UNE CROIX ( nouvelle 43 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
1
UNE CROIX
Je suis séduis par une croix taillé
dans la masse d'un grès provenant du massif
voisin, les Vosges.
Chaque croix est dédié a un souvenir , un
secret qu'elle cache comme la valeur de son
grand âge. J'aimerai connaître son histoire
et la ma curiosité engouffre des nuages de
probabilités. Je suis un nouveau venu dans
se petit village niché dans une contrée
d'Alsace que l'ondulation des collines
domine. Un lierre sauvage eut prit racine
a sa base en l'entourant majestueusement.
Ses feuilles d'un vers éclatant bordé d'un
fin liserer gris domine son habile
majestueusement.
2
Je constate que des éclats de mitrailles
l'eurent marquées. Voila un message qui
signe une traversé venu d'époque
guerrière.
( Drame de toute sorte, marques tu ton acte
jusqu’à ébrécher les symboles de pierre ? )
Mais, il n'y a pas que les traces de projectiles
qui l'émiettent, les érosions des vents de pluie
ont laissé leurs signatures.
Ma maison , d'où j'observe ce calvaire, se
trouve a environ vingt mètres. Journellement
je tente de percer le mystère de sa présence.
J'accorde pour cette croix, une valeur
incontestable .
Son emplacement se situe , au centre d'un
paysage verdoyant et d'un croisement de
routes. L'importance de son emplacement
au croisement du carrefour des trois chemins
évoque une valeur fondamentale. Ma
curiosité n'a pas de répits.
3
De temps a autre une fillette apporte un
vase en verre dans lequel un bouquet de
fleurs des champs y trempent leurs tiges. Je
pense que c'est un rituelle mais, pour quelle
raison ? Il n'y a pas que les vieux troncs qui
gardent le secret d'un témoignage ?
Je cherche par engranger le savoir auprès
d'une pieuse personne généreuse en histoire.
Je me hâte de questionner la voisine, une
personne au grand âge. Je lui explique ma
fascination et mon hypnotise devant le rituelle
des villageois pour la croix ; en les observant
j'eus tissé une trame imaginaire d'un conte
merveilleux. C'est avec ce langage que
j'émerveille cette dame au grand âge.
Les réponses pour mon questionnaire ne
tardent, au contraire elle se fait un plaisir de
me raconter l'importance de sa présence.
Ses explications émiettent les moindres
détailles elle les décrit avec précision ; mes
4
recherches sont fortifié par cet enthousiasme.
Je viens de trouver la clé de mes lacunes.
Son cristallin humide brillent au fond de
ses yeux comme le coeur d'un cristal de
baccarat. La peau de son visage est fléchi par
son grand âge , des rides profond dessinent
des sillons. Quant a sa voix, douce et sereine,
elle encourage mon écoute. La dame sent
revivre une partie de sa jeunesse qu'elle
exprime fièrement. Pour moi c'est une offrante
je reste sans parole pour l'écouter.
- A l'emplacement de cette croix, il y avait
une habitation composé d'une famille , père
et mère, grand père et grand mère et de
deux seul garçons des jumeaux.
Cette croix fut placé la , en 1811 pour garder
en mémoire le témoignage d'une ancienne
famille du village, lorsque notre région devint
une province de France. C'est ma maman
qui me l'eut raconté. L'histoire commence le
5
jour où Napoléon devient le maître de notre
région par des actions digne de simple jeux
de mots que les notable de Mulhouse ont
signé. Cette virgule de non violence n'eut de
référence aussi terme que cela puisse paraître
car, en acceptant la défaite, les habitants des
villages comme ceux des villes ne sont plus
considéré comme confédération de la Suisse.
Ils sont obligé de donner une partie de leur
bien pour l'armée du conquérant, Napoléon.
Ce n'est pas du pillage, mais belle et bien
une sorte de don obligatoire en forme
d’impôt pour la nouvelle nation du futur
empereur. Trois quart de notre élevage de
poules tombent sur l'affluence de la marmite
de sa troupe. Dans toutes les fermes les
chevaux de labour sont consigné pour tirer
l’artillerie et les autres vont servir aux
hussards. Cette obligeance ne consiste
qu'a augmenter le volume de son effectif .
6
Il faut de nouvelles recrutes pour que
Napoléon puisse poursuivre ses intentions
guerrière. Très peu de volontaire se
bousculent a l'engagement. Avec une
formule sage et contradictoire pour certaines
pensées, elle obligea les jeunes gens de
notre commune de tirer a la courte paille !
