DES ÎLES MARQUISES AUX ILES TUAMOTU ( nouvelle 79 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
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DES ÎLES MARQUISES
AUX ÎLES TUAMOTU
Notre voilier blancs, ( COQUILLE DE NOIX )
possède sur les flancs de sa coque deux larmes
en rouge et deux autres en jaune citron ; qui le
démarque sur toute sa longueur de 12 mètres.
Sa voilure reflète la couleur du sable blanc
d'un lagon. Quant le vent les gonfle, ils
épousent la forme d'une demie montgolfière.
Tous les habitants Marquisiennes et
Marquisiens de notre Îles sont fière de ce
beau voilier, ils y ont tous contribué.
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Voila le résultat de l’envoûtement que nousvenons de conjuguer toute l'équipe ainsi que
le savoir faire de la Polynésie. Je suis le
meneur de ces huit camarades matelots qui
sont devenu compagnons charpentier marine.
Tout le village côtier a misé sur la réussite de
notre projet en y plaçant leur loisir et une
partie de leur avoir et savoir . L’ambition de
cette réalisation provient d'un vieux rêve
que nos grand parents nous avaient raconter.
Ils voulaient entreprendre la traverser ,
depuis nos Îles Marquises jusqu'à rejoindre
les lointaines Îles Tuamotu dans le vaste
Pacifique entre 134 et 150 longitude ouest et
14 et 24 latitude sud.
Cette aventure demande une organisation
mettant en avant garde les facteurs
indispensable pour la survie en mer. La
réserve d'eau et de victuailles nécessite un
calcul indispensable, ce que nous
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entreprenons en y plaçant du poisson séché,arbre a pain fermenté, des noix de coco, du
taro, de l'eau, pour une traversé qui durera
plusieurs semaines. Pour nous habituons a
cette longue navigation, nous faisons
plusieurs sortie en mer. Elles durent parfois
plusieurs jours.
A notre retour, les Marquisiennes nous
félicitent avec encouragement par des "mavé "
chants de bienvenue . Cette communion avec
le Pacifique donne a mes compagnons le jet
d'une total confiance. Cette résonance eut
guidé nous intentions de baptiser le voilier
( COQUILLE DE NOIX ) .
Nous apprécions sa rapidité qui file a une
vitesse de 8 nœud sur une mer huileuse a
faible vent. Nous somme des matelots
compagnons qui cultivons une coordination
vibrante comme le son d'un instrument de
bonne résonance. Cela fait un bout de temps
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que notre programme suit ce projet.L'horizon devient le point de notre
envoûtement.
Nos anciens sont de grand sage, ils nous ont
fait comprendre que pour arriver aux Îles
Tuamotu , il faut tout simplement se laisser
porter par les vents de la mousson. Leur rêve
restent une parodies mais pour nous se sera
une passion remplit d'enthousiasme et de
fierté vis a vis des habitants de l’Île.
Le moment venu donne naissance a cette
grande aventure programmé. Toutes les
pirogues nous entourent jusqu'à notre
départ. La haute mer pour guette et
réveille les bon présages. Les jeunes filles
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de notre âge jettent de nombreux bouquetsde fleurs a la mer en chantant de tout cœur
et le Chamane gesticule des parades pour
nous porter chance.
Trois semaines plus tard,
Notre expédition suit la bonne route,
rien a l'horizon. Parfois , des groupes
d'otaries ou de dauphins suivent le sillage
du voilier. Cet accompagnement nous unie
avec la vie marine. Cette vaste étendu d'eau
renferme la spiral d'un grand secret, c'est
pour cet raison que nous lui accordons notre
respect.
Notre attention vient de se mettre en
émois, depuis quelques heures, une volée
de mouettes suivent le sillage de Coquille de
noix. Leur présence est romanesque et
encourageant ils viennent mendigoter par
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des sifflements striant qu'ils émettent dansleur voles acrobatique. Ce comportement
nous fait comprendre qu'ils ont l'habitude
de convoiter les humains, les Îles ne doivent
plus être loin ? Une joie immense éprouve
nos pensées, la réussite de notre projet nous
prime de satisfaction. Mais, un doute sur
la performance de l'expédition nous met
en question. Ce ne peut être possible que
nous venons de faire la traversé ? Le voilier,
Coquille de noix, aurait il fait des exploits en
rapidité ? Il se peut que nous nous trouvons
près d'une Îles autre que celle programmé ?
