LE NOMADE ( nouvelle 9)
virée dans le désert. Tout le campement, du poste
de la croix rouge internationale, se trouve dans
une liturgie totale.
Je viens de donner congé à mon équipe. Les
médecins et les infirmiers sont en mission dans un
autre village du désert. La bas il y a fort a faire, car
nous n'arrivons à résoudre la vaccination contre une
fièvre typhoïde cruelle.
2
Ce jour la un esprit de liberté vient me donner une
folle envie de découverte. La lassitude demande un
changement de ce fait, j'ai prit contacte avec un guide
pour nous accompagner dans cette virée. Ma femme
et notre enfant de deux ans font partie du voyage.
Nous suivons une piste tracé à travers une étendu
interminable de butes en sable rose. Notre objectif
consiste de parvenir auprès d'une caravane de
chameaux stationné quelque part ?.
Ce sont les habitants de la ville, où se trouve notre
point de regroupement ,qui nous on fait connaître
l'importance de sa présence. Cette caravane se
trouve a peine sept kilomètres de notre départ
Pour une Peugeot 305 blanche aux couleurs
humanitaire cette distance n'a rien de particulier:
Notre curiosité devient la source même de nos
intentions, car aux possibilités d'achat que nous
pouvons y faire, font affaires. Il faut reconnaître
Je viens de donner congé à mon équipe. Les
médecins et les infirmiers sont en mission dans un
autre village du désert. La bas il y a fort a faire, car
nous n'arrivons à résoudre la vaccination contre une
fièvre typhoïde cruelle.
2
Ce jour la un esprit de liberté vient me donner une
folle envie de découverte. La lassitude demande un
changement de ce fait, j'ai prit contacte avec un guide
pour nous accompagner dans cette virée. Ma femme
et notre enfant de deux ans font partie du voyage.
Nous suivons une piste tracé à travers une étendu
interminable de butes en sable rose. Notre objectif
consiste de parvenir auprès d'une caravane de
chameaux stationné quelque part ?.
Ce sont les habitants de la ville, où se trouve notre
point de regroupement ,qui nous on fait connaître
l'importance de sa présence. Cette caravane se
trouve a peine sept kilomètres de notre départ
Pour une Peugeot 305 blanche aux couleurs
humanitaire cette distance n'a rien de particulier:
Notre curiosité devient la source même de nos
intentions, car aux possibilités d'achat que nous
pouvons y faire, font affaires. Il faut reconnaître
que de grand choix nous n'en avant pas sur notre
marché habituelle, changeons notre routine.
3
Les bonnes paroles dévoilent que de nombreuses
possibilités sont mise à l'étalage ; on y trouve du sel,
des pains de sucre, du savon noir, des épices, du
parfum, de l’ansent des longues allumettes, des
bougies, des crayons de couleurs, du papier, des
cigarettes américaine ou africaine, de l'huile d'olive,
de l'essence, des tissus de couleurs différentes,
armes et munitions, des ustensiles de cuisine et
divers médicaments. Je me garde de dévoiler tout
l'attirail que transporte cette caravane car je pense
que mon histoire aura des rallonges.
La richesse que convoite la caravane est grande
et incalculable. Ce marché là engloutit le peu de
fortune des gens qui occupent cette région.
Le soleil matinale commence, petit a petit la brume
troubler notre vue et le froid reste présent. Des ondes
de chaleur dansent devant nos yeux. Le lointain
devient brumeux et intransitif. Cela fait vingt minutes
que nous roulons et de caravane nous n'en voyons
point ?
4
Je demande au guide d'arrêter la voiture, ce qu'il
fait, au milieu d'une vaste étendu ondulé de collines
de sable mitigé de rose et d'ombres.
3
Les bonnes paroles dévoilent que de nombreuses
possibilités sont mise à l'étalage ; on y trouve du sel,
des pains de sucre, du savon noir, des épices, du
parfum, de l’ansent des longues allumettes, des
bougies, des crayons de couleurs, du papier, des
cigarettes américaine ou africaine, de l'huile d'olive,
de l'essence, des tissus de couleurs différentes,
armes et munitions, des ustensiles de cuisine et
divers médicaments. Je me garde de dévoiler tout
l'attirail que transporte cette caravane car je pense
que mon histoire aura des rallonges.