Pour cela tous les jeunes du village sont
rassemble sur la place de la mairie pour
pouvoir faire le tris. Comme il y a très peu
de courte paille la chance de rester dans le
village est mince. Les jumeaux ont tiré une
longue paille et sans tarder sont engagé dans
des hussards. Un malheur vient frapper la
famille, leur seul enfants sont désigner.
Monsieur le maire leur prédit une avenir
certain sur leur retour car Napoléon gagne
avec félicité, la preuve, il a conquis La
région Mulhousienne avec sagesse.
Malgré cette remarque aucune joie n'eut
7
virevolte dans leur cœur ni dans celui de
leur voisine, Catherine qui, elle aussi
récolta une triste émotion. Je dénonce
cette remarque car ensemble qu'ils
conspiraient tous les trois leurs jeux
d'enfance jusqu’à leur adolescence.
Au jour du départ des nouveaux soldats,
la tristesse se lissait sur le visage de
Catherine le reflet dans ses larmes
humilient son visage. Elle exprime son
chagrin a haute voix sous les voûtes de
l'église. Seul témoin sont la statue de la
vierge et d'autres saint taillé dans du bois
de noyer. Elle prête un sermon qu’elle eut
faite avec les deux frères c'est que le
plus gradé des deux , au retour de leur
compagne , pourra la demander en mariage.
Les mois se conjuguent avec beaucoup de
tristesse et l’impatience se lamente de
sagesse dut a la promesse faite de
8
Catherine.
Le fil du temps fait éloigner les gens,
petit a petit plus personne ne tente de
discuter avec Catherine. Ses pensées sont
morose, plus de nouvelle des jumeaux n'y
d'autres jeune soldats du village partie pour
la campagne de Russie. Les villageois
attendent avec espoir que les promesses
de l'empereur leur rapportent les enfants
du village.
Catherine a perdu de sa finesse, de sa
jeunesse, et son sourire gracieux. Ses
qualités de bonne cuisinière ont un savoir
faire digne d'une marmite faite pour un
prince, elle prétendit ceci,
( - Je me perfectionne pour le retour de la
campagne de Russie, ils vont avoir faim
nos soldats. )
Les mois enlacent les années emportant
l'âge a grand pas. Deux années se sont
9
écoulé et Catherine blâme l'injustice sur leur
absence. Les parents des jumeaux prient
aussi avec espoirs.
Un jour , l'appariteur du village rassemble
toutes les familles sur la place de la mairie
au son de sa clochette et de son clairon.
Le tocsin vibre a toute volé, il traverse les
forets et pénètre dans les vallées. Le maire
du village porte ses habits tricolore de parade.
Ce rassemblement ne prédit rien de
réconfortant, mais, la curiosité des villageois
est telle qu'aucune absence se remarque.
Sur le visage du maire se dessine des trais
peu réconfortant. Il déroule le parchemin au
sigle de l'empereur et du régiment des
hussards. Le maire du village affine sa voix,
un silence respectueux laisse écouter les
appellations consternant les familles suivante ,
(- Pour la famille Meyer, le Hussard Pierre
nous a quitté en Russie,
10
Pour la famille Linier, le Hussard Charles
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Gros, le Hussard Marc
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Ruaf, le Hussard Jean nous
a quitté en Russie,
Pour la famille Muller, le Hussard Patrice
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Gatz, le Hussard Jacques
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Litz, le Hussard fousi,
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Berger, le Hussard Alfred
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Brame, les frères jumeaux
Serge et Edmond, nous ont quitté en Russie.)
Le visage de Catherine blanchi comme
celle d'une statue en marbre blanc. Son
coeur bat la chamade , elle perd son équilibre
et se retrouve allongé sur la terre battu. Les
11
parents Brame tentent de la relever. Dans
la foule des pleures dévoilent la profonde
douleur de toutes les personnes présente.
Catherine ne veut plus entendre tous ces
sanglots qui sonnent celui la tragédie. Tous
devient sombre, injuste et cruelle, aussi
noir que la venue du soir.
Les journées qui suivaient Catherine ne
mangeait plus un brin , elle garde dans sa
chambre qu'une cruche d'eau d'où elle boit
quelques gorgés. Les rayons du soleil
réchauffe la mansarde , l'air y devient
irrespirable. Elle reste couché sur son lit ou
ses pensées la guide vers une profonde
amertume . La belle Catherine n'est plus
qu'une masse inerte en route vers le chemin
de l'après vie, l'ivresse de son tracas la
guide vers cette voie. Une voix de mère
vient troubler l’enlisement de Catherine,
(- Catherine, Catherine, vient regarde ce
12
qu'ont laissé faire sculpter les parents
Brame pour la mémoire de leurs enfants !)
