firent des prières, mais,
elles ne servaient a rien, car , les vagues
enserraient de plus belle cette coquille de noie
sans prendre au sérieux leurs louanges. La
casse fut rude car un seul des trois mats resta
intacte et l'intention de faire des réparations le
dérouta de sa route pour rejoindre les îles des
affrontement car une tempête volante reprit
son langage pour continuer de les harceler. Un
récif écorcha la proue de ce majestueux voilier
au moment où il pénétra dans les eaux
territoriale des Canaries. Le navire sombra
dans le gouffre de l’abîme des profondeurs de
l'océan. Il y eut beaucoup de disparus ; a peine
dix personnes de l'équipage furent sauvé par
les habitants des Canaries. Toute notre richesse
a prit assise la bas , elle gît dans les eaux trouble
de l'océan. Nous perdions de nombreux procès,
ils nous enfonçaient dans le déclin, la pauvreté
et la réserve de tout espoir . Mais a ce jour je
garde une lueur d’espérance pour que notre
richesse retrouve notre bien être.
Elle nous raconte cela comme ci elle nous cite
une récitation avec un regard digne pour mon
admiration. Je me suis laissé séduire par son
histoire et par la croyance de cette femme qui
peut être plus tard, de retrouver toute la fortune
de ses parents et de sa famille.
Je me suis mis a rêver de nombreuses fois
sur cette histoire la .
Le temps s'émiette comme les vagues qui se
répètent. Les tournures de la vie entraîne les
corps dans l'oubli ! J'ai pris de l'âge et ne rêve
plus des mêmes questions mais, vient un jour
une annonce dans un journal régionale , il
attribut plusieurs lignes pour des héritiers qui
attendent depuis des années que le tribunal
internationale leur accorde le droit de
retrouver une part de leur fortune qui provenait
d'un voilier de la COMPAGNIE MARITIME, qui
eut sombré près d'une île des Canaries. Mon
jeune rêve retrouve la semence d'autre fois, ceux
où je plonge dans les eaux profonde pour tenter
de remonter sur la terre ferme cette richesse en
or, en argent ainsi qu'en diamants.
labyrinthe la où la pauvreté, elle, ne te laissera
tomber. Pour un vrai pauvre, le fait d’être riche,
c'est d'avoir tous les jours de quoi manger du
travail et un toit .
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Ecrit le 17 01 2011, remis a jour le 14 07 2019.
A ce jour, 17 01 2011, 1 329 lecteurs.
A ce jour, 07 10 2013, 74 314 lecteurs .
A ce jour, 04 01 0215, 82 700 lecteurs .
A ce jour, 28 11 2018, 106 956 lecteurs.
A ce jour, 14 07 2019, 113 600 lecteurs.
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La maman de Marc nous raconte une histoirequ'elle prétend être véridique. Je me laisse
étourdir par ces paroles pour plonger dans
l'ivresse de son temps et me rendre absent de
mon présent.
- Jadis , notre famille eut attisé une richesse
volumineuse qui proliféra sans cesse. Nous
fumes la première fortune de notre région, la
troisième du pays et cette référence nous
donna la clé de toute les facultés pour
entreprendre des projets des plus grandioses.
Bien évidant, cette ristourne la eut un but précis
ce fut celui de sortir gagnant pour chaque
épopée en affaire. Notre pouvoir engendra rien
que des enjeux rimant des portillons allant
toujours du grand bénéfice avec de très grande
rentré d'argent. Ci je parle de volumineuse
conception c'est que souvent la bourse dut
suivre nos transactions. Notre bonne gestion
fit écot parmi des actionnaires qui nous
approuvèrent financièrement. Toute notre
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famille occupa des places qui englobèrent lehaut lieu gouvernementale ainsi que celui de
la magistrature. Notre supériorité alla bon
chemin. Une sœur de ma grand mère fut
l'épouse d'un grand Radjas des colonies des
Inde. Qualité suprême que de tenir les rênes
d'un pays par la fortune que l'on possède et
qui peut le gouverner indirectement. Un beau
jour, toute la famille se rassembla pour
présenter un très gros investissement ; il
consistait en somme d'acheter un chargement
d'or, de diamant et d'argent qui provenait de
l' Amérique Latine. Une fortune faramineuses
dut être rassemblé . Un grand nombre d'entre
nous y placèrent toute leur économie. Avec cette
somme la, le chargement se mit a flotter sur un
trois mat aux voilure impressionnante. Leur
envergure défiait tous les navires de l'époque.