La richesse que convoite la caravane est grande
et incalculable. Ce marché là engloutit le peu de
fortune des gens qui occupent cette région.
Le soleil matinale commence, petit a petit la brume
troubler notre vue et le froid reste présent. Des ondes
de chaleur dansent devant nos yeux. Le lointain
devient brumeux et intransitif. Cela fait vingt minutes
que nous roulons et de caravane nous n'en voyons
point ?
4
Je demande au guide d'arrêter la voiture, ce qu'il
fait, au milieu d'une vaste étendu ondulé de collines
de sable mitigé de rose et d'ombres.
Le sable devient brûlant. Ces ondulations ne
définissent aucun repère qui puisse nous orienter.
De caravane nous n'en rencontrons point. Notre
guide me parait soucieux et notre morale épouse
une conviction amer. Des doutes persistent et un
manque de confiance voile la face de cette personne.
Aurait il des intentions contenant des valeurs
mensongères ?
Ma femme s'inquiète énormément pour l'enfant
et pour nous . Une profonde peur inflige des réactions
contradictoire, car la confiance que nous venons de
soumettre aux mains de cet individu s’épanouit.
Cela fait trente minutes que notre patience tente
de rencontrer un éventuelle repère. Rien ne trouble
notre vue a part des cactus et des mirages de nappe
d'eau. Notre trace c'est discrédité de notre vue, par
la poussière qu'a soulevé notre déplacement ! Nous
5
devenons anxieux et une sorte de panique trouble
nos esprit ; même ma fillette , de deux ans, ressent
une certaine crainte car elle se met a pleurer.
Le soleil, d'une blancheur indomptable, grimpe
vers le ciel rapidement. Notre Eau devient dînette en
humidifiant nos gosiers. C'est cette matérialisation,
qui fait travailler notre prise de conscience, une
conspiration nous met en danger. Je ne suis plus
certain de notre route et du guide bien moins !
La chaleur devient infernale et cela malgré que
nous sommes à l'abri du soleil sous nos parasols.
Notre transpiration augmente l'assèchement de la
peau.
Que nous reste d'il comme solution maintenant ?
L'on est égaré là comme un tas de linge qui sèche au
soleil ! Le coton de nos habits colle sur notre peau en
moulant l'ondulation de la forme de nos corps. La
réserve d'eau s'amaigrit a vu d’œil, sa diminution
germe une nouvelle vague de préoccupation. Le
danger nous chasse et notre soif cri supplice.
6
Au loin l'on aperçois un chameau qui se déplace
rapidement. Un petit voile de poussière dénonce le
tracé de son déplacement. A mainte reprise on lui
fait des signes avec de larges coups de tissu tenu
dans nos bras.
Le nomade se rapproche de nous. Je ne distingue
qu'un habit bleuté, sombre comme un ciel d'orage.
Mon regard ne rencontre que des yeux d'un brin
sombre de vivacité derrière son visage voilé. Il nous
émois par sa fierté, digne d'un structuralisme de sa
personnalisé. Notre stupéfaction et aussi grande que
profonde. Notre guide le salut avec courbette et
politesse en s'exprimant dans la langue des nomades.
Peut être de l'arabe ou du Berbère, je me comprend
un seul mot !
Le nomade nous fait signe de le suivre. Nos
pensées épousent un espoir qui fait briller l'étincelle
de la joie, celle qui retrouve le charme de la confiance.
Nous retrouvons cette même symétrie que nous
avions dans nos cœurs au moment où prit forme le
début de notre aventure.
7
Le guide traduit les explications que nous donne
ce serviteur du désert. Elles vont nous servir pour
retrouver notre route et surtout pour aboutir auprès
de la caravane des chameliers.
De nombreuse tentes forment un grand cercle, le
nomade nous invite pour boire du thé a la menthe
sous sa tente.
Refuser c'est perdre la trace de la piste, c'est aussi
l'humilier en refusant son hospitalité. Cette invitation
ne rencontre le moindre refus et notre Peugeot 305
blanche reprend du chemin en suivant le chamelier.