Catherine a du mal de capter tous les
sons de la voix de sa mère et de ses sœurs
qui dissent avec gentillesse cette phrase,
(- Catherine, la vie est une souffrance et
un obstacle a surpasser, ton laissé allé
n'est pas digne de la promesse que tu eu
faite aux frères Brame.)
Catherine trouve la force qui lui redonne
courage, elle admet que sa route
s' encombre d'obstacle et qu'elle sera
prête et forte pour les surmonter tous.
Deux semaines plus tard elle prête sermon
devant cette croix de quitter cette région de
l'Alsace pour s'implanter au Canada.
De nombreuses années s'écoulent sans que
l'on puisse éviter la vieillesse qui eut entraîné
les souvenirs de notre jeunesse. Une journée
13
pas comme les autres, une belle Dame , portant
de somptueux vêtements brodés d'or et de
dentelles se présente au maire du village. Son
intention consiste de revenir dans son pays
natale et de pouvoir s'y installer. Aucun des
villageois n'eut gardé le souvenir de cette
grande Dame, Catherine.
Dans nos pensées, l'oubli détient le signe de
paresse que certains d'entre nous germe.
Avec l'âge on peut oublier beaucoup de chose
même le mal que certains nous ont fait.
Catherine n'eut pas oublier le passé ni la
promesse qu'elle eut faite devant cette croix.
Elle a fait construire une habitation en face
de cette croix. )
La voisine se tut un instant, je le regarde
d'un air remplit d'une satisfaction souveraine
car cette histoire m'eut bercé . Elle reprend
son histoire pour me dire,
14
( - Ma grand mère lui eut vendu une surface
de terrain suffisamment grand pour se faire
construire une jolie petite maison. C'est
votre habitation maintenant, elle vous
permet de regarder avec honneur et
hommage cette vieille croix en gardant
dans votre cœur son histoire fait de malheur . )
JJM
1
UNE CROIX
Je suis séduis par une croix taillé
dans la masse d'un grès provenant du massif
voisin, les Vosges.
Chaque croix est dédié a un souvenir , un
secret qu'elle cache comme la valeur de son
grand âge. J'aimerai connaître son histoire
et la ma curiosité engouffre des nuages de
probabilités. Je suis un nouveau venu dans
se petit village niché dans une contrée
d'Alsace que l'ondulation des collines
domine. Un lierre sauvage eut prit racine
a sa base en l'entourant majestueusement.
Ses feuilles d'un vers éclatant bordé d'un
fin liserer gris domine son habile
majestueusement.
2
Je constate que des éclats de mitrailles
l'eurent marquées. Voila un message qui
signe une traversé venu d'époque
guerrière.
( Drame de toute sorte, marques tu ton acte
jusqu’à ébrécher les symboles de pierre ? )
Mais, il n'y a pas que les traces de projectiles
qui l'émiettent, les érosions des vents de pluie
ont laissé leurs signatures.
Ma maison , d'où j'observe ce calvaire, se
trouve a environ vingt mètres. Journellement
je tente de percer le mystère de sa présence.
J'accorde pour cette croix, une valeur
incontestable .
Son emplacement se situe , au centre d'un
paysage verdoyant et d'un croisement de
routes. L'importance de son emplacement
au croisement du carrefour des trois chemins
évoque une valeur fondamentale. Ma
curiosité n'a pas de répits.
3
De temps a autre une fillette apporte un
vase en verre dans lequel un bouquet de
fleurs des champs y trempent leurs tiges. Je
pense que c'est un rituelle mais, pour quelle
raison ? Il n'y a pas que les vieux troncs qui
gardent le secret d'un témoignage ?
Je cherche par engranger le savoir auprès
d'une pieuse personne généreuse en histoire.
Je me hâte de questionner la voisine, une
personne au grand âge. Je lui explique ma
fascination et mon hypnotise devant le rituelle
des villageois pour la croix ; en les observant
j'eus tissé une trame imaginaire d'un conte
merveilleux. C'est avec ce langage que
j'émerveille cette dame au grand âge.
Les réponses pour mon questionnaire ne
tardent, au contraire elle se fait un plaisir de
me raconter l'importance de sa présence.
Ses explications émiettent les moindres
détailles elle les décrit avec précision ; mes
4
recherches sont fortifié par cet enthousiasme.
Je viens de trouver la clé de mes lacunes.