L’investissement d'une aussi grande fortune
devrait a son arrivé nous rapportez , dans la
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logique , le double de sa valeur. Le bateauquitta un port du brésil, flotta avec grâce
pour percer des vagues pouvant ressembler
a des enclumes. La vitesse fut son domaine
avec l'aide de la puissance des vents dominant
qu'il manipula avec labeur. Notre habitude de
gagner ne réveilla nul doute sur un quelconque
avarie ou accident pouvant manœuvrer contre
notre investissement. A travers le monde , nulle
guerre ne troubla les nouvelles, de pirates des
mers il n'en existe plus , ils se sont épanoui avec
les légendes de jadis. Le capitaine de ce voilier
eut gravi avec honneur tous les échelons de la
marine avec des mentions sonnant une bonne
recommandation. Nous ne rencontrons la
moindre inquiétude a cultiver. La
COMPAGNIE MARINE nous distrait de toute
assurance pour présenter a nos yeux ce que
vaudra notre chargement lorsqu'il arrivera au
port de Mantes dans les 3 mois qui suivent. Ils
calculèrent un large temps pour faire la
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traverser de l'atlantique. Le vent eut réveilléson majuscule et souffla avec une violence telle
que les vagues se révoltèrent . Le navire se
souleva de plus belle comme une plume sans
attache. Le vas et vient infernal bouscula
sans cesse le navire qui s’enfonçait dans des
creux interminable pour remonter vers des
sommets indomptable. La visibilité , entre ces
montagnes d'eau, détenait l'avenir du bateau.
Le chahut insensé devenait maître du
comportement du navire pour n'en faire
qu'une plume flagellé gravement. Le Dieu de
la mer tenait en otage le navire et son équipage.
Les pauvres marins firent des prières, mais,
elles ne servaient a rien, car , les vagues
enserraient de plus belle cette coquille de noie
sans prendre au sérieux leurs louanges. La
casse fut rude car un seul des trois mats resta
intacte et l'intention de faire des réparations le
dérouta de sa route pour rejoindre les îles des
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Canaries. Le vent ne perdra point de sonaffrontement car une tempête volante reprit
son langage pour continuer de les harceler. Un
récif écorcha la proue de ce majestueux voilier
au moment où il pénétra dans les eaux
territoriale des Canaries. Le navire sombra
dans le gouffre de l’abîme des profondeurs de
l'océan. Il y eut beaucoup de disparus ; a peine
dix personnes de l'équipage furent sauvé par
les habitants des Canaries. Toute notre richesse
a prit assise la bas , elle gît dans les eaux trouble
de l'océan. Nous perdions de nombreux procès,
ils nous enfonçaient dans le déclin, la pauvreté
et la réserve de tout espoir . Mais a ce jour je
garde une lueur d’espérance pour que notre
richesse retrouve notre bien être.
Elle nous raconte cela comme ci elle nous cite
une récitation avec un regard digne pour mon
admiration. Je me suis laissé séduire par son
histoire et par la croyance de cette femme qui
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place sa volonté sur un rêve qui lui permettra,peut être plus tard, de retrouver toute la fortune
de ses parents et de sa famille.
Je me suis mis a rêver de nombreuses fois
sur cette histoire la .
Le temps s'émiette comme les vagues qui se
répètent. Les tournures de la vie entraîne les
corps dans l'oubli ! J'ai pris de l'âge et ne rêve
plus des mêmes questions mais, vient un jour
une annonce dans un journal régionale , il
attribut plusieurs lignes pour des héritiers qui
attendent depuis des années que le tribunal
internationale leur accorde le droit de
retrouver une part de leur fortune qui provenait
d'un voilier de la COMPAGNIE MARITIME, qui
eut sombré près d'une île des Canaries. Mon
jeune rêve retrouve la semence d'autre fois, ceux
où je plonge dans les eaux profonde pour tenter
de remonter sur la terre ferme cette richesse en
or, en argent ainsi qu'en diamants.
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Perdre une richesse c'est plonger dans un vastelabyrinthe la où la pauvreté, elle, ne te laissera
tomber. Pour un vrai pauvre, le fait d’être riche,
c'est d'avoir tous les jours de quoi manger du
travail et un toit .
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Ecrit le 17 01 2011, remis a jour le 14 07 2019.
A ce jour, 17 01 2011, 1 329 lecteurs.
A ce jour, 07 10 2013, 74 314 lecteurs .
A ce jour, 04 01 0215, 82 700 lecteurs .
A ce jour, 28 11 2018, 106 956 lecteurs.
A ce jour, 14 07 2019, 113 600 lecteurs.
A ce jour, 10 02 2021, 143 030 lecteurs.
A ce jour, 13 04 2022, 168 992 lecteurs.
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