Nous plaidons une politesse divine a son égard
pour la sympathie que ces gens nous accordent. Ils
nous guident vers le milieu de la tente ou des verres
transparents de couleurs sont placé sur une petite
table sculpté dans du bois d'olivier. Des figues et des
dates ainsi que des citrons et oranges sont a notre
disposition sur un plateau d'argent aux multiples
figure géométriques martelé. Des signes de mains
nous guident vers nos places.
8
L'on s’accroupie en forme de cercle sur d'épais
tapies autour de la table. Dans un coin une jeune
femme s'occupe de la marmite qui boue sur du feu .
Elle remplie une carafe d'orée de sucre et de mente.
Le nomade sort une dague pointu qu'il pique dans
le plateau pour y sortir une figues. Il me la tend avec
politesse et compliment. Je me sert d’une date que
je goutte avec respect. Je trouve dans ce fruit un
délice sucrée.
J'oublie ma soif ainsi que ma peur. Dans un rituel,
propre a leur coutume, la jeune femme nous verse
du thé. Elle le fait d'une certaine manière très
élégante. Dans nos verres , où est placé un morceau
de sucre bien gros , elle verse le thé bouillant d'une
hauteur impressionnante sans verser a coté.
Je me demande comment peut elle connaître le
volume d'eau sans faire déborder. ?
Je sort un paquet de cigarettes, des gitanes de
France, que je présente au nomade. Son regard se
comble d'émerveillement. Il en sort une cigarette
9
qu'il place entre ses lèvres brillant de sucreries.
Notre guide se sert aussi dans le paquet , après
mon tour je propose au nomade d'allumer en
premier sa Gitane. Notre fumée s'engage dans une
ouverture que les rayons du soleil traversent. Ce petit
geste me comble de politesse, ce qu' apprécie le
nomade.
Notre fillette se trouve sur les bras d'une autre
femme, qui la berce tendrement. Le nomade caresse
inlassablement les cheveux dorée de notre enfant.
Je tend le paquet de Gitanes au nomade en lui
faisant comprendre qu'il peut garder le paquet. Je ne
rencontre de refus.
Il ordonne a une femme d'égorger un mouton pour
nous inviter au repas. Ceci est un grand compliment
chez les Touareg d'être invité a leur repas. Pour nous
cela devient un compliment a complication pour notre
déplacement . Nous ne pouvons accepter une si
grande offrande et le faisons comprendre au touareg,
par l'intermédiaire du guide, que dans notre religion
11
nous ne mangeons pas le même jour la viande
fraîchement tuer.
Le nomade accepte avec peine ma révélation. La
femme qui s'occupe de notre fillette lui donne du lait
de chèvre placé dans son biberon en peau. Notre
guide nous traduit les paroles de cette femme et du
nomade,
( Monsieur , votre fillette possède de jolie yeux
bleu et des cheveux qui ont la couleur de l'or, je suis
prêt à te donner tous ce que je possède pour avoir
un enfant de cette couleur de cheveux et de yeux
bleu. Ma femme ne peut avoir d'enfant, c'est pour
cette raison que je veux vous l'acheter. )
Ce langage là trouble notre comportement, je
ne dénonce nulle impartialité et tente de peser le
poids de mes paroles,
( Ta proposition m'honore car elle est honnête,
je tacherai de lui donner une réponse d'ici quelques
jours .)
Ma femme me regarde d'un air désabusé.
12
Moi , dans mes pensées, j'ai pesé mes mots car il
faut comprendre la situation, nous sommes
dans le désert, seul le savoir de cet homme peut
nous sauver.
L'invitation prend fin et nous les quittons avec de
bons termes .
En reprenant la route, le nomade , sur son
chameau, nous guide vers notre objectif ,la caravane.
Il y a que trois kilomètres du lieu ou nous nous
nous ne faisions que tourner en rond. Le guide nous
explique que toute cette richesse chargée sur les
chameaux est la propriété du nomade et que cette
valeur nous sera attribué ci nous acceptons le
marché.
Le hasard a voulu que nous tournions en rond
dans un cercle fermé depuis un bon moment ?
Comment se fait il que le nomade nous a
rencontré ?
Le désert est vide, vide de tout soupçon ?
