LE BERGER DU ROSELEND ( nouvelle n 18 )
LE BERGER DU
ROSELEND
Il existe dans nos alpages un
berger de moutons. Durant les mois
allant du printemps jusqu'à la venu de
l'automne, il se trouve en transhumance,
distant de toute civilisation.
D'école, il n'en connaît qu'une faible
partie car, il récolte son instruction que
durant la période de l'hiver.
C'est de mon frère aîné que je vous
décrit, il a une année de plus que moi
et parcoure a cette époque, ses douze
années ; je l'admire plus que tout par
la passion qu'il accorde a sa sagesse.
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Durant son séjour en alpage je le
rejoint a chaque fin de semaine pour
le ravitailler. C'est de bonheur le matin,
avant que la clarté du jour n'épouse sa
révérence, que je quitte le hameau.
Je me hisse vers les sommets pour
me confondre avec le royaume des
alpages, celui qui le tient en otage ;
dans un refuge fait en épicéa et
recouvert de bardeaux qui le mettent
au sec durant la pluie ou quand les
flocons de neige tombent même en été.
La nuit perd de sa domination par la
venu de la clarté du jour qui se présente
dans un rayon rose qui travers les cimes
des haut sapins. Quelques dernière
étoiles, gardien du ciel, sont les seules
témoin de mon intention.
La fraîcheur du matin me caresse la
peau et mon expiration se transformé
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en une vapeur pur qui se marier et se
confondre au contacte de l'air maître
embonpoint de ce belle environnement.
Au lointain des formes d'ombres
rocambolesque se distingue. Les
couleurs de la nature renaissent et la
verdure environnante laisse distinguer
les autres couleurs des fleurs de l'été.
Dans le ciel un bleu pale annonce son
impératif.
Le dénivellement est mordant et raide,
je commence par ressentir les muscles
de mes jambes qui se durcissent. Sur
mon dos, le sac remplit de victuailles
devient pesant.
Le hameau s'est désolidarisé de ma
vue, je rendre dans une petite vallée
brumeuse. Il me reste une bonne
distance a parcourir pour parvenir au
somment.
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Ma forte volonté ne déniaise ces
compromissions car, je suis charmé
par mon intention de retrouvailles.
C'est ça qui nourrit ma force de mes
intentions.
Durant mon parcours je me rappelle
des souvenirs des hivers passé. Quand
avec mon frère on façonnais des figures
avec de la neige, et des batailles de
boules de neige. Lorsque nos mains et
nos oreilles avaient froid, on se
retrouvais prés de cette chaleur
rayonnante du grand fourneau a bois
qui occupe encore actuellement, le
centre du chalet de nos parents.
Sur l'étagère en marbre, nous
chauffions des reines de reinettes
jusqu'à ce qu'elles se fripaient.
Notre régale et notre partage se
comblait de souvenir affectives. De
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temps a autre nous grillâmes des
saucisses sur les braises rougeâtre du
charme. Ce sont ces souvenirs là, qui
me priment d'une certaine nostalgie et
qui m'incite a poursuivre la monté.
Je suis impatientes de pouvoir le
retrouver pour que ma nostalgie se
comble de sa gratitude.
Nous émousserons a nouveau ces
grands moments de plaisir. Penser
au passé permet d'avancer sans voir
passer le temps ni les efforts qu'ont
partage sur le moment.
Je résonne ainsi, car j'accorde une
importance primordiale au but que je
me suis imposé, celui de la volonté d'y
arriver. Et puis il y a aussi le contenu
de mon sac a dos qui renferme une
multitude de bonnes choses qui ferons
éprouver dans ses besoins journaliers
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une satisfaction vitale.
Le rapprochement familiale devient
agréable ainsi que notre bonne fois.
Par ce biais toute la famille transmet
le meilleur de nous même.
Je fais un inventaire dans mes pensées
pour couper couper a mon impatience
paraissant interminable.
Je possède un pots de miel de fleurs,
un autre de confiture de myrtilles, deux
tablettes de chocolat noir, un morceau
de fromage de Beaufort, d'une grande
miche de pain doré, d'un saucisson
d'Auvergne aux herbes sauvage, d'un
mélange de friandises diverses fait par
le savoir faire de notre grand mère, de
crayons de couleurs ainsi que du papiers
vierges de toute ligne, et des livres
d'écoles.
Je sais que pour mon frère aime lire et
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écrire se mettre a l'ouvrage ne lui fait
pas peur au contraire, durant ses
moments de garde sur les chaumes le
silence devient le curseur de son
inspiration.
En hivers, il suit les cours en classe.
Il connaît toute les leçons par coeur.
Notre maître d'école en est étonné.
Mon frère me fait comprendre que
seule la volonté permet a un être
humain d'arriver a ses passions.
Apprendre devient une pédagogie
humaine digne du plus grand respect.
Ce sont les alpages qui le guide vers
sa sagesse, voila la raison de son
savoir faire.
Je quitte la foret de mélèzes qui
dressent leur cônes vers le ciel. Un
ruisseau gargouille entre les rochers,
et laisse s'épanouir un chant très
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respectueux. Les oiseaux modulent
dans leur sifflement glorieux des
gammes cherchant des écots amoureux
au alentour. Un chamois saute de rocher
en rocher. Dans les prés la flore
s'exprime en une palette de fleurs
somptueuses que la beauté les rend
merveilleux. Des arbustes nains
forment un étalage de variété allant
de chenets qui pointe ses fleurs jaune
vers le ciel a la gentiane aux coulolles
d'un bleu profond. Des pâquerettes en
rosette à ligules blanches ou rosées
sont éparpillé, dans toute la contrée.
Des orchidées, sous divers forme attire
mon regard, je suis émerveillé par celles
qui ont une forme de pantoufle a labelle
jaune citron. Ce mirage de réalisme me
laisse émouvoir par cette nature aussi
bien équilibré. Je plonge dans un
silence digne d'un pays de fée car
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même ma vision ne peut décrire la
multitude de fleurs qui se laissent
épanouir en toute liberté et sans sans
danger. Le bourdonnement des abeilles
reste le seul bruit qui effleurent mes
oreilles. Je me laisse envoûter par cette
charmante nature endoctrinent. J' oublie
toutes ces agressions infâme qui
circulent dans la civilisation dite
moderne.
Le refuge se distingue, il est accolé
a une haute falaise de granite qui
s'élance vers les sommets. Le toit en
bardeaux s'y marie comme l'airelle dans
les alpages en fleurs. Les moutons
broutent au alentour, les chiens blanc
comme de la neige se confonde, ils
sont les seules a être couché sous
l'ombre des rochers. Les quiétudes
s'harmonise avec la nature.
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Je tente de voir Marc mon frère le
berger. Mon regard se gave de nature
bienveillante ou les mille facettes de
couleurs et de parfum occupe une large
dimension. Seul au loin les piques des
Alpes se pointent vers le ciel bleu.
Mon frère se trouve nul part ; je
gonfle mes poumons, donne a mes
mains une forme d'entonnoir et les
place devant ma bouche, pour l'appeler
de toutes mes forces.
- Marc
- Marc, Marc, Marc Marc Marc
Me répond l'écot de ma voix ! Je
recommence mon appel qui de nouveau
part se faufiler entre les rochers, pour
rencontrer le ciel en se mesurant aux
montagnes puis revenir sous forme
d'écot pour se cacher dans la vallée.
- Marc
- Marc, Marc Marc Marc Marc
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Une troisième répliques me laissent
libre de toute remarque. Personne ne
me guide de sa parole, ni même de
son ombre.
Je continue de m'avancer avec bruit
et ma vitesse de déplacement fait
détricoter l'entassement de cette
rocailles qu' occupe le sol par endroit.
Cette petite avalanche me provoque
une peur inondant mes sentiments,
ainsi que mon comportement.
Puis, là sur la gauche, je remarque
Marc sortir du refuge. A partie de cet
instant une immense joie efface mes
présomptions préoccupante.
Je retrouve a nouveau cette vaillante
intention de partager notre bonheur.
En me remarquant, il se déplace a
pas rapide, courant même sans se
préoccuper des rocailles qui pourraient
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provoquer sa déstabilisation.
Nos retrouvailles se font avec
l'émotion familiale. Les chiens quittent
leur centre de mire pour venir a ma
rencontre. Leurs queues se dandinent
d'allégresse. Me voila admise parmi
eux, je suis comblé par cette
conspiration.
Nous retrouvons le refuge, la, l'on
se décompresse du manque de
bavardage.
Marc me fait comprendre que ma
venu eut été observé depuis plus
d'une demie heure par les marmottes
qui ont sifflé l'alerte. Cette attention
me surprend peu car j'ai effectivement
perçu des sifflements striant qui se
mélangeaient avec les sifflements des
aigles qui virevoltaient au-dessus de
moi.
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Je commence a déballer les victuailles
sur la table en jetant mon regard sur
l'ordre soigné et la propreté accordé
au refuge. Il fait bon vivre dans cet
environnement qui fait étable en
même tant.
Je range une partie de mes provisions
tout en discutant. L'on évoque la météo,
le soleil, de la pluie, de la neige qui ne
se gène pas de couvrir le sol et les
arbres d'un manteau blanc même en
été. Parfois notre partage d'opinion ne
parcoure le même circuit d'exclamation
je ne désapprouve aucune de ses
données. Marc voit la réalité sous un
angle différent a mes pensées, je lui
laisse l' avantage car certainement que
je me suis tromper.
Je remarque que dans la commode
en sapin de nombreux gros livres
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occupent l'étagère du dessus. Je tente
d'en soulever un mais, son poids me
contrarie. Je dis d'un air désabusé,
- A quoi sont nécessaire ces vieux
livres Marc ?
- La sagesse et le savoir est conservé
dans ces livres la, c'est grâce a eux
que j'ai appris ce que je sais faire
actuellement Lilas. Grand père les
avait consulté dans le passé comme
notre père. Ils me l'avaient fait
comprendre que c'est la sur cette
étagère que ce trouvent toutes les
solutions qui peuvent résoudre
certaines complications. L'autre jour,
j'ai participé a accompagner une
brebis pour la naissance difficile d'un
agneau. Grâce a ce que j'eus appris
dans ces livres, l'agneau et la brebis
ont été sauvé ; je garde en moi une
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profonde fierté.
La moindre réponse n'opprime cette
action physiologique, je reste solidaire
a ces explications qui me déverbalisent
de mon ignorance.
Le soleil se trouve a son zénith. L'on
peu prendre le dîner devant le refuge.
Il est composé de pommes de terre et
de lardons de porc. Il n'y a pas de
salade. Je m'occupe pour préparer la
table et Marc fait revenir dans deux
casseroles , en fonte, les lardons avec
du saindoux et dans l'autre les pommes
de terre.
Cela se passe sur une vieille
cuisinière a bois que le repas et
l'infusion de mente est chauffé. Une
odeur de cuisson envahit le refuge
pour s'échapper par la vaste porte
d'entrée resté grand ouverte.
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Après ce bon repas, nous quittons
le refuge pour changer les moutons
d'emplacement et récolter quelques
airelles qui régalerons nos estomacs.
Un vent zéphyr nous comble de sa
douceur, puis subitement vers les
16 heures un retournement de situation
transforme l'air en une fraîcheur
révoltante. Le ciel se couvre et des
bourrasques de neige recouvrent
l'alpage.
Les agneaux sont en danger l'on
s'organise pour les regrouper puis les
emmène dans l'étable accolé au refuge.
Dans un cinétique parfaitement
synchronisé, avec l'aide des chiens, que
le rassemblement se fait sans embrouille.
Dehors, il neige en abondance et le
froid vient d'endormir le gargouillement
du ruisseau ainsi que le champs des
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oiseaux sans oublier le bourdonnement
des travailleuses abeilles. La végétation
s' engloutit et notre vue ne se limite qu'a
la fenêtre. Un épais nuages floconneux
nous en dissuade. Les moutons se
blottissent les uns aux autres, la
balustrade, qui sépare l'étable de
l'habitation, résiste solidement a leur
bousculade.