Une inconnue qui ne figure sur aucune carte ?
Méfions nous de cette découverte, on ne sais
jamais ?
Mais notre courage ne manque d'audace
et nous optons pour un arrêt dans l'espoir
de régénérer nos réserves d'eau et une partie
de nos victuailles dans le cas où il y aurait
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des cocoterais. Nous scrutons les environspour apercevoir l’Îles. Enfin, la voila , la
découverte de ce caillou amplifie notre
volonté par une immense joie qui coupe
notre route du vaste pacifique.
Notre carte de navigation ne dénonce
aucune Îles par ici ? Une touche de curiosité
active l'abstinence et une source de découverte
enivrent nos requêtes. L'émerveillement
enflamme nos pensées car cette nouveauté
nous gratifiera de connaissances. Cette
découverte nous fait ressembler a celle d'un
troupeau de loirs qui retrouvent les premiers
rayons du soleil a la sortie de leur terriers.
On lance les amarres prêt d'un petite
presque îles qu'entourent des cocoterais
sauvage. La végétation luxueuse nous
enivre après ces trois semaines passé dans
e Pacifique. L'aventure que nous menons
mérite que nous restons quelques temps sur
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cette Îles, une coupure qui reforgera notrecourage et notre esprit de découverte.
La noblesse d'arbres et plantes inconnu
complétera notre savoir. La satisfaction fait
vibrer notre joie a tel point que nous
envisageons de découvrir cette oasis de
soulagement. Dans le pacifique une Îles
inconnu représente un trésor.
La décision de visiter notre découverte
ceindre notre équipe en deux parties. Quatre
partent explorer l'île et les quatre autres
gardent coquille de noix. Je fais partie du
groupe explorateur et m' y engage avec
une grande sagesse.
La foret qui démarre de la presque îles
possèdent des ( Inocarpus edulis ihi )
châtaigniers de Polynésie, des arbres a
pain, des arasées de l'Alocasia macrorrhiza
( oreille d'éléphants géante ) , des cocotiers
et d'autres arbres qui me sont inconnu.
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Nous arrivons au sommet de cette grandebute et la, avec l'aide de nos jumelles,
j'observe les alentour. La verdure rayonne
de couleurs reposante. De nombreux criques
se remarquent. J'en suis émerveillé. Je longe
la rive de notre observateur, puis, soudain,
des palotes se distinguent. Ils sont aligné
en ligne droite. Un petit port abrite des
bateaux de lux, un autre des hydravions et
sur une plate forme, prêt des palotes, deux
hélicoptères.
Je n'en revient pas, les habitations sont
luxueusement construite. Nous nous
rapprochons . Notre vision est réelle.
J'observe les gens se promener puis, une
personne me semble être connu comme
vedette mais qui a disparu de l’écran
depuis bien longtemps, par un fait
accidentelle et mortelle se trouve ici. Je
reste sur mon observateur et remarque, un
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peu plus tard, un chanteur très connu,disparu lui aussi, se promener dans les
chemins en marbres. Une autre chanteuse
disparu aussi accidentellement vie ici
comme au paradis. Michael Jackson
marche sans garde de corps, libre comme
le vent. Ils sont tous ressuscité, vivant la
a nos pieds. Nous n'en revenons pas .
Cette présence humaine transforme notre
découverte en une banal visite.
Une déception prend place dans nos
mœurs. Pour rester dans l'oublie, ils
habitent sur une îles qui volontairement
ne figure sur aucune carte.
Notre conclusion consiste de provoquer
nul confusion, nous revenons sur nos pas
sans laisser de trace. Nous sonne devenu
des témoins gênant. Il nous reste un devoir,
celui d'arriver aux Îles Tuamotu .
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Il existe des secrets que l'on
ne peu percer, en voila
un de ceux qui reste
dans nos pensées .
JJM
auteur Jean Jacques Mutz
écrit le 20 07 2011.
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