YANNE ( nouvelle 54 )
Mirage au-dessus des nuages sage n 1 .
YANNE
Nous les garçons, somme les premiers
qui profitons de la récréation ; les filles prennent
la relève. Ces 15 minutes de déambulations
permette de vivre une liberté donc on en tire
une distraction digne de notre expression.
Certains de mes camarades de classe se
distraient en jouant aux billes, pour d'autres, ils
se racontent des histoires fantastiques qui
englobent des contes centenaires aux romans
d'aventures burlesques ou futuristes.
Je conclue que durant cette époque la, les
contes et les fables centenaires primaient une
juste valeur. Elles virevoltaient nos idées vers
des objectifs souvent irréels. De mes dix ans , je
survole cette période allègrement ; mon savoir
raconter une ribambelles d'histoires, que j'ai
récolté dans les lectures de livres de poches, ont
été mon tuteur. J'en fertilisai mon imagination
d'où je cultive des histoires peu commune.
De ces lignes , d'une écriture simple, mes
pensées s'en sont inspiré sans difficulté. Mes
illusions suivent la vague de la sagesse ; une
bonne partie de mes copains de classe se
raffolaient en m'écoutant avec attention.
Le progrès avance a grand pas car, d'un tube
luminescent, surgissent des reflets d'images en
mouvement et qui s'expriment sans ménagement.
Cette image eut transformé notre attention car
la facilité de compréhension produit une
conspiration envers les livres .
La lecture n’attirait plus grand monde . Cette
révolution mit en mouvement la perturbation
de nous tous car elle nous hypnotisait sans
ménagement.
Notre plaisir de lire part dans les oubliettes.
Notre réflexion se fragilise et les actions écrite
devinrent lassante. Ce tube parlant nous
endoctrine a telle point que le jeudi , journée
de repos, nous ne loupons les feuilletons pour
la jeunesse. Cette nouveauté n'est réservé qu'aux
privilégiés, un grand nombre de mes camarades
de classe en étaient privé.
Mes parents possédaient cette nouveauté appelé
( télévision ). De cet avoir je prenais de l'avance
sur plus d'un de mes copains de classe. Je me
gave d'une référence digne d'une fierté qui me
permettais de raconter des histoires venant de
cette nouveauté. Je bichonnais avec suspense, les
filmes que je regardais le soir en cachette sans
que mes parents m'y autorisaient.
Mon astuce fut simple, avec l’entrebâillement de
la porte de ma chambre et la présence du grand
miroir de l'armoire du couloir, je suivais l'image
visible sur l'écran de la télévision, je m'en saisi
visuellement mais sans son ce qui m'obligeais
d'en inventer. Mon imagination fit de la culture ,
je me réjouis de ce dialogue de sourd et de cette
image magique qui transporte mon imagination.
La déstabilisation de mes notes de classe se
présentais sous une mauvaise places.
Notre discutions va bon train, je n'égare un
seul des films passant en soirée. Le mercredi soir,
un fois par mois, des explorateurs passent des
reportages a la chambre de commerce, cette
expression me guide vers eux ; je ne loupe de
reportage. Mon imagination va bon train et
raconter des histoires n'égare rien de ces
paysages sensationnel, au contraire, je les
amidonne de suspenses pour que mes
camarades en tire une philosophie.
Ce jour la, une aventure passé au nord du
Canada , qu'un explorateur eut filmé, eut
montré une région où l'hiver se stagne sur des
températures en dessous du zéro. Une chasse a
l'ours blanc y trouve son action , suite a
l'agression sur plusieurs enfants et personnes
âgé.
Un rassemblement d’esquimaux eut prévu une
battu. La peur et la crainte font bon ménage a
telle point que l’hésitation trouve hésitation.
Seul un grand chasseur , Yanne, prend le chemin
de la chasse avec l'explorateur. Yanne veut
prouver dans cette action la preuve de son
courage. Ils suivent les traces de l’ourse qui les
conduit sur la banquise où de nombreux glaçons
permettent de sauter de l'un a l'autre. Yanne n'a
comme armement qu'une lance et un long couteau
au manche sculpté. Son intention n'a de limite, il
faut qu'il retrouve cette ourse qui eut tué et blessé
des villageois.