13
Ma fille connait cette aventure, souvent elle me
demande de la lui raconter pour me dire,
d'un air tagueuse
( tu vois papa, tu serais riche maintenant si tu
m'aurais échangé contre toute cette richesse de la
caravane de ce nomade du désert )
La nouvelle est en cour de construction, des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz.
Écrit le 07 01 2019.
A ce jour , 18 05 2019, 111325 lecteurs.
soumettre aux mains de cet individu s’épanouit.
Cela fait trente minutes que notre patience tente
de rencontrer un éventuelle repère. Rien ne trouble
notre vue a part des cactus et des mirages de nappe
d'eau. Notre trace c'est discrédité de notre vue, par
la poussière qu'a soulevé notre déplacement ! Nous
5
devenons anxieux et une sorte de panique trouble
nos esprit ; même ma fillette , de deux ans, ressent
une certaine crainte car elle se met a pleurer.
Le soleil, d'une blancheur indomptable, grimpe
vers le ciel rapidement. Notre Eau devient dînette en
humidifiant nos gosiers. C'est cette matérialisation,
qui fait travailler notre prise de conscience, une
conspiration nous met en danger. Je ne suis plus
certain de notre route et du guide bien moins !
La chaleur devient infernale et cela malgré que
nous sommes à l'abri du soleil sous nos parasols.
Notre transpiration augmente l'assèchement de la
peau.
Que nous reste d'il comme solution maintenant ?
L'on est égaré là comme un tas de linge qui sèche au
soleil ! Le coton de nos habits colle sur notre peau en
moulant l'ondulation de la forme de nos corps. La
réserve d'eau s'amaigrit a vu d’œil, sa diminution
germe une nouvelle vague de préoccupation. Le
danger nous chasse et notre soif cri supplice.
6
Au loin l'on aperçois un chameau qui se déplace
rapidement. Un petit voile de poussière dénonce le
tracé de son déplacement. A mainte reprise on lui
fait des signes avec de larges coups de tissu tenu
dans nos bras.
Le nomade se rapproche de nous. Je ne distingue
qu'un habit bleuté, sombre comme un ciel d'orage.
Mon regard ne rencontre que des yeux d'un brin
sombre de vivacité derrière son visage voilé. Il nous
émois par sa fierté, digne d'un structuralisme de sa
personnalisé. Notre stupéfaction et aussi grande que
profonde. Notre guide le salut avec courbette et
politesse en s'exprimant dans la langue des nomades.
Peut être de l'arabe ou du Berbère, je me comprend
un seul mot !
Le nomade nous fait signe de le suivre. Nos
pensées épousent un espoir qui fait briller l'étincelle
de la joie, celle qui retrouve le charme de la confiance.
Nous retrouvons cette même symétrie que nous
avions dans nos cœurs au moment où prit forme le
début de notre aventure.
7
Le guide traduit les explications que nous donne
ce serviteur du désert. Elles vont nous servir pour
retrouver notre route et surtout pour aboutir auprès
de la caravane des chameliers.
De nombreuse tentes forment un grand cercle, le
nomade nous invite pour boire du thé a la menthe
sous sa tente.
Refuser c'est perdre la trace de la piste, c'est aussi
l'humilier en refusant son hospitalité. Cette invitation
ne rencontre le moindre refus et notre Peugeot 305
blanche reprend du chemin en suivant le chamelier.
Nous plaidons une politesse divine a son égard
pour la sympathie que ces gens nous accordent. Ils
nous guident vers le milieu de la tente ou des verres
transparents de couleurs sont placé sur une petite
table sculpté dans du bois d'olivier. Des figues et des
dates ainsi que des citrons et oranges sont a notre
disposition sur un plateau d'argent aux multiples
figure géométriques martelé. Des signes de mains
nous guident vers nos places.
8
L'on s’accroupie en forme de cercle sur d'épais
tapies autour de la table. Dans un coin une jeune
femme s'occupe de la marmite qui boue sur du feu .
Elle remplie une carafe d'orée de sucre et de mente.
Le nomade sort une dague pointu qu'il pique dans
le plateau pour y sortir une figues. Il me la tend avec
politesse et compliment. Je me sert d’une date que
je goutte avec respect. Je trouve dans ce fruit un
délice sucrée.