Son cristallin humide brillent au fond de
ses yeux comme le coeur d'un cristal de
baccarat. La peau de son visage est fléchi par
son grand âge , des rides profond dessinent
des sillons. Quant a sa voix, douce et sereine,
elle encourage mon écoute. La dame sent
revivre une partie de sa jeunesse qu'elle
exprime fièrement. Pour moi c'est une offrante
je reste sans parole pour l'écouter.
- A l'emplacement de cette croix, il y avait
une habitation composé d'une famille , père
et mère, grand père et grand mère et de
deux seul garçons des jumeaux.
Cette croix fut placé la , en 1811 pour garder
en mémoire le témoignage d'une ancienne
famille du village, lorsque notre région devint
une province de France. C'est ma maman
qui me l'eut raconté. L'histoire commence le
5
jour où Napoléon devient le maître de notre
région par des actions digne de simple jeux
de mots que les notable de Mulhouse ont
signé. Cette virgule de non violence n'eut de
référence aussi terme que cela puisse paraître
car, en acceptant la défaite, les habitants des
villages comme ceux des villes ne sont plus
considéré comme confédération de la Suisse.
Ils sont obligé de donner une partie de leur
bien pour l'armée du conquérant, Napoléon.
Ce n'est pas du pillage, mais belle et bien
une sorte de don obligatoire en forme
d’impôt pour la nouvelle nation du futur
empereur. Trois quart de notre élevage de
poules tombent sur l'affluence de la marmite
de sa troupe. Dans toutes les fermes les
chevaux de labour sont consigné pour tirer
l’artillerie et les autres vont servir aux
hussards. Cette obligeance ne consiste
qu'a augmenter le volume de son effectif .
6
Il faut de nouvelles recrutes pour que
Napoléon puisse poursuivre ses intentions
guerrière. Très peu de volontaire se
bousculent a l'engagement. Avec une
formule sage et contradictoire pour certaines
pensées, elle obligea les jeunes gens de
notre commune de tirer a la courte paille !
Pour cela tous les jeunes du village sont
rassemble sur la place de la mairie pour
pouvoir faire le tris. Comme il y a très peu
de courte paille la chance de rester dans le
village est mince. Les jumeaux ont tiré une
longue paille et sans tarder sont engagé dans
des hussards. Un malheur vient frapper la
famille, leur seul enfants sont désigner.
Monsieur le maire leur prédit une avenir
certain sur leur retour car Napoléon gagne
avec félicité, la preuve, il a conquis La
région Mulhousienne avec sagesse.
Malgré cette remarque aucune joie n'eut
7
virevolte dans leur cœur ni dans celui de
leur voisine, Catherine qui, elle aussi
récolta une triste émotion. Je dénonce
cette remarque car ensemble qu'ils
conspiraient tous les trois leurs jeux
d'enfance jusqu’à leur adolescence.
Au jour du départ des nouveaux soldats,
la tristesse se lissait sur le visage de
Catherine le reflet dans ses larmes
humilient son visage. Elle exprime son
chagrin a haute voix sous les voûtes de
l'église. Seul témoin sont la statue de la
vierge et d'autres saint taillé dans du bois
de noyer. Elle prête un sermon qu’elle eut
faite avec les deux frères c'est que le
plus gradé des deux , au retour de leur
compagne , pourra la demander en mariage.
Les mois se conjuguent avec beaucoup de
tristesse et l’impatience se lamente de
sagesse dut a la promesse faite de
8
Catherine.
Le fil du temps fait éloigner les gens,
petit a petit plus personne ne tente de
discuter avec Catherine. Ses pensées sont
morose, plus de nouvelle des jumeaux n'y
d'autres jeune soldats du village partie pour
la campagne de Russie. Les villageois
attendent avec espoir que les promesses
de l'empereur leur rapportent les enfants
du village.
Catherine a perdu de sa finesse, de sa
jeunesse, et son sourire gracieux. Ses
qualités de bonne cuisinière ont un savoir
faire digne d'une marmite faite pour un
prince, elle prétendit ceci,
( - Je me perfectionne pour le retour de la
campagne de Russie, ils vont avoir faim
nos soldats. )
Les mois enlacent les années emportant
l'âge a grand pas. Deux années se sont
9
écoulé et Catherine blâme l'injustice sur leur
absence. Les parents des jumeaux prient
aussi avec espoirs.
Un jour , l'appariteur du village rassemble
toutes les familles sur la place de la mairie
au son de sa clochette et de son clairon.
Le tocsin vibre a toute volé, il traverse les
forets et pénètre dans les vallées. Le maire
du village porte ses habits tricolore de parade.
Ce rassemblement ne prédit rien de
réconfortant, mais, la curiosité des villageois
est telle qu'aucune absence se remarque.
Sur le visage du maire se dessine des trais
peu réconfortant. Il déroule le parchemin au
sigle de l'empereur et du régiment des
hussards. Le maire du village affine sa voix,
un silence respectueux laisse écouter les
appellations consternant les familles suivante ,
(- Pour la famille Meyer, le Hussard Pierre
nous a quitté en Russie,
10
Pour la famille Linier, le Hussard Charles
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Gros, le Hussard Marc
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Ruaf, le Hussard Jean nous
a quitté en Russie,
Pour la famille Muller, le Hussard Patrice
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Gatz, le Hussard Jacques
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Litz, le Hussard fousi,
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Berger, le Hussard Alfred
nous a quitté en Russie,
Pour la famille Brame, les frères jumeaux
Serge et Edmond, nous ont quitté en Russie.)
Le visage de Catherine blanchi comme
celle d'une statue en marbre blanc. Son
coeur bat la chamade , elle perd son équilibre
et se retrouve allongé sur la terre battu. Les
11
parents Brame tentent de la relever. Dans
la foule des pleures dévoilent la profonde
douleur de toutes les personnes présente.
Catherine ne veut plus entendre tous ces
sanglots qui sonnent celui la tragédie. Tous
devient sombre, injuste et cruelle, aussi
noir que la venue du soir.
Les journées qui suivaient Catherine ne
mangeait plus un brin , elle garde dans sa
chambre qu'une cruche d'eau d'où elle boit
quelques gorgés. Les rayons du soleil
réchauffe la mansarde , l'air y devient
irrespirable. Elle reste couché sur son lit ou
ses pensées la guide vers une profonde
amertume . La belle Catherine n'est plus
qu'une masse inerte en route vers le chemin
de l'après vie, l'ivresse de son tracas la
guide vers cette voie. Une voix de mère
vient troubler l’enlisement de Catherine,
(- Catherine, Catherine, vient regarde ce
12
qu'ont laissé faire sculpter les parents
Brame pour la mémoire de leurs enfants !)
Catherine a du mal de capter tous les
sons de la voix de sa mère et de ses sœurs
qui dissent avec gentillesse cette phrase,
(- Catherine, la vie est une souffrance et
un obstacle a surpasser, ton laissé allé
n'est pas digne de la promesse que tu eu
faite aux frères Brame.)
Catherine trouve la force qui lui redonne
courage, elle admet que sa route
s' encombre d'obstacle et qu'elle sera
prête et forte pour les surmonter tous.
Deux semaines plus tard elle prête sermon
devant cette croix de quitter cette région de
l'Alsace pour s'implanter au Canada.
De nombreuses années s'écoulent sans que
l'on puisse éviter la vieillesse qui eut entraîné
les souvenirs de notre jeunesse. Une journée
13
pas comme les autres, une belle Dame , portant
de somptueux vêtements brodés d'or et de
dentelles se présente au maire du village. Son
intention consiste de revenir dans son pays
natale et de pouvoir s'y installer. Aucun des
villageois n'eut gardé le souvenir de cette
grande Dame, Catherine.
Dans nos pensées, l'oubli détient le signe de
paresse que certains d'entre nous germe.
Avec l'âge on peut oublier beaucoup de chose
même le mal que certains nous ont fait.
Catherine n'eut pas oublier le passé ni la
promesse qu'elle eut faite devant cette croix.
Elle a fait construire une habitation en face
de cette croix. )
La voisine se tut un instant, je le regarde
d'un air remplit d'une satisfaction souveraine
car cette histoire m'eut bercé . Elle reprend
son histoire pour me dire,
14
( - Ma grand mère lui eut vendu une surface
de terrain suffisamment grand pour se faire
construire une jolie petite maison. C'est
votre habitation maintenant, elle vous
permet de regarder avec honneur et
hommage cette vieille croix en gardant
dans votre cœur son histoire fait de malheur . )
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
Ecrit le 11 12 2010 remis a jour le 21 09 2020.
A ce jour , 11 12 2010, 994 lecteurs.
A ce jour , 18, 07 2018, 103 933 lecteurs.
A ce jour , 11 12 2010, 994 lecteurs.
A ce jour , 18, 07 2018, 103 933 lecteurs.
A ce jour, 21 09 2020, 130 527 lecteurs.
A ce jour, 02 09 2024, 201 167 lecteurs.
La nouvelle est en cour de construction
des changement peuvent suivre
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain
amateur.
La nouvelle est en cour de construction
des changement peuvent suivre
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain
amateur.
Commentaires