Ce regroupement provoque un
réchauffement de l'air environnante. La
neige , qui eut recouvert leur lainage,
fond. Un humage rend nos voies
respiratoires embourbé. Tous devient
humide.
Marc fait du feux pour que l'air
redevienne respirable et sec. Il passe
pardessus la balustrade en marchant
entre des moutons qui le laissent se
déplacer comme il le désir.
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Il empoigne un agneau qu'il porte
avec affection dans se mains. La
fraîcheur de la couleur blanche de sa
laine dénonce sa jeunesse le bas âge.
Marc me l'apporte et le dépose a
mes pieds. Sur le visage de Marc je
découvre le charme profond de la
fierté d'un vrai berger.
- Tu vois Lilas ça c'est l'agneau
que j'eus sauvé l'autre jour.
Mon coeur est comblé de joie quant
mes mains caressent cet animal
tremblant comme une feuille a la
moindre bise. Nous accusons la
responsabilité d'une grande famille,
même le bruit se laisse déterger par
le silence que l'on respecte comme
un cordiale partenaire. Quelques
mouches survolent, en forme de cercle,
la table. Puis de temps a autre l'une
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d'elle s'attable sans gène pour y
ramasser quelques miettes de pain.
Je continue de caresser l'agneau, qui
n'a pas encore acquit ma confiance. Les
chiens se sont couché l'un contre l'autre
devant le bas de la porte d'entrée.
Marc prend l'agneau dans ses mains
pour le placer dans le troupeau. Puis
il me dit,
- Je pense que la prudence conseil
de garder le bon sens et qu'il est
plus
plus raisonnable de passer la nuit
au refuge. Boudin (le non du
hameau) doit avoir subit des
tombées de neige. Demain, certain,
le beau temps nous comblera
d'un retour chaleureux. La neige
disparaîtra certain et tu pourras
rejoindre le hameau dans l'après
midi.
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Avant de s'endormir, Marc joue avec
son mirliton en roseau quelques notes
de musique. Je me couche sur un
matelas de paille pour laisser épanouir
l'envoûtement de ma fatigue que la
nuit engloutit sans que mes sentiments
rencontre une persistance. Prés du ciel
et des étoile il fait bon dormir surtout
quant la neige a prit possession de
notre environnement.
Confiné dans le refuge les moutons
provoquent des remous brutale par
inadvertance. Le manque d'espace
vient d'égarer leur liberté.
La neige a cessé de tomber et, une
percé dans les nuages laisse passer un
éclaircissement. La clarté du jour
retrouve sa dominance. Les cadrans
du coucou mécanique, qui occupe une
place sur le coté droit de la porte
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d'entrer, m'indique sept heure.
Je suis en pleine forme et m'apprête
a me lever. Marc s'est équipé d'un
tabouret a un pied central qu'il
attache autour de sa taille avec l'aide
de sa ceinture. Dans sa main droite
un sceau brin, en terre cuite, qu'il
place sous une brebis pour en
traire du lait.
Les chiens se détortillent autour
de nous dans l'espoir de récolter
quelques une de nos friandises et des
câlins. Marc leur verse du lait dans
leurs gamelles métallique. Nous
prenons le petit déjeuné composé du
pain du beurre de la confiture que
j'eus rapporté dans mon sac a dos.
La clarté transmet un réchauffement
agréable a telle point que la visibilité
retrouve sa pagode d'ovation. L'on
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peut apercevoir la pointe de l'église
de (Beaufort) et entendre le son de
sa cloche. Le Beau fortin a gardé
toute sa verdure et les rayons du
soleil lui redonnent une parure
d'élégance. Les gargouilles du
ruisseau deviennent plus prononcé
et les charges de neige, sur les hauts
cimes des mélèzes, se laissent glisser
vers le sol dans un fracas provoquant
une poussière neigeuse.
Ils sont loin ses arbres mais dans
le silence de la liberté le moindre bruit
provoque une attention allégorique. Le
ruisseau augment son débit et l'herbe
verte apparaît par endroit. Un petit
torrent se met en mouvement. Nous
pouvons libérer les braves moutons,
après le repas de midi.
Les dernière trace de neige les font
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hésiter dans leur démarche.
Il est treize heures et le soleil se
trouve au majuscule de la journée.
Je reste avec Marc jusqu'au environ
de seize heures puis nous nous faisons
nos adieux. Les pistes se sont dégagé.
La descente se déroule rapidement
et après bien deux heures je parvient
a mis chemin, aux ruches des abeilles.
La où habite le plus vieil homme du
hameau, monsieur (Hatier) .
Avec beaucoup de fierté je me
rapproche de l'habitation de l'apiculteur
car je sais qu'il ne laisse passer nulle
occasion de faire un brin de causette.
C'est avec familiarité que je veux me
venter de mon exploit et je sais que lui
aussi se gave de cette courtoisie ! Je
n'ai pas tort car il a prit place sur le
recoin de la fontaine. Je lui fait une
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petite courbette et pense lui parler du
beau temps.
- Bonne fin de journée monsieur
Hatier
- Bon début de soirée Lilas, a il
beaucoup neigé au (Roselend) ?
- Il est tombé environ une bonne
dizaine de centimètre, tout fut
recouverts et on en était surprit !
- C'est bien que tu es resté en
haut, tu auras pu te perdre ou
même mourir de froid. Tu sais
lorsque ton père, en ce temps la ,
prit en cordé le groupe d'alpinistes
eux aussi furent déboussolé par le
mauvais temps en plein été et la
neige de plus de deux mettre n'a
pas pardonné. Toute la cordé fut
porté disparu et aucun d'entre
eux ne revient vivant Lilas, tu as
bien fait de rester avec ton frère.
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- C'est son apologie qui me conseilla
j'en suis très fière. Il eut le pré
sentiment du danger.
- Tu as bien fait Lilas, la prochaine
fois que tu montes au (Roselend)
je te donnerai un sceau de miel
pour ton frère.
- Un grand merci monsieur Hatier,
vous avez le coeur sous la main.
A bientôt et bonne soirée.
- Bonne soirée Lilas.
Je termine cette lecture que je
viens de lire a mes enfants. Je me
penche sur eux pour voir ci les yeux
se sont fermé.
Deux dorment profondément mais
une seule garde une attention
particulière a ce récit. Elle reste en
contemplation.
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Elle est intrigué par le fait que je
m'arrête de lire , puis elle se met a
me questionner.
- Mais maman qu'est devenu le
refuge de montagne où l'ongle
Marc eut gardé les moutons ?
- Il est toujours aux même endroit !
- Et les précieux livres les as tu
emporté le jour où l'oncle est
partit pour une grande école de
médecine ?
- Non ils sont resté dans le refuge !
- Maman moi aussi j'aimerai les
lires et devenir une grande
savante dans les recherches pour
la médecine comme l'oncle Marc
le berger du ( Roselend ) !
- J'aimerai les chercher , mais tu
sais le refuge est au milieu du
barrage de (Roselend) et l'on ne
25
peu plus y accéder l'eau a tout
engloutit .
- Mais maman pour quelle raison
ne les as tu pas lu les livres de la
sagesse et du savoir, toi aussi tu
serais devenu une grande femme
en médecine ???
JJM
Ecrit le 25 09 2013, remis a jour le 10 04 2020.
A ce jour 25 09 2013, 73 289 lecteurs .
A ce jour 18 02 2015, 82 300 lecteurs .
A ce jour 06 06 2018, 103 000 lecteurs .
A ce jour 26 07 2018, 104 101 lecteurs .
A ce jour, 10 04 2020, 120 640 lecteurs.
A ce jour, 09 10 2023, 185 359 lecteurs.
Merci
Les nouvelles sont en cour de montage
des transformations peuvent suivre.
Auteur Jean jacques Mutz écrivain
amateur.
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