LE MATOU ( nouvelle 45 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
LE MATOU
Les vignes se faufilent entre des rocailles
rouge , tout en grimpant vers le sommet , pour
se marier avec la couleur feux de la terre rouge
foncé. L'exactitude rectiligne de cette plantation
ressemble a celui d'une compagnie de
légionnaires. L'uniformité de la plantation
évoque l'amour et l'exactitude que lui porte les
villageois.
2
Au sommet, une frontière de racines, venant
de la foret de châtaigniers, fait barrage a leur
élancé. Ces arbres recouvrent les fondations
de la fortification du vaste château fort servant
a observer une grande partie de la plaine
d'Alsace.
Nous bénéficions d'une présence régulière du
soleil durant toute l'année, ce qui prévisible,
avec grâce, nos plants de vignes. Cet avantage
en éclairage, permet de charpenter la qualité
de ce vin par une volupté digne d'un confort
souverain. De cette récolte naît un breuvage
de pineau noir qui flamme avec valeur la
richesse de notre terroirs.
Notre fierté se couve de récompenses car
les médailles d'or de qualités nous font légions
depuis le passé ce qui harmonie la juste note
de notre bonheur.
Le village vie dans son savoir faire grâce en
lotissant ses assises dans le contrebas de ces
3
collines, la, a l'ombre de nos espaliers d'où
prennent racines nos plants de vignes.
La seconde guerre mondiale marque sa
présence et, notre vie prend le rythme d'un
comportement pas encourageant. Dans le
coeur de notre jeunesse ces amertumes ne
perturbent nullement l’allégresse de nos
sentiments .
Aucun chaste ne peut engendrer la joie de
l'amour car la belle tendresse signe celui
d'une idéologie sans frontière. L'homme et
la femme sont fait pour s'unir ! Hélas, pour
certain cas il y a une interdiction formelle,
ce que prononce la doctrine de l'occupant.
Personne ne peut adresser des paroles de
sentiments amoureux avec un prisonnier
de guerre capturé durant la campagne de
Pologne car il y a outrage. Cette leçon doit
être suivi a la lettre, une condamnation
peut engendrer de fâcheuses représailles.
4
Le déshonneur trouve son engrenage dans
une famille de bourgeois du village. Le charme
sentimentale eut abrogé l'interdiction et cela
jusqu’à atteindre le crime qui évoquera une
prochaine natalité ?
Malheur de malheur, c'est une flagellation
pour toute la famille car elle peut provoquer
la naissance d'une foule de complications. Il
faut trouver le bon terme qui puisse engranger
une dissolution diplomatique.
Venons en a l'histoire proprement dite, la
où la profanation eut lieu, en ces jours il n'est
pas coutume, pour une jeune fille, de rencontrer
des prisonniers de guerres de Pologne.
Notre petite histoire se déroule dans une
boulangerie coquette et bien cité a cette époque.
Le boulanger a trois enfants, il ne lui reste plus
que ses deux filles car le garçon fut incorporé
de force dans les batailles des fronts de l'est.
Trots de travail verbalise la situation , la main
5
d'œuvre masculin se trouve dans les zones de
combats.
Comme le pain devient la man primordiale, a
la portée de chaque famille, il y va de sois que
le travail devient pénible sans une aide.
Le grand four a pain consomme énormément
de bois . Le coeur du boulanger y attache tout
son amour a tel point que sa réputation fait le
tour de la route du vin. Cette reconnaissance
nécessite un énorme volume de bois. Le grand
tas s'amenuise plus rapidement que les lourds
sacs de farine. La charge de travail s’accroît et
une ribambelle de complications freinent
l'évolution de la boulangerie.
La police militaire de l'armée occupante se
trouvent parmi la clientèle. Cette importance
donne au boulanger la valeur d'une bonne
renommé, ce qui lui permet de devenir le maire
de ce village. Ce boulanger possède certains
droits de noblesse , cela lui donne un pouvoir.
6
Il pense profiter de ces acquis et va se
recueillir auprès de la police militaire pour
qu' elle lui accorde une aide humaine. Sa
requête fait vibrer une parodie qui ne tombe
pas dans les oubliettes, la police lui accorde un
aide , un jeune prisonnier de guerre Polonais.
Ce jeune homme fort et très laborieux ne
manque de savoir faire malgré qu'il a des
difficulté a se prononcer dans notre langue. Ce
vide d'expression ne peut en aucun cas troubler
qui que se sois ! Il n'y a pas de danger
quelconque.
Il est charment avec ses cheveux blond, ses
yeux bleuté et sa corpulence celtique. Son
acharnement au travaille signe la marque d'une
loyauté parfaite ; le boulanger lui accorde toute
sa confiance.
Sa fille Aline , la plus âgée, remarque cette
belle ondulation musculaire de ce jeune
homme. Sa fébrilité féminine se laisse attirer
7
par ce charme ; malgré qu'elle connaît les
interdictions qu'aucune relation ne peut se
faire avec des prisonniers de guerre.
Pour éviter qu'une éventuelle ristourne de
sympathie se forme, le prisonnier se voit
contrant de rejoindre ses compagnons
prisonnier en fin de journée. Cette contrainte
ne rencontre d’obstacle car durant les heures
de travail son charme se valide. Quant a son
patriotisme pour ses compagnons le guide vers
des actions exemplaire car il leur apporte des
miches de pains . Dans cet acte il devient un
brave parmi les débrouillards.
L'amour y joue un rôle principale et un beau
jour la révélation que vient de remarquer la
bonne sœur accoucheuse ne va pas du bon
coté des sentiments. Aline est enceinte ! Mon
Dieu, un malheur qui frappe de plein nez la
maison du maire ?
8
Pour l'église cela est devenu un sacrilège et
pour le maire le déséquilibre de sa renommé.
Il faut qu'une solution soit trouvé avant que
cela ne se remarque. Dame conclusion trouve
dans son entourage la gomme qui effacera
toutes les malédictions.
Dans le village vit un garçon de ferme Adam.
On le surnomme le matou. Il n'a rien qui
équilibre son bien être, même ses petits yeux
brin sont entouré d'une chevelure décoiffée. Ses
habits sont rafistolé et ses sabots se fissurent
en dégageant une odeur d'étable. Aucune fille
tente un éventuelle flirt même les chiens du
village le pourchasse. Souvent il se fait mordre .
De fortune il n'en possède point et la trace d'un
futur héritage ne signe nulle page . Bref, pour
la situation que voila ce pantin fera le poids.
C'est ce que se dit le boulanger maire de ce
village. Il le convoque dans sa cuisine pour
entamer une conversation qui débouchera sur
9
certaines propositions donatrices qu'il lui
accordera c'il épouse Aline.
- Cela demande une réflexion,
Lui fit comprendre le Matou.
Monsieur le maire se trouve dans une position
critique. N'importe quelle solution sera la bien
venu. il convoque Aline et lui fait part de ses
intentions
- Ce qui vient de t'arriver Aline n'est pas
une chose très morale, tu sais que nous
risquons tous d’être déporté dans un camp.
Tu sais aussi que la place que j'occupe est
très importante et que vis a vis de tous les
villageois ton acte est irréfutable et
condamnable.
Le visage d'Aline se plâtre d'une pâleur de
statu. Des lourdes larmes coulent avec honte et
désinvolture jusqu’à former des petites traces
sur sa robe blanche de dimanche.
- Je le sais papa, mais , j'ai vingt cinq ans
collègues d'enfance.
- La relation sentimental devient un jeux
malicieux, surtout en un temps de guerre
et par interdiction. Tu le savais que tu ne
dois flirte avec un prisonnier. Il ne nous
reste plus qu'une solution que tu dois
accepter coûte que coûte.
- Je suis prête a tous accepter papa
- Bon, dans le village il y a le prénommé
Adam qui travail pour la ferme du manoir.
Tu vas le trouver et comme ton coeur
est gonflé de tendresse tu lui donneras
un peu de ton savoir faire qui endiable les
hommes. L'on fera comprendre que c'est
lui le futur papa. Il n'y a que cette solution
la qui peut nous sauver.
La rencontre se déroule comme prévu et
Adam trouve dans le flirt d'Aline la présence
d'un nouveau jour, celui de l'amour.
11
Qui eut cru que ce pas grand chose vaut plus
qu'un lutin ?
Aline la persuadé pour une demande en
mariage, ce qu'il fait avec le sentiment d'une
intention chaleureuse. Habillé d'un minable
pantalon de travail mais propre, il présente
sa demande de mariage auprès du boulanger
qui sans tarder l'invite a tu tête dans sa cuisine.
- Monsieur le boulanger, je viens vous
demander la main de votre fille Aline pour
un prochain mariage.
Le boulanger joue le père étonné, en se
frisant sa moustache blanchit par de la farine.
La table de la cuisine est blanche elle aussi ,
avec une balayette il passe pardessus puis
l'invite d'y prendre place sur une des chaises
en pailles tressé. Les sentiments de monsieur
le Maire se réjouissent intérieurement, il se
frotte les mains machinalement. Puis par
12
des feintes mots il conspire sa victoire.
- Ta demande en mariage est la bien
venu, mais, qu'elle valeur mets tu sur
cette table pour ton union Adam ?
Adam émet un sourire digne d'une victoire
certaine car, ce petit commit de ferme possède
plus d'un tour dans son sac. Ses oreilles ont
recueilli des contributions digne d'un calcul
exemplaire. Il sourit d'un air malin et,
- Avant toute chose, quelle est la valeur de
la dote de votre fille Aline monsieur le Maire ?
- Les vignes de pinot noir et le terrain qui
se trouve derrière l'église.
- Mais pour nous deux, future trois, cela
n'est point suffisant monsieur le maire.
- Je vous rajoute le verger qui se trouve a
l'entrée du village.
- Cela a son mérite, mais sous quel toit
allons nous vivre ensemble, je ne vais
pas faire dormir Aline dans la grange
13
où je séjourne actuellement.
- Je lui donne la maison qui touche le
prestataire.
- Et pour se chauffer en hivers, où allons
nous chercher du bois ?
Le Maire du village fait grise mine, comment
ce minable petit prétentieux peut il m'obliger
d'augmenter la dote de ma fille Aline.
La pression n'a pas de moral, car ce personnage
ne possède pas les facultés nécessaire pour faire
son service militaire ?
- Je vous attribue pour votre mariage la foret
du haut walte, il y a plus de quarante ares.
- J'accepte avec bonheur la main de votre fille .
Le mariage se fit rapidement.
L'histoire n’oublie pas que vis a vis de
certaines gens, des doutes persistent sur le bien
être de ce boulanger qui selon les oui dire
rapportent des faits outrageant. Ils se racontent
14
que Monsieur le Maire n'a pas les mains aussi
blanche que sa farine car il eut livré a la Gestapo
tous les jours du pains et en plus de cela, il peut
disposer d'un aide provenant du camp des
prisonniers de guerre étranger.
Sur les ondes de la radio, les nouvelles sont
bonne car elles annoncent une proche libération
digne d'une armée qui marche pour une paix et
une liberté futur. La joie habite toute les
chaumières et dans le coeur de chaque personne.
Lorsque les allier délivrent le village, des
rapporteurs dénoncent plusieurs personnes
ayant collaboré avec la Gestapo. Le Maire fut
l'un de cela, et, comme punition sa femme eut
les cheveux rasé.
15
Pour que naisse une futur Europe unis, nous
devrons partager notre pain de chaque jour.
-
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
1
LE MATOU
Les vignes se faufilent entre des rocailles
rouge , tout en grimpant vers le sommet , pour
se marier avec la couleur feux de la terre rouge
foncé. L'exactitude rectiligne de cette plantation
ressemble a celui d'une compagnie de
légionnaires. L'uniformité de la plantation
évoque l'amour et l'exactitude que lui porte les
villageois.
2
Au sommet, une frontière de racines, venant
de la foret de châtaigniers, fait barrage a leur
élancé. Ces arbres recouvrent les fondations
de la fortification du vaste château fort servant
a observer une grande partie de la plaine
d'Alsace.
Nous bénéficions d'une présence régulière du
soleil durant toute l'année, ce qui prévisible,
avec grâce, nos plants de vignes. Cet avantage
en éclairage, permet de charpenter la qualité
de ce vin par une volupté digne d'un confort
souverain. De cette récolte naît un breuvage
de pineau noir qui flamme avec valeur la
richesse de notre terroirs.
Notre fierté se couve de récompenses car
les médailles d'or de qualités nous font légions
depuis le passé ce qui harmonie la juste note
de notre bonheur.
Le village vie dans son savoir faire grâce en
lotissant ses assises dans le contrebas de ces
3
collines, la, a l'ombre de nos espaliers d'où
prennent racines nos plants de vignes.
La seconde guerre mondiale marque sa
présence et, notre vie prend le rythme d'un
comportement pas encourageant. Dans le
coeur de notre jeunesse ces amertumes ne
perturbent nullement l’allégresse de nos
sentiments .
Aucun chaste ne peut engendrer la joie de
l'amour car la belle tendresse signe celui
d'une idéologie sans frontière. L'homme et
la femme sont fait pour s'unir ! Hélas, pour
certain cas il y a une interdiction formelle,
ce que prononce la doctrine de l'occupant.
Personne ne peut adresser des paroles de
sentiments amoureux avec un prisonnier
de guerre capturé durant la campagne de
Pologne car il y a outrage. Cette leçon doit
être suivi a la lettre, une condamnation
peut engendrer de fâcheuses représailles.
4
Le déshonneur trouve son engrenage dans
une famille de bourgeois du village. Le charme
sentimentale eut abrogé l'interdiction et cela
jusqu’à atteindre le crime qui évoquera une
prochaine natalité ?
Malheur de malheur, c'est une flagellation
pour toute la famille car elle peut provoquer
la naissance d'une foule de complications. Il
faut trouver le bon terme qui puisse engranger
une dissolution diplomatique.
Venons en a l'histoire proprement dite, la
où la profanation eut lieu, en ces jours il n'est
pas coutume, pour une jeune fille, de rencontrer
des prisonniers de guerres de Pologne.
Notre petite histoire se déroule dans une
boulangerie coquette et bien cité a cette époque.
Le boulanger a trois enfants, il ne lui reste plus
que ses deux filles car le garçon fut incorporé
de force dans les batailles des fronts de l'est.
Trots de travail verbalise la situation , la main
5
d'œuvre masculin se trouve dans les zones de
combats.
Comme le pain devient la man primordiale, a
la portée de chaque famille, il y va de sois que
le travail devient pénible sans une aide.
Le grand four a pain consomme énormément
de bois . Le coeur du boulanger y attache tout
son amour a tel point que sa réputation fait le
tour de la route du vin. Cette reconnaissance
nécessite un énorme volume de bois. Le grand
tas s'amenuise plus rapidement que les lourds
sacs de farine. La charge de travail s’accroît et
une ribambelle de complications freinent
l'évolution de la boulangerie.
La police militaire de l'armée occupante se
trouvent parmi la clientèle. Cette importance
donne au boulanger la valeur d'une bonne
renommé, ce qui lui permet de devenir le maire
de ce village. Ce boulanger possède certains
droits de noblesse , cela lui donne un pouvoir.
6
Il pense profiter de ces acquis et va se
recueillir auprès de la police militaire pour
qu' elle lui accorde une aide humaine. Sa
requête fait vibrer une parodie qui ne tombe
pas dans les oubliettes, la police lui accorde un
aide , un jeune prisonnier de guerre Polonais.
Ce jeune homme fort et très laborieux ne
manque de savoir faire malgré qu'il a des
difficulté a se prononcer dans notre langue. Ce
vide d'expression ne peut en aucun cas troubler
qui que se sois ! Il n'y a pas de danger
quelconque.
Il est charment avec ses cheveux blond, ses
yeux bleuté et sa corpulence celtique. Son
acharnement au travaille signe la marque d'une
loyauté parfaite ; le boulanger lui accorde toute
sa confiance.
Sa fille Aline , la plus âgée, remarque cette
belle ondulation musculaire de ce jeune
homme. Sa fébrilité féminine se laisse attirer
7
par ce charme ; malgré qu'elle connaît les
interdictions qu'aucune relation ne peut se
faire avec des prisonniers de guerre.
Pour éviter qu'une éventuelle ristourne de
sympathie se forme, le prisonnier se voit
contrant de rejoindre ses compagnons
prisonnier en fin de journée. Cette contrainte
ne rencontre d’obstacle car durant les heures
de travail son charme se valide. Quant a son
patriotisme pour ses compagnons le guide vers
des actions exemplaire car il leur apporte des
miches de pains . Dans cet acte il devient un
brave parmi les débrouillards.
L'amour y joue un rôle principale et un beau
jour la révélation que vient de remarquer la
bonne sœur accoucheuse ne va pas du bon
coté des sentiments. Aline est enceinte ! Mon
Dieu, un malheur qui frappe de plein nez la
maison du maire ?
8
Pour l'église cela est devenu un sacrilège et
pour le maire le déséquilibre de sa renommé.
Il faut qu'une solution soit trouvé avant que
cela ne se remarque. Dame conclusion trouve
dans son entourage la gomme qui effacera
toutes les malédictions.
Dans le village vit un garçon de ferme Adam.
On le surnomme le matou. Il n'a rien qui
équilibre son bien être, même ses petits yeux
brin sont entouré d'une chevelure décoiffée. Ses
habits sont rafistolé et ses sabots se fissurent
en dégageant une odeur d'étable. Aucune fille
tente un éventuelle flirt même les chiens du
village le pourchasse. Souvent il se fait mordre .
De fortune il n'en possède point et la trace d'un
futur héritage ne signe nulle page . Bref, pour
la situation que voila ce pantin fera le poids.
C'est ce que se dit le boulanger maire de ce
village. Il le convoque dans sa cuisine pour
entamer une conversation qui débouchera sur
9
certaines propositions donatrices qu'il lui
accordera c'il épouse Aline.
- Cela demande une réflexion,
Lui fit comprendre le Matou.
Monsieur le maire se trouve dans une position
critique. N'importe quelle solution sera la bien
venu. il convoque Aline et lui fait part de ses
intentions
- Ce qui vient de t'arriver Aline n'est pas
une chose très morale, tu sais que nous
risquons tous d’être déporté dans un camp.
Tu sais aussi que la place que j'occupe est
très importante et que vis a vis de tous les
villageois ton acte est irréfutable et
condamnable.
Le visage d'Aline se plâtre d'une pâleur de
statu. Des lourdes larmes coulent avec honte et
désinvolture jusqu’à former des petites traces
sur sa robe blanche de dimanche.
- Je le sais papa, mais , j'ai vingt cinq ans
10
et je ne rencontre plus un seul de mescollègues d'enfance.
- La relation sentimental devient un jeux
malicieux, surtout en un temps de guerre
et par interdiction. Tu le savais que tu ne
dois flirte avec un prisonnier. Il ne nous
reste plus qu'une solution que tu dois
accepter coûte que coûte.
- Je suis prête a tous accepter papa
- Bon, dans le village il y a le prénommé
Adam qui travail pour la ferme du manoir.
Tu vas le trouver et comme ton coeur
est gonflé de tendresse tu lui donneras
un peu de ton savoir faire qui endiable les
hommes. L'on fera comprendre que c'est
lui le futur papa. Il n'y a que cette solution
la qui peut nous sauver.
La rencontre se déroule comme prévu et
Adam trouve dans le flirt d'Aline la présence
d'un nouveau jour, celui de l'amour.
11
Qui eut cru que ce pas grand chose vaut plus
qu'un lutin ?
Aline la persuadé pour une demande en
mariage, ce qu'il fait avec le sentiment d'une
intention chaleureuse. Habillé d'un minable
pantalon de travail mais propre, il présente
sa demande de mariage auprès du boulanger
qui sans tarder l'invite a tu tête dans sa cuisine.
- Monsieur le boulanger, je viens vous
demander la main de votre fille Aline pour
un prochain mariage.
Le boulanger joue le père étonné, en se
frisant sa moustache blanchit par de la farine.
La table de la cuisine est blanche elle aussi ,
avec une balayette il passe pardessus puis
l'invite d'y prendre place sur une des chaises
en pailles tressé. Les sentiments de monsieur
le Maire se réjouissent intérieurement, il se
frotte les mains machinalement. Puis par
12
des feintes mots il conspire sa victoire.
- Ta demande en mariage est la bien
venu, mais, qu'elle valeur mets tu sur
cette table pour ton union Adam ?
Adam émet un sourire digne d'une victoire
certaine car, ce petit commit de ferme possède
plus d'un tour dans son sac. Ses oreilles ont
recueilli des contributions digne d'un calcul
exemplaire. Il sourit d'un air malin et,
- Avant toute chose, quelle est la valeur de
la dote de votre fille Aline monsieur le Maire ?
- Les vignes de pinot noir et le terrain qui
se trouve derrière l'église.
- Mais pour nous deux, future trois, cela
n'est point suffisant monsieur le maire.
- Je vous rajoute le verger qui se trouve a
l'entrée du village.
- Cela a son mérite, mais sous quel toit
allons nous vivre ensemble, je ne vais
pas faire dormir Aline dans la grange
13
où je séjourne actuellement.
- Je lui donne la maison qui touche le
prestataire.
- Et pour se chauffer en hivers, où allons
nous chercher du bois ?
Le Maire du village fait grise mine, comment
ce minable petit prétentieux peut il m'obliger
d'augmenter la dote de ma fille Aline.
La pression n'a pas de moral, car ce personnage
ne possède pas les facultés nécessaire pour faire
son service militaire ?
- Je vous attribue pour votre mariage la foret
du haut walte, il y a plus de quarante ares.
- J'accepte avec bonheur la main de votre fille .
Le mariage se fit rapidement.
L'histoire n’oublie pas que vis a vis de
certaines gens, des doutes persistent sur le bien
être de ce boulanger qui selon les oui dire
rapportent des faits outrageant. Ils se racontent
14
que Monsieur le Maire n'a pas les mains aussi
blanche que sa farine car il eut livré a la Gestapo
tous les jours du pains et en plus de cela, il peut
disposer d'un aide provenant du camp des
prisonniers de guerre étranger.
Sur les ondes de la radio, les nouvelles sont
bonne car elles annoncent une proche libération
digne d'une armée qui marche pour une paix et
une liberté futur. La joie habite toute les
chaumières et dans le coeur de chaque personne.
Lorsque les allier délivrent le village, des
rapporteurs dénoncent plusieurs personnes
ayant collaboré avec la Gestapo. Le Maire fut
l'un de cela, et, comme punition sa femme eut
les cheveux rasé.
15
Pour que naisse une futur Europe unis, nous
devrons partager notre pain de chaque jour.
-
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
Ecrit le 16 12 2010, remis a jour le 26 09 2020
A ce jour, 16 12 2010, 1 037 lecteurs
A ce jour, 19 07 2018, 103 956 lecteurs
A ce jour, 13 01 2019, 108 378 lecteurs
A ce jour, 26 09 2020, 130 919 lecteurs.
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
A ce jour, 16 12 2010, 1 037 lecteurs
A ce jour, 19 07 2018, 103 956 lecteurs
A ce jour, 13 01 2019, 108 378 lecteurs
A ce jour, 26 09 2020, 130 919 lecteurs.
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
A ce jour,11 02 2024, 191 541 lecteurs.
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