J'oublie ma soif ainsi que ma peur. Dans un rituel,
propre a leur coutume, la jeune femme nous verse
du thé. Elle le fait d'une certaine manière très
élégante. Dans nos verres , où est placé un morceau
de sucre bien gros , elle verse le thé bouillant d'une
hauteur impressionnante sans verser a coté.
Je me demande comment peut elle connaître le
volume d'eau sans faire déborder. ?
Je sort un paquet de cigarettes, des gitanes de
France, que je présente au nomade. Son regard se
comble d'émerveillement. Il en sort une cigarette
9
qu'il place entre ses lèvres brillant de sucreries.
Notre guide se sert aussi dans le paquet , après
mon tour je propose au nomade d'allumer en
premier sa Gitane. Notre fumée s'engage dans une
ouverture que les rayons du soleil traversent. Ce petit
geste me comble de politesse, ce qu' apprécie le
nomade.
Notre fillette se trouve sur les bras d'une autre
femme, qui la berce tendrement. Le nomade caresse
inlassablement les cheveux dorée de notre enfant.
Je tend le paquet de Gitanes au nomade en lui
faisant comprendre qu'il peut garder le paquet. Je ne
rencontre de refus.
Il ordonne a une femme d'égorger un mouton pour
nous inviter au repas. Ceci est un grand compliment
chez les Touareg d'être invité a leur repas. Pour nous
cela devient un compliment a complication pour notre
déplacement . Nous ne pouvons accepter une si
grande offrande et le faisons comprendre au touareg,
par l'intermédiaire du guide, que dans notre religion
11
nous ne mangeons pas le même jour la viande
fraîchement tuer.
Le nomade accepte avec peine ma révélation. La
femme qui s'occupe de notre fillette lui donne du lait
de chèvre placé dans son biberon en peau. Notre
guide nous traduit les paroles de cette femme et du
nomade,
( Monsieur , votre fillette possède de jolie yeux
bleu et des cheveux qui ont la couleur de l'or, je suis
prêt à te donner tous ce que je possède pour avoir
un enfant de cette couleur de cheveux et de yeux
bleu. Ma femme ne peut avoir d'enfant, c'est pour
cette raison que je veux vous l'acheter. )
Ce langage là trouble notre comportement, je
ne dénonce nulle impartialité et tente de peser le
poids de mes paroles,
( Ta proposition m'honore car elle est honnête,
je tacherai de lui donner une réponse d'ici quelques
jours .)
Ma femme me regarde d'un air désabusé.
12
Moi , dans mes pensées, j'ai pesé mes mots car il
faut comprendre la situation, nous sommes
dans le désert, seul le savoir de cet homme peut
nous sauver.
L'invitation prend fin et nous les quittons avec de
bons termes .
En reprenant la route, le nomade , sur son
chameau, nous guide vers notre objectif ,la caravane.
Il y a que trois kilomètres du lieu ou nous nous
nous ne faisions que tourner en rond. Le guide nous
explique que toute cette richesse chargée sur les
chameaux est la propriété du nomade et que cette
valeur nous sera attribué ci nous acceptons le
marché.
Le hasard a voulu que nous tournions en rond
dans un cercle fermé depuis un bon moment ?
Comment se fait il que le nomade nous a
rencontré ?
Le désert est vide, vide de tout soupçon ?
13
Ma fille connait cette aventure, souvent elle me
demande de la lui raconter pour me dire,
d'un air tagueuse
( tu vois papa, tu serais riche maintenant si tu
m'aurais échangé contre toute cette richesse de la
caravane de ce nomade du désert )
JJM
La nouvelle est en cour de construction, des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz.
Écrit le 07 01 2019.
A ce jour , 18 05 2019, 111325 lecteurs.
A ce jour, 25 05 2020, 122 014 lecteurs.
A ce jour, 23 03 2021, 146 206 lecteurs.
A ce jour, 15 04 2023, 174 144 lecteurs.
a ce jour, 19 10 2023, 185 521 lecteurs.
A ce jour, 17 09 2024, 201 800 lecteurs.
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