LA PIQÛRE ( nouvelle 55 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Nous gardons, avec une vive attention , nos
deux petites enfants qui ont pour l'une, Sophie,
quatre ans et pour l'autre, Raphaël six ans.
Ma fille Véronique les adore avec une dignité
que nous leur transmettons . L'évolution des
enfants comble nos fierté et nos sentiments.
Véronique pratique un beau métier , il mérite
notre attention car, elle consacre son savoir
pour le soins des personnes malades.
De maisons d'habitations en logements, elle y
soignent ses patients avec un passion telle qu'elle
y est admise comme ci elle ferait parti de leur
famille
de sa tendresse qui se lit sur son visage. A la fin
de la tournée , elle nous échange des propos qui
convergent sur l'état de leur santé. Pour elle ,
toute maladie peut être combattu car a la fin du
traitement il y a la guérison. Ce n'est qu'un
passage ou le malade a une faiblesse. En gardant
un morale d'acier, le patient surpasse cette
faiblesse. Pour Véronique, la maladie ne présente
que l'ombre d'un fléau de passage et la médecine
possède la clé capable de la contourner .
Je l'écoute avec sagesse et puiser dans son
langage et ses réactions sa profonde
détermination. Quant le malade guérie, un
rayonnement de joie et de bonheur rende ses yeux
très brillant. Se sentiment victorieux la rend
heureuse. Mais il arrive qu'un vent incurable
attise la maladie en y plantant sa racine.
Son comportement n'est plus le même elle vie
avec une peine. On peut lire sur son visage une
désespoir . Ces mêmes souffrance je les récolte
comme un sage digne d'un vrai partage. A ce
moment la, Véronique a besoin qu'on la soutienne.
Je tente de détourner sa peine en lui faisant
comprendre qu'il y a beaucoup de gens malade.
Je me souvient d'un jour où , comme tous les
matins vers les six heures quant elle nous apporte
les enfants, sa coiffure a changé d'aspect ; elