LE MOUROIR DES LÉPREUX A SPINALONGA ( nouvelle n 44 )
Mirage au-dessus des nuages sage n 1
LE MOUROIR DES LÉPREUX
Mon père ma fait part d'un livre de recueille journalier
de mon grands père que je n'ai jamais eut l’occasion de
rencontrer.
L'écriture, en Grecque, raconte son passé . J'apprends
par cette voie, que ma grande mère lépreuses et mon
grand père furent bannie par la société.
Cette maladie fut mis en doute et toute la population
de Crête chassait ses malades sur une île qui n'était
accessible que par bateau.Ils les plaquaient dans la
forteresse de kalidona situé sur l’île de Spinalonga.
suite a la demande de la société de pathologie exotique
fit regrouper, dans des léproseries, les personnes
malades par mesure essentielle de prophylaxie.
Il y avait 400 personnes qui y vivaient. L'ensemble
de cette communautés s'organisait selon des corps de
métiers, comme dans chaque village Crétois.
Très souvent il n'y avait qu'une personne touché par
la maladie dans un couple, par prudence le couple dut
y séjourner .
Les personnes placés n'eurent aucune aide. Le but fut
que ce manque de soutient les anéanti plus rapidement .
Cela n'en fut le cas, au contraire, la statistique sur la
disparition des personnes ne dépassait pas la moyenne
de la mortalité des habitants de Crête ??? Étonnant ?
Je vous résume cette histoire qui n'eut intriqué.
Avec mon voilier je rejoins l’île,
( coordonnée 35° 17' 45'' N, 25 ° 44' 17'' E)
pour tenter de m'inspirer de son passé et surtout de
comprendre comment une population de 400 habitants
" La lèpre, est une maladie infectieuse chronique dut a
une bactérie proche de l'agent responsable de la
tuberculose, elle touche les nerfs périphériques de la
peau ainsi que des muqueuses , des infirmités sévères
marquent le malade. La lèpre est une maladie peu
contagieuse. Longtemps incurable et très mutilante
elle avait fait de nombreuses exclusions sociale. A ce
jour elle est traitable par prophylaxie"
Résumé du livre de mon grand père.
Un lundi de janvier 1920, nous devions quitter notre
prison hôpital de Nikolaos. Ce déplacement se fit dans
un chamboulement total. Il fallait faire vite, car les gens
de la ville nous repoussais malgré que mon entreprise
de bijoux tournait confortablement.
La peur de tomber malade les poussait a nous haire.
Nous ne somme pas pauvre mais l'argent n'achetait pas
femme est contagieuse.
Ils nous ont tout réquisitionné même nos papiers de
famille nos maisons qu'ils ont brulé et les oliviers qu'ils
ont arraché.
Nous croyons en Dieu, certain il nous protègera et
avec La peur au ventre nous acception cette maladie car
d'après l'église, orthodoxe, c'est un signe envoyer de
Dieu, une sorte d'obstacle a franchir.
Pour mon fils ( mon père ) qui avait ses 15 ans, je me
suis arrangé avec mon frère pour qu'il le fait partir dans
un bateau français comme mousse. Certain que la bas
il pourrait se refaire une vie .
L'amour que j'accorde a ma femme n' a pas de limite
je ne l'abandonnerais jamais et décide de l'accompagner
dans la forteresse de Kalidona sur l’île appelé Spinalonga.
Nous débarquons du bateau qui nous eut déposé
devant la forteresse de Kalidona , plusieurs personnes
font partie de notre convois.
La peur nous emportent vers un cite qui jusqu'à présent
fut inconnu pour certains de nous autres mais pour moi,
pécheur durant mes temps libres, il m' arrivait que je
passais par la lorsque je faisais des achats a Elounda .
Cette ile forteresse construite en pierre, ne laissait peut
de place a un seul arbre ni a une haie vivante. Entre les
hauts murs de cette Ile, des ruelles très étroite étaient
ombragé. Quelle chance car le soleil brulait tous la où
toutes les maisons sont en ruine. On vas avoir du pain
sur la planche pour les reconstruire. Notre parfaite
harmonie entre artisan, conjugue un savoir faire qui
se partage sans aucune retenu. L'entre aider est la clé
de la réussite. Le respect de chacun permet de se mettre
en valeur en y plaçant une emprunte qui défini son métier.
Moi ,on m'appela le joaillier, a coté de notre maison il y
a le boulanger ce qui nous permis tous les matins de
sentir une odeur agréable de miche de pain qui enivre
notre maison atelier.
l’île n'est pas bien grande, pour 400 personnes, les
habitations sont petite et de plantation il n'en fut pas
question. Un amoncellement de débrouille fit de nous
autres de bon compagnons.
Quant on quittait Spinalonga en cachette, la nuit, et
que nous retrouvions un village, personne ne parlais de
notre situation, il y allait de notre vie.
Ma bijouterie rapportait gros car j'allais écouler mes
or et de mes diamants sont d'une finesse exemplaire.
Personne ne demande d'où vient toutes cette richesse
qui nous permit d’obtenir de l'huile de chautmoogra
auprès des navires venant de l’étranger. C'est elle
qui nous permettait de soulager les douleurs des
malades.
Notre marchandage est bien rodé et personne vient
nous importuner. La société nous a bien bannis et laissé
pour compte. A nous de chercher une sortie Dieu est
de notre coté, mais pas la société. C'est elle qui nous a
rejeté.
Un curé, au visage défiguré, fait partie de notre
communauté. Il a du mal a saisir de ses mains
déformé un objet quelconque.
Toute la communauté a décidé avec le curé qu'a
notre mort, que nous lorsque nos corps ne sont plus
que des os ; que l'or que nous portons revient a l'église
et comme il n'y a que peu de place dans le cimetière,
nos os retrouveront la fosse commune situé au fond
taillé dans de vulgaire roche.
Je partais souvent, de Spinalonga et ma connaissance
de chaque grotte et recoin, où les poissons vivaient, me
permettaient de ne jamais revenir bredouille.
Notre ambition fut grande et un jour la communauté
décide de faire une nouvelle ouverture, une sorte de
petit port supplémentaire pour que les bateaux arrivent
a accoster facilement.
L'on ne soufflait un mot de la provenance de notre
richesse et de l'arrivé massive de nombreux bateaux
qui marchandaient.
Comment peut on obtenir une valeur aussi riche
sans une aide de la société qui nous a bannis ?
Le hasard fait bien les chose et Dieu eut guidé notre
pas car nous avions trouvé dans une de ces grottes
au alentour, un fabuleux trésor provenait de l'empire
Ottoman, je marque dans mon livre l'emplacement où
se trouve ce trésor. La photo vous la dévoile, elle
dans la quelle une grotte permet de suivre le chemin
jusqu'à l'emplacement du trésors.
Comme tous les notables Crétois nous ont condamné
en nous plaçant sur cette île avec un minimums vitale ,
dans le put de nous faire disparaître , petit a petit . Notre
pouvoir de disposer de cette mystérieuse richesse nous
eut tous sauvé. Malgré que Dieu nous eut envoyer la
maladie, comme obstacle de la vie, il c'est racheté et nous
aussi guidé pour trouver ce bien .
Sur les hauteurs la communauté a construire un hôpital,
il a permis de nous soigner. Tous les habitants condamné
ont vécu normalement.
Cette attention a fait réagir la société qui par la suite ,
nous ont placé dans des hôpitaux des grande ville où ils
nous ont soigner.
Le dernier habitant , le prêtre voulait
terminer sa vie sur l’île comme Hermite , il
y vécu jusqu'en 1962.
JJM
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LE MOUROIR DES LÉPREUX
Mon père ma fait part d'un livre de recueille journalier
de mon grands père que je n'ai jamais eut l’occasion de
rencontrer.
L'écriture, en Grecque, raconte son passé . J'apprends
par cette voie, que ma grande mère lépreuses et mon
grand père furent bannie par la société.
Cette maladie fut mis en doute et toute la population
de Crête chassait ses malades sur une île qui n'était
accessible que par bateau.Ils les plaquaient dans la
forteresse de kalidona situé sur l’île de Spinalonga.
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Les exclusions systématique des lépreux en 1909,suite a la demande de la société de pathologie exotique
fit regrouper, dans des léproseries, les personnes
malades par mesure essentielle de prophylaxie.
Il y avait 400 personnes qui y vivaient. L'ensemble
de cette communautés s'organisait selon des corps de
métiers, comme dans chaque village Crétois.
Très souvent il n'y avait qu'une personne touché par
la maladie dans un couple, par prudence le couple dut
y séjourner .
Les personnes placés n'eurent aucune aide. Le but fut
que ce manque de soutient les anéanti plus rapidement .
Cela n'en fut le cas, au contraire, la statistique sur la
disparition des personnes ne dépassait pas la moyenne
de la mortalité des habitants de Crête ??? Étonnant ?
Je vous résume cette histoire qui n'eut intriqué.
Avec mon voilier je rejoins l’île,
( coordonnée 35° 17' 45'' N, 25 ° 44' 17'' E)
pour tenter de m'inspirer de son passé et surtout de
comprendre comment une population de 400 habitants
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eut réussi a y vivre aussi longtemps sur une Ile de 8 ha ?" La lèpre, est une maladie infectieuse chronique dut a
une bactérie proche de l'agent responsable de la
tuberculose, elle touche les nerfs périphériques de la
peau ainsi que des muqueuses , des infirmités sévères
marquent le malade. La lèpre est une maladie peu
contagieuse. Longtemps incurable et très mutilante
elle avait fait de nombreuses exclusions sociale. A ce
jour elle est traitable par prophylaxie"
Résumé du livre de mon grand père.
Un lundi de janvier 1920, nous devions quitter notre
prison hôpital de Nikolaos. Ce déplacement se fit dans
un chamboulement total. Il fallait faire vite, car les gens
de la ville nous repoussais malgré que mon entreprise
de bijoux tournait confortablement.
La peur de tomber malade les poussait a nous haire.
Nous ne somme pas pauvre mais l'argent n'achetait pas
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la peur des gens qui prétendaient que la lèpre de mafemme est contagieuse.
Ils nous ont tout réquisitionné même nos papiers de
famille nos maisons qu'ils ont brulé et les oliviers qu'ils
ont arraché.
Nous croyons en Dieu, certain il nous protègera et
avec La peur au ventre nous acception cette maladie car
d'après l'église, orthodoxe, c'est un signe envoyer de
Dieu, une sorte d'obstacle a franchir.
Pour mon fils ( mon père ) qui avait ses 15 ans, je me
suis arrangé avec mon frère pour qu'il le fait partir dans
un bateau français comme mousse. Certain que la bas
il pourrait se refaire une vie .
L'amour que j'accorde a ma femme n' a pas de limite
je ne l'abandonnerais jamais et décide de l'accompagner
dans la forteresse de Kalidona sur l’île appelé Spinalonga.
Nous débarquons du bateau qui nous eut déposé
devant la forteresse de Kalidona , plusieurs personnes
font partie de notre convois.
5
La peur nous emportent vers un cite qui jusqu'à présent
fut inconnu pour certains de nous autres mais pour moi,
pécheur durant mes temps libres, il m' arrivait que je
passais par la lorsque je faisais des achats a Elounda .
Cette ile forteresse construite en pierre, ne laissait peut
de place a un seul arbre ni a une haie vivante. Entre les
hauts murs de cette Ile, des ruelles très étroite étaient
ombragé. Quelle chance car le soleil brulait tous la où
6
ses rayons passaient. Nous arrivons dans un fort oùtoutes les maisons sont en ruine. On vas avoir du pain
sur la planche pour les reconstruire. Notre parfaite
harmonie entre artisan, conjugue un savoir faire qui
se partage sans aucune retenu. L'entre aider est la clé
de la réussite. Le respect de chacun permet de se mettre
en valeur en y plaçant une emprunte qui défini son métier.
