LE SILENCE D'UNE PEUR ( nouvelle n 50 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
De ce silence, qui andante la nuit, je récolte
celui d'un besoin enlaçant. A ce moment la, ma
vie accueille un calme qui me plonge dans une
onde réconfortante. Cette source de bienfaisance
m'enlace de flatterie enrichissantes pour mon
bien être ; cette man permet de construire un
but dominant.
Je suis l’influence d'une plaisance qui
m’entraîne vers des paradoxes surnaturels où
fécondent des rêves souvent très surprenant.
Mes pensées suivent ces envoûtements qui
produisent des nuées noir chargées de
cauchemars. Je convergent, a ce moment,
certains propos révoltant. Ma joie devient
immorale pour conjuguer des arguments
évoquant.
2
Cette nuit la , dans mon lit , je sens qu'une
petite bise prend naissance ; ce souffle impulsif
réveille autour de moi des bruits importuns. Mon
sommeil perd son confort par l'instabilité de mon
corps qu’imbu des réactions nerveuses. Ma
respiration augmente de rythme, elle moissonne
des tentions endiablées. Mes suppositions me
guident vers des bruits inconnu cultivant des
doutes incertains. Je prête mon attention a
toutes les malfaçons pouvant déstabiliser mes
conclusions.
Les volets ne gardent leur immobilité car, des
petits clapotements émettent des grincements
anormaux ? Une armoire en sapin, vieille de
dizaine d'années, redonne un signe de vie par
le craquement qu'elle produit. Le chat ronronne
sur le lit et, au-dehors, dans la cour du voisin, la
chaîne qui retient le chien de garde, provoque
des bruits métallique du aux fortement sur les
pavées de sa cour. Les maillons tintent un
3
grincement amère ; il me fait penser a un
fantôme enchaîné a un boulet de canon.
Portant , cela fait pas mal de temps que le
sonneur de nuit eut allumé les becs de gaz, j'en
suis certaine, ce ne peut être lui qui émet ces
bruits inconnu ? Je reconnais la régularité de
ses déplacements.
La bise devient plus fraîche et ma transpiration
réveille l'odeur de mon démaquillant. Une valse
de coups de vents redoublent de puissance.
D'un détour incongrue mes faiblesses me
jettent dans l’envoûtement douteuse sur chaque
nouveau bruit.
Ce doit être la faute de l'incompétence de ces
vieilles fenêtres usées ? Une profonde peur envoûte
ma personne . Je devient partisane d'une fâcheuse
compromission. Les racontars de la journée sont
la source de mon instabilité , je pense comprendre ?
Berthe , la doyenne de notre section de femmes
au grand âge, nous eut rapportée des nouvelles
4
décourageantes. Elle nous eut prévenu que dans
notre région, un groupe de mauvais rôdeur
cambriolent que les habitations occupé par des
personnes au grand âge. Leur action ne suit pas
le sens de la bonne parole, mais l'engrenage du
mauvais esprit. Berthe nous eut énuméré
plusieurs maisons qui avaient subit leur visites.
Leur violence ont fait des victimes, pour une
recettes minime. La sécurité de nous autres
vieille personnes possède des lacunes . Notre
manque de savoir attire ces larcins. Nous
somme une cible facile pour cela.
Je me rend compte que ma sécurité est faible.
Mon incertitude totalise un enchevêtrement de
faille pouvant me nuire, j'en suis certaine. Il
faut que je prête une réaction vigilante dans
les journées et surtout les nuits qui vont suivre
jusqu’à ce que j'ai résolu ce problème. Une idée
trotte, elle fertilise ma vigilance et me permettra
de pourchasser la moindre fausse note.
5
Le vent impose sa force, il transforme
certains bruits en indices inquiétants. Je ne suis
plus rassuré et tente de les analyser .
Mon imagination dénonce une multitude de
malfaçons ; le vent augmente son souffle, il
déstabilise tous les objets brutalement et
brillamment. Dans la maison des claquements
irréguliers dénoncent des bruits inconnus. Les
volets claquent et troublent mon comportement
psychologiquement. Ma peau devient froide et
rugueuse, mes muscles ressentent des
tremblements.
Des tuiles glissent sur le toit de la maison, tout
en clapotant, pour terminer leur course dans un
bruit de fracassement céramique. Elles sont
tombé sur les pavées de la cour. Les hautes
branches des arbres crient leur pitié, par une
douleur grinçante. Il s'en suit des craquements.
Des feuilles virevoltent en frappant aux volets
en bois ; certaines, trouvent un passage pour
6
se frotter aux vitres .
Ce vent devient perturbant, il me décourage
profondément. Mon comportement se laisse
entraîner dans une impasse d'incertitude. Je ne
trouve plus mon sommeil du temps passé ; mes
pensées véhiculent des propos digne d'une peur .
J’engendre des zones de confusions réactifs. Je
conjugue un but précis, celui de gérer mon
autodéfense. Pour cela j'empoigne un lourd objet
métallique pour ma défense, sans objection que
j’enchaîne cette réaction. La peur devient le
facteur de mon intention. Je capte l'endroit d'où
provient le danger, là devant la porte d'entrée.
Ces gens la ne peuvent que pénétrer dans la
maison par cette porte la.
Depuis que mon époux m'eut quitté, l'ivresse
de la peur sème de profondes tranché dans mon
cœur blessé, surtout depuis ce matin où les
nouvelles m'ont mise sur un chemin défensif. Ce
que la voisine eut divulgué vient de m’envoûter
7
profondément. Mon comportement engrange ses
remarques avec une attention me donnant une
force capable de surprendre n'importe qui. Ma
faiblesse possède une arme maîtresse, le calibre
de mon mari qui se trouve dans la commode sur
mon passage ; maintenant pas de toute je suis forte
plus que tout. Une confiance me redonne des
forces je suis capable de les impressionner.
Tous les bruits retombent dans l'ignorance ; le
silence reprend son importance et le sommeil
m'appelle au repos. Je baille mais garde mon
emplacement .
Du temps s'est égaré lorsque, brutalement,
l’aboiement du chien de mes voisins redouble de
puissance. Son alarme m'émotionne plus que tout,
je deviens agressif sur ma défensif. Il devient
impératif de se tenir en éveille car, une personne
tourne autour de ma maison ?
Je redoute de prudence et prête mon écoute au
moindre bruit . Mon inquiétude fragilise mon
8
comportement, je tremble dans mes abîmes de
vieille mère . Je serais constante ci mon enfant
Joseph serais a mes cotés ; il fait ses classes au
service de l'armée.
Cette absence met en valeur le plan de mon
autodéfense. J'enlève la sécurité de
l'automatique, l'arme, en le gardant fortement
dans ma main droite avec comme support
complémentaire celui de ma main gauche.
Je garde mon sang froid , quant soudain, la
poignée de la porte d'entrée bouge.
Je me ressaisi de plus belle; dans mes veines
coule un sang bouillonnant. Je me rapproche de
la porte dans un silence total.
Une puissante main brutal pousse sur la serrure
de la porte en bois de chêne. Une forme robuste
se distingue derrière la partie vitré de la porte. Je
pointe mon arme dans cette direction. Je suis
prête pour faire feu.
Cet individu ne se gène en rien, il va a l'encontre
9
de son destin. Dans mes pensées trottent des
présomptions qui l'implorent de retourner sur ses
pas car, la mort plane sur lui. Je suis consciente
de ma préméditation et implore Dieu pour que
cette personne passe son chemin.
Mon index de la main droite se rapproche en
souplesse de la gâchette. Une nouvelle tentative
de l'individu provoque un bruit roc contre la
porte d'entré. Ma peur étouffe mes précédentes
revendications. Je pense que ce sont ses épaules
qui forcent sur la porte qui ne faiblit pas.
Cette nouvelle tentative fait virevolter des
sentiments sans remord, je me sent prête ; une
nouvelle pression sur la porte envoûte ma peur
et mes réactions obligent mon index d’appuyer
fortement sur la gâchette. Des puissant coups
de feux jaillissent de mon arme , dans un
vacarme ahurissant ; les vitres se brisent et des
impactes se figent dans la porte. Un nuage de
poudre brûlé rende les marches de l’escalier
10
invisible, malgré que je vient de mettre en
fonction les lumières.
De ma peau je sens qu'une sueur froide me
soulage inconsciemment. Une fierté guide mes
pas vers la cible où un corps gît la, sans
mouvement devant la porte d'entrée.
La lumière s’éteint a nouveau, j'appuie sur la
remise en route de la minuterie. Je distingue
enfin le corps ensanglanté de la victime. Mon
émotion ne tente aucune autre action, je suis
comme hypnotisé par cette criminalité. Tout le
voisinage accoure , ils sont armé pour venir a
mon secoure. Leur utilité n'a plus raison d’être
car l'agresseur n'est plus qu'une victime inerte.
Devant leurs yeux je pense les épater, vu que
mon sang froid vient de me sauver.
Suite a cette réflexion je me met a trembler
de plus belle car, je me suis rendu compte de
l'effet que vient de provoquer mon geste criminel.
Je suis étourdie par les puissants bruits des
11
coups de feux ainsi que de l'odeur de la fumé de
la poudre .
La victime m'apporte ainsi une part de mon
incompréhension, je commence par regretter
mon geste. Cette masse d'homme sans vie, qui
gît la, dans une mare de sang ne méritait pas
cela.
Mes regrets font part de leurs allusions ?
Berthe se trouve avec toute cette foule de gens
et cri a haute voix ,
- Mais Carmen, c'es ton fils que tu viens
de tuer !!!!
Chaque crime devient une vieille image que
l'on retourne comme étant le fait d'un
mauvais présage.
A ce jour , 02 05 2013 , 61108 lecteurs.
A ce jour, 24 07 2018, 104 035 lecteurs.
1
LE SILENCE D'UNE PEURDe ce silence, qui andante la nuit, je récolte
celui d'un besoin enlaçant. A ce moment la, ma
vie accueille un calme qui me plonge dans une
onde réconfortante. Cette source de bienfaisance
m'enlace de flatterie enrichissantes pour mon
bien être ; cette man permet de construire un
but dominant.
Je suis l’influence d'une plaisance qui
m’entraîne vers des paradoxes surnaturels où
fécondent des rêves souvent très surprenant.
Mes pensées suivent ces envoûtements qui
produisent des nuées noir chargées de
cauchemars. Je convergent, a ce moment,
certains propos révoltant. Ma joie devient
immorale pour conjuguer des arguments
évoquant.
2
Cette nuit la , dans mon lit , je sens qu'une
petite bise prend naissance ; ce souffle impulsif
réveille autour de moi des bruits importuns. Mon
sommeil perd son confort par l'instabilité de mon
corps qu’imbu des réactions nerveuses. Ma
respiration augmente de rythme, elle moissonne
des tentions endiablées. Mes suppositions me
guident vers des bruits inconnu cultivant des
doutes incertains. Je prête mon attention a
toutes les malfaçons pouvant déstabiliser mes
conclusions.
Les volets ne gardent leur immobilité car, des
petits clapotements émettent des grincements
anormaux ? Une armoire en sapin, vieille de
dizaine d'années, redonne un signe de vie par
le craquement qu'elle produit. Le chat ronronne
sur le lit et, au-dehors, dans la cour du voisin, la
chaîne qui retient le chien de garde, provoque
des bruits métallique du aux fortement sur les
pavées de sa cour. Les maillons tintent un
3
grincement amère ; il me fait penser a un
fantôme enchaîné a un boulet de canon.
Portant , cela fait pas mal de temps que le
sonneur de nuit eut allumé les becs de gaz, j'en
suis certaine, ce ne peut être lui qui émet ces
bruits inconnu ? Je reconnais la régularité de
ses déplacements.
La bise devient plus fraîche et ma transpiration
réveille l'odeur de mon démaquillant. Une valse
de coups de vents redoublent de puissance.
D'un détour incongrue mes faiblesses me
jettent dans l’envoûtement douteuse sur chaque
nouveau bruit.
Ce doit être la faute de l'incompétence de ces
vieilles fenêtres usées ? Une profonde peur envoûte
ma personne . Je devient partisane d'une fâcheuse
compromission. Les racontars de la journée sont
la source de mon instabilité , je pense comprendre ?
Berthe , la doyenne de notre section de femmes
au grand âge, nous eut rapportée des nouvelles
4
décourageantes. Elle nous eut prévenu que dans
notre région, un groupe de mauvais rôdeur
cambriolent que les habitations occupé par des
personnes au grand âge. Leur action ne suit pas
le sens de la bonne parole, mais l'engrenage du
mauvais esprit. Berthe nous eut énuméré
plusieurs maisons qui avaient subit leur visites.
Leur violence ont fait des victimes, pour une
recettes minime. La sécurité de nous autres
vieille personnes possède des lacunes . Notre
manque de savoir attire ces larcins. Nous
somme une cible facile pour cela.
Je me rend compte que ma sécurité est faible.
Mon incertitude totalise un enchevêtrement de
faille pouvant me nuire, j'en suis certaine. Il
faut que je prête une réaction vigilante dans
les journées et surtout les nuits qui vont suivre
jusqu’à ce que j'ai résolu ce problème. Une idée
trotte, elle fertilise ma vigilance et me permettra
de pourchasser la moindre fausse note.
5
Le vent impose sa force, il transforme
certains bruits en indices inquiétants. Je ne suis
plus rassuré et tente de les analyser .
Mon imagination dénonce une multitude de
malfaçons ; le vent augmente son souffle, il
déstabilise tous les objets brutalement et
brillamment. Dans la maison des claquements
irréguliers dénoncent des bruits inconnus. Les
volets claquent et troublent mon comportement
psychologiquement. Ma peau devient froide et
rugueuse, mes muscles ressentent des
tremblements.
Des tuiles glissent sur le toit de la maison, tout
en clapotant, pour terminer leur course dans un
bruit de fracassement céramique. Elles sont
tombé sur les pavées de la cour. Les hautes
branches des arbres crient leur pitié, par une
douleur grinçante. Il s'en suit des craquements.
Des feuilles virevoltent en frappant aux volets
en bois ; certaines, trouvent un passage pour
6
se frotter aux vitres .
Ce vent devient perturbant, il me décourage
profondément. Mon comportement se laisse
entraîner dans une impasse d'incertitude. Je ne
trouve plus mon sommeil du temps passé ; mes
pensées véhiculent des propos digne d'une peur .
J’engendre des zones de confusions réactifs. Je
conjugue un but précis, celui de gérer mon
autodéfense. Pour cela j'empoigne un lourd objet
métallique pour ma défense, sans objection que
j’enchaîne cette réaction. La peur devient le
facteur de mon intention. Je capte l'endroit d'où
provient le danger, là devant la porte d'entrée.
Ces gens la ne peuvent que pénétrer dans la
maison par cette porte la.
Depuis que mon époux m'eut quitté, l'ivresse
de la peur sème de profondes tranché dans mon
cœur blessé, surtout depuis ce matin où les
nouvelles m'ont mise sur un chemin défensif. Ce
que la voisine eut divulgué vient de m’envoûter
7
profondément. Mon comportement engrange ses
remarques avec une attention me donnant une
force capable de surprendre n'importe qui. Ma
faiblesse possède une arme maîtresse, le calibre
de mon mari qui se trouve dans la commode sur
mon passage ; maintenant pas de toute je suis forte
plus que tout. Une confiance me redonne des
forces je suis capable de les impressionner.
Tous les bruits retombent dans l'ignorance ; le
silence reprend son importance et le sommeil
m'appelle au repos. Je baille mais garde mon
emplacement .
Du temps s'est égaré lorsque, brutalement,
l’aboiement du chien de mes voisins redouble de
puissance. Son alarme m'émotionne plus que tout,
je deviens agressif sur ma défensif. Il devient
impératif de se tenir en éveille car, une personne
tourne autour de ma maison ?
Je redoute de prudence et prête mon écoute au
moindre bruit . Mon inquiétude fragilise mon
8
comportement, je tremble dans mes abîmes de
vieille mère . Je serais constante ci mon enfant
Joseph serais a mes cotés ; il fait ses classes au
service de l'armée.
Cette absence met en valeur le plan de mon
autodéfense. J'enlève la sécurité de
l'automatique, l'arme, en le gardant fortement
dans ma main droite avec comme support
complémentaire celui de ma main gauche.
Je garde mon sang froid , quant soudain, la
poignée de la porte d'entrée bouge.
Je me ressaisi de plus belle; dans mes veines
coule un sang bouillonnant. Je me rapproche de
la porte dans un silence total.
Une puissante main brutal pousse sur la serrure
de la porte en bois de chêne. Une forme robuste
se distingue derrière la partie vitré de la porte. Je
pointe mon arme dans cette direction. Je suis
prête pour faire feu.
Cet individu ne se gène en rien, il va a l'encontre
9
de son destin. Dans mes pensées trottent des
présomptions qui l'implorent de retourner sur ses
pas car, la mort plane sur lui. Je suis consciente
de ma préméditation et implore Dieu pour que
cette personne passe son chemin.
Mon index de la main droite se rapproche en
souplesse de la gâchette. Une nouvelle tentative
de l'individu provoque un bruit roc contre la
porte d'entré. Ma peur étouffe mes précédentes
revendications. Je pense que ce sont ses épaules
qui forcent sur la porte qui ne faiblit pas.
Cette nouvelle tentative fait virevolter des
sentiments sans remord, je me sent prête ; une
nouvelle pression sur la porte envoûte ma peur
et mes réactions obligent mon index d’appuyer
fortement sur la gâchette. Des puissant coups
de feux jaillissent de mon arme , dans un
vacarme ahurissant ; les vitres se brisent et des
impactes se figent dans la porte. Un nuage de
poudre brûlé rende les marches de l’escalier
10
invisible, malgré que je vient de mettre en
fonction les lumières.
De ma peau je sens qu'une sueur froide me
soulage inconsciemment. Une fierté guide mes
pas vers la cible où un corps gît la, sans
mouvement devant la porte d'entrée.
La lumière s’éteint a nouveau, j'appuie sur la
remise en route de la minuterie. Je distingue
enfin le corps ensanglanté de la victime. Mon
émotion ne tente aucune autre action, je suis
comme hypnotisé par cette criminalité. Tout le
voisinage accoure , ils sont armé pour venir a
mon secoure. Leur utilité n'a plus raison d’être
car l'agresseur n'est plus qu'une victime inerte.
Devant leurs yeux je pense les épater, vu que
mon sang froid vient de me sauver.
Suite a cette réflexion je me met a trembler
de plus belle car, je me suis rendu compte de
l'effet que vient de provoquer mon geste criminel.
Je suis étourdie par les puissants bruits des
11
coups de feux ainsi que de l'odeur de la fumé de
la poudre .
La victime m'apporte ainsi une part de mon
incompréhension, je commence par regretter
mon geste. Cette masse d'homme sans vie, qui
gît la, dans une mare de sang ne méritait pas
cela.
Mes regrets font part de leurs allusions ?
Berthe se trouve avec toute cette foule de gens
et cri a haute voix ,
- Mais Carmen, c'es ton fils que tu viens
de tuer !!!!
Chaque crime devient une vieille image que
l'on retourne comme étant le fait d'un
mauvais présage.
JJM
Ecrit le 05 01 2011, remis a jour le 15 10 2020.
A ce jour , 05 01 2011, 1231 lecteurs.A ce jour , 02 05 2013 , 61108 lecteurs.
A ce jour, 24 07 2018, 104 035 lecteurs.
A ce jour, 15 10 2020, 132 244 lecteurs.
A ce jour, 29 04 2022, 169 318 lecteurs.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz, écrivain amateur.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz, écrivain amateur.
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