LE CAVEAU D’ÉLISE ( nouvelle n 69 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Aujourd'hui , c'est mon tour de passer au
caveau du cimetière de la ville de Dornach.
Pour cette occasion j'emporte dans mon panier
d'osier, des victuailles pour deux personnes
qui vivent caché dans un caveau.
Ils y séjournent depuis leur désertion dans le
recrutement obligatoire de l'armé Allemande.
Cela fait deux ans que nous apportons a tour
de rôle des victuailles .
Chaque fille d'environ mon âge , 18 ans, doit
faire cette démarche, comme se sont deux de
nos camarades de classe qui s'y sont caché,
ensemble nous avons décidé de leur apporter
a manger jusqu’à ce que cette maudite guerre
prenne fin.
coordination, aucune de nous ne souffle mot a
qui que se sois. Pourtant les mouchards se
trouvent partout, des fanatiques qui pensent
que leur avis signe la bonne résolution.
Notre logique a toutes, c'est le droit et le
partage d'une juste cause, pas la dénonciation
et la discrimination sur des propos illogique .
Sur les ondes passent des codes qui
annoncent la prochaine venu des alliées, ce qui
enchérit nos intentions . Nous n'avons plus
peur et jugeons que notre acte devient le signe
du mot libération et victoire. Cette résonance
épouse celui de l'ivresse de l’espoir qui fait
reculer celui du désespoir actuelle.
C'est notre curé qui eut trouvé la solution ,
celle de placer les deux déserteurs dans le
somptueux caveau d'un riche commerçant.
Le cimetière se trouve sur une colline qui
surplombe notre ville, et le caveau se trouve
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LE CAVEAU D’ÉLISEAujourd'hui , c'est mon tour de passer au
caveau du cimetière de la ville de Dornach.
Pour cette occasion j'emporte dans mon panier
d'osier, des victuailles pour deux personnes
qui vivent caché dans un caveau.
Ils y séjournent depuis leur désertion dans le
recrutement obligatoire de l'armé Allemande.
Cela fait deux ans que nous apportons a tour
de rôle des victuailles .
Chaque fille d'environ mon âge , 18 ans, doit
faire cette démarche, comme se sont deux de
nos camarades de classe qui s'y sont caché,
ensemble nous avons décidé de leur apporter
a manger jusqu’à ce que cette maudite guerre
prenne fin.
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Notre entente se gratifie d'une parfaitecoordination, aucune de nous ne souffle mot a
qui que se sois. Pourtant les mouchards se
trouvent partout, des fanatiques qui pensent
que leur avis signe la bonne résolution.
Notre logique a toutes, c'est le droit et le
partage d'une juste cause, pas la dénonciation
et la discrimination sur des propos illogique .
Sur les ondes passent des codes qui
annoncent la prochaine venu des alliées, ce qui
enchérit nos intentions . Nous n'avons plus
peur et jugeons que notre acte devient le signe
du mot libération et victoire. Cette résonance
épouse celui de l'ivresse de l’espoir qui fait
reculer celui du désespoir actuelle.
C'est notre curé qui eut trouvé la solution ,
celle de placer les deux déserteurs dans le
somptueux caveau d'un riche commerçant.
Le cimetière se trouve sur une colline qui
surplombe notre ville, et le caveau se trouve
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dans l'allée centrale .Taillé dans des pierres rouge des Vosges,
qui valorise sa présence. L'église le couve de
son ombre que vers la fin de la journée. La
clarté du jour le glorifie de toute sa lumière, ce
qui permet de l’apercevoir depuis la grande
porte en fer forgé de l'entrée nord.
Dans les entrailles de ce caveau, il est prévu
que plusieurs générations puissent y trouver
leur repos. Il y a des emplacements prévu pour
y loger vingts cercueils, il n'en comporte que
dix.
Le soir , les déserteurs sortent pour se coucher
dans le théâtre qui se trouve a l'entrée nord du
cimetière. Un petit passage , caché des regards
des passants, permet le transfert. durant la
journée, ils jouent aux cartes sous la lumière
d'une lampe a huile. Toutes les filles du quartier
suivent a la lettre le plan du curé et aucune
fausse note vient a s'égarer.
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Les allier sont a la porte de la ville et unedébandade bouscule les occupants. Pas de
doute, il faut plier bagage.
Les militaires Allemand quittent notre ville
en pliant bagages dans une dérive sans
ménage la tète bien basse.
Les jeunes filles de la ville sont émerveillé
par ces nouveaux venu. Sur le visage des ces
libérateurs, il y a une attention qui les choque,
elles dissent que ces soldats sont sales.
Le masque de saleté cache la loyauté de nos
libérateurs.
Un renouveau de joie redonne confiance a
tous les humains.
Petite histoire de jeunes gens aux portes de
l'adolescence que l’espoir a fait rêver d'une
égalité parfaite et a la justice de cette défaite.
Paix a toutes et a tous ceux qui sont mort
pour que revive une paix pour tous les vivants.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur..
Ecrit le 18 02 2011 remis a jour le 07 04 2020.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
A ce jour 1476 lecteurs de 36 pays
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
A ce jour 1476 lecteurs de 36 pays
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