Cette histoire émerveille profondément
l'ensemble de mes camarades, mais un de mes
copains ,a qui j'ai du raconter a plusieurs reprise,
répondant au non de Yanne comme le chasseur,
en fut ébloui.
Dans notre région, l'arrière saison hivernal
devint rude, le froid stagne et la neige fait son
apparition, l'eau du canal s'est transformé en
patinoire. Les bateliers sont obligé de briser la
glace autour des péniches, pour cela ils marchent
sur l'eau gelé.
Tous mes camarades de classe se risquent de
patiner . Notre satisfaction récolte une parodie
digne de glissades impressionnantes, le
vagabondage de notre insouciance ne trouve de
danger.
Le jeune printemps réchauffe , a grande chaleur,
la nature , la terre et l'eau du canal. Les journées
se rallongent et sur le canal des morceaux de
glaces flottent comme des radeaux. Des bruits de
craquement s'entendent sur sa surface et notre
curiosité reste admirateur. Nous sentons tous les
remous de renaissance de ces belles journées a
venir et comme les oiseaux notre allégresse
virevolte une joie remplie de sagesse.
Ce fut le jeudi que notre liberté peut engendrer
de grand pas et, ce jour la, nous partons en foret
pour explorer les sous bois. Le vendredi matin
avant la rentrée de classe, nos explications sur
les exploits que nous eurent entrepris dans les
sous bois, allaient bon train. Mais, ce matin la,
Yanne n’est pas des nôtres, il manque a l'appel ?
Dans les cours de l'après midi, une femme vient
nous questionner tous pour tenter de récolter
quelques indications sur Yanne. Personne ne put
lui répondre, elle repart sans une note de support.
Notre conscience se laboure d'un remord, durant
la récréation un silence jalonne une tranquillité
déplaisante. Le courage de raconter des
aventures me sanguine. Aucune attention
d'ouvrir un jeu de groupe ne trouve un stratagème
fertile. Une peine profonde effiloche notre
énergie de jeune écolier.
Au lundi matin des inspecteurs de la police nous
questionnent un a un en nous faisant comprendre
qu'une équipe de plongeurs sondent le canal.
Aucune trace, le jour suivant le canal est vidé
entre les deux écluses du tronçon qu'empreinte
régulièrement Yanne. Notre curiosité se mélange
avec une peur profonde. Fini nos discutions sur
des aventures, notre coutume engendre
l’inquiétude.
Les plongeurs ne trouvent de vêtement dans
la vase du canal, tout est fouillé des soupçons
parlent d'un éventuel râpe d'enfant. Notre
imagination fait virevolter des zones d'ombres
où des présomptions prennent naissance !
Trois mois s'écoulent, dans le fond de mon cœur
reste gravé des doutes sur sa disparition. Je
pense qu'il doit vivre dans un pays où la vente
d'enfant se fait couramment ? Ou bien capturé
dans une famille en manque d'enfant ?
Souvent le jeudi j'égare mon temps le long du
canal pour pencher mon corps pardessus le garde
fou. Je plonge mon regard dans cette eau noir pour
se confondre avec l’âme de mes suppositions.
Dans la semaine un marin d'une péniche,
découvre un corps flottant dans le tourbillons
qu'ont provoqué les hélices du bateau.
Il stops son bateau et fit appelle a la police.
La nouvelle alla vite et dans notre entourage
plane des doutes profanant le malheur.
L'étrange de cette histoire provient de
l'apparition de la victime plus de trois mois
plus tard ?
Une autopsie révéla que le victime avait
séjourné dans l'eau noir du canal durant tout
ce temps .
Le canal fut de nouveau vidé et , l'on remarque
que sous la dalle du chemin de halage, qui passe
sous le pont, un petit vide , pas plus grand que le
volume d'un enfant , l'eut retenu aussi longtemps ?
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
YANNE
Nous les garçons, somme les premiers
qui profitons de la récréation ; les filles prennent
la relève. Ces 15 minutes de déambulations
permette de vivre une liberté donc on en tire
une distraction digne de notre expression.
Certains de mes camarades de classe se
distraient en jouant aux billes, pour d'autres, ils
se racontent des histoires fantastiques qui
englobent des contes centenaires aux romans
d'aventures burlesques ou futuristes.
Je conclue que durant cette époque la, les
contes et les fables centenaires primaient une
juste valeur. Elles virevoltaient nos idées vers
des objectifs souvent irréels. De mes dix ans , je
survole cette période allègrement ; mon savoir
raconter une ribambelles d'histoires, que j'ai
récolté dans les lectures de livres de poches, ont
été mon tuteur. J'en fertilisai mon imagination
d'où je cultive des histoires peu commune.
De ces lignes , d'une écriture simple, mes
pensées s'en sont inspiré sans difficulté. Mes
illusions suivent la vague de la sagesse ; une
bonne partie de mes copains de classe se
raffolaient en m'écoutant avec attention.
Le progrès avance a grand pas car, d'un tube
luminescent, surgissent des reflets d'images en
mouvement et qui s'expriment sans ménagement.
Cette image eut transformé notre attention car
la facilité de compréhension produit une
conspiration envers les livres .
La lecture n’attirait plus grand monde . Cette
révolution mit en mouvement la perturbation
de nous tous car elle nous hypnotisait sans
ménagement.
Notre plaisir de lire part dans les oubliettes.
Notre réflexion se fragilise et les actions écrite
devinrent lassante. Ce tube parlant nous
endoctrine a telle point que le jeudi , journée
de repos, nous ne loupons les feuilletons pour
la jeunesse. Cette nouveauté n'est réservé qu'aux
privilégiés, un grand nombre de mes camarades
de classe en étaient privé.
Mes parents possédaient cette nouveauté appelé
( télévision ). De cet avoir je prenais de l'avance
sur plus d'un de mes copains de classe. Je me
gave d'une référence digne d'une fierté qui me
permettais de raconter des histoires venant de
cette nouveauté. Je bichonnais avec suspense, les
filmes que je regardais le soir en cachette sans
que mes parents m'y autorisaient.
Mon astuce fut simple, avec l’entrebâillement de
la porte de ma chambre et la présence du grand
miroir de l'armoire du couloir, je suivais l'image
visible sur l'écran de la télévision, je m'en saisi
visuellement mais sans son ce qui m'obligeais
d'en inventer. Mon imagination fit de la culture ,
je me réjouis de ce dialogue de sourd et de cette
image magique qui transporte mon imagination.
La déstabilisation de mes notes de classe se
présentais sous une mauvaise places.
Notre discutions va bon train, je n'égare un
seul des films passant en soirée. Le mercredi soir,
un fois par mois, des explorateurs passent des
reportages a la chambre de commerce, cette
expression me guide vers eux ; je ne loupe de
reportage. Mon imagination va bon train et
raconter des histoires n'égare rien de ces
paysages sensationnel, au contraire, je les
amidonne de suspenses pour que mes
camarades en tire une philosophie.
Ce jour la, une aventure passé au nord du
Canada , qu'un explorateur eut filmé, eut
montré une région où l'hiver se stagne sur des
températures en dessous du zéro. Une chasse a
l'ours blanc y trouve son action , suite a
l'agression sur plusieurs enfants et personnes
âgé.
Un rassemblement d’esquimaux eut prévu une
battu. La peur et la crainte font bon ménage a
telle point que l’hésitation trouve hésitation.
Seul un grand chasseur , Yanne, prend le chemin
de la chasse avec l'explorateur. Yanne veut
prouver dans cette action la preuve de son
courage. Ils suivent les traces de l’ourse qui les
conduit sur la banquise où de nombreux glaçons
permettent de sauter de l'un a l'autre. Yanne n'a
comme armement qu'une lance et un long couteau
au manche sculpté. Son intention n'a de limite, il
faut qu'il retrouve cette ourse qui eut tué et blessé
des villageois.
Cette histoire émerveille profondément
l'ensemble de mes camarades, mais un de mes
copains ,a qui j'ai du raconter a plusieurs reprise,
répondant au non de Yanne comme le chasseur,
en fut ébloui.
Dans notre région, l'arrière saison hivernal
devint rude, le froid stagne et la neige fait son
apparition, l'eau du canal s'est transformé en
patinoire. Les bateliers sont obligé de briser la
glace autour des péniches, pour cela ils marchent
sur l'eau gelé.
Tous mes camarades de classe se risquent de
patiner . Notre satisfaction récolte une parodie
digne de glissades impressionnantes, le
vagabondage de notre insouciance ne trouve de
danger.
Le jeune printemps réchauffe , a grande chaleur,
la nature , la terre et l'eau du canal. Les journées
se rallongent et sur le canal des morceaux de
glaces flottent comme des radeaux. Des bruits de
craquement s'entendent sur sa surface et notre
curiosité reste admirateur. Nous sentons tous les
remous de renaissance de ces belles journées a
venir et comme les oiseaux notre allégresse
virevolte une joie remplie de sagesse.
Ce fut le jeudi que notre liberté peut engendrer
de grand pas et, ce jour la, nous partons en foret
pour explorer les sous bois. Le vendredi matin
avant la rentrée de classe, nos explications sur
les exploits que nous eurent entrepris dans les
sous bois, allaient bon train. Mais, ce matin la,
Yanne n’est pas des nôtres, il manque a l'appel ?
Dans les cours de l'après midi, une femme vient
nous questionner tous pour tenter de récolter
quelques indications sur Yanne. Personne ne put
lui répondre, elle repart sans une note de support.
Notre conscience se laboure d'un remord, durant
la récréation un silence jalonne une tranquillité
déplaisante. Le courage de raconter des
aventures me sanguine. Aucune attention
d'ouvrir un jeu de groupe ne trouve un stratagème
fertile. Une peine profonde effiloche notre
énergie de jeune écolier.
Au lundi matin des inspecteurs de la police nous
questionnent un a un en nous faisant comprendre
qu'une équipe de plongeurs sondent le canal.
Aucune trace, le jour suivant le canal est vidé
entre les deux écluses du tronçon qu'empreinte
régulièrement Yanne. Notre curiosité se mélange
avec une peur profonde. Fini nos discutions sur
des aventures, notre coutume engendre
l’inquiétude.
Les plongeurs ne trouvent de vêtement dans
la vase du canal, tout est fouillé des soupçons
parlent d'un éventuel râpe d'enfant. Notre
imagination fait virevolter des zones d'ombres
où des présomptions prennent naissance !
Trois mois s'écoulent, dans le fond de mon cœur
reste gravé des doutes sur sa disparition. Je
pense qu'il doit vivre dans un pays où la vente
d'enfant se fait couramment ? Ou bien capturé
dans une famille en manque d'enfant ?
Souvent le jeudi j'égare mon temps le long du
canal pour pencher mon corps pardessus le garde
fou. Je plonge mon regard dans cette eau noir pour
se confondre avec l’âme de mes suppositions.
Dans la semaine un marin d'une péniche,
découvre un corps flottant dans le tourbillons
qu'ont provoqué les hélices du bateau.
Il stops son bateau et fit appelle a la police.
La nouvelle alla vite et dans notre entourage
plane des doutes profanant le malheur.
L'étrange de cette histoire provient de
l'apparition de la victime plus de trois mois
plus tard ?
Une autopsie révéla que le victime avait
séjourné dans l'eau noir du canal durant tout
ce temps .
Le canal fut de nouveau vidé et , l'on remarque
que sous la dalle du chemin de halage, qui passe
sous le pont, un petit vide , pas plus grand que le
volume d'un enfant , l'eut retenu aussi longtemps ?
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Ecrit le 12 01 2011, remis a jour le 04 09 2020.
A ce jour, 12 01 2011, 1294 lecteurs .
A ce jour , 17 10 2018, 105 800 lecteurs .
A ce jour , 17 10 2018, 105 800 lecteurs .
A ce jour, 04 09 2020, 129 477 lecteurs.
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