Moi ,on m'appela le joaillier, a coté de notre maison il y
a le boulanger ce qui nous permis tous les matins de
sentir une odeur agréable de miche de pain qui enivre
notre maison atelier.
l’île n'est pas bien grande, pour 400 personnes, les
habitations sont petite et de plantation il n'en fut pas
question. Un amoncellement de débrouille fit de nous
autres de bon compagnons.
Quant on quittait Spinalonga en cachette, la nuit, et
que nous retrouvions un village, personne ne parlais de
notre situation, il y allait de notre vie.
Ma bijouterie rapportait gros car j'allais écouler mes
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créations dans les ports environnant. La qualité de monor et de mes diamants sont d'une finesse exemplaire.
Personne ne demande d'où vient toutes cette richesse
qui nous permit d’obtenir de l'huile de chautmoogra
auprès des navires venant de l’étranger. C'est elle
qui nous permettait de soulager les douleurs des
malades.
Notre marchandage est bien rodé et personne vient
nous importuner. La société nous a bien bannis et laissé
pour compte. A nous de chercher une sortie Dieu est
de notre coté, mais pas la société. C'est elle qui nous a
rejeté.
Un curé, au visage défiguré, fait partie de notre
communauté. Il a du mal a saisir de ses mains
déformé un objet quelconque.
Toute la communauté a décidé avec le curé qu'a
notre mort, que nous lorsque nos corps ne sont plus
que des os ; que l'or que nous portons revient a l'église
et comme il n'y a que peu de place dans le cimetière,
nos os retrouveront la fosse commune situé au fond
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fond a droite des 40 caveaux que recouvres des plaquestaillé dans de vulgaire roche.
Je partais souvent, de Spinalonga et ma connaissance
de chaque grotte et recoin, où les poissons vivaient, me
permettaient de ne jamais revenir bredouille.
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Dans les collines des alentours et sur les falaises
escarpé des chèvres ( KriKri ) sauvage permettaient de
chasser pour rapporter de la viande fraîche.
Notre ambition fut grande et un jour la communauté
décide de faire une nouvelle ouverture, une sorte de
petit port supplémentaire pour que les bateaux arrivent
a accoster facilement.
L'on ne soufflait un mot de la provenance de notre
richesse et de l'arrivé massive de nombreux bateaux
qui marchandaient.
Comment peut on obtenir une valeur aussi riche
sans une aide de la société qui nous a bannis ?
Le hasard fait bien les chose et Dieu eut guidé notre
pas car nous avions trouvé dans une de ces grottes
au alentour, un fabuleux trésor provenait de l'empire
Ottoman, je marque dans mon livre l'emplacement où
se trouve ce trésor. La photo vous la dévoile, elle
10
ressemble a une pyramide vieille de plus de 7000 ansdans la quelle une grotte permet de suivre le chemin
jusqu'à l'emplacement du trésors.
Comme tous les notables Crétois nous ont condamné
en nous plaçant sur cette île avec un minimums vitale ,
dans le put de nous faire disparaître , petit a petit . Notre
pouvoir de disposer de cette mystérieuse richesse nous
eut tous sauvé. Malgré que Dieu nous eut envoyer la
maladie, comme obstacle de la vie, il c'est racheté et nous
aussi guidé pour trouver ce bien .
Sur les hauteurs la communauté a construire un hôpital,
il a permis de nous soigner. Tous les habitants condamné
ont vécu normalement.
Cette attention a fait réagir la société qui par la suite ,
nous ont placé dans des hôpitaux des grande ville où ils
nous ont soigner.
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Le dernier habitant , le prêtre voulait
terminer sa vie sur l’île comme Hermite , il
y vécu jusqu'en 1962.
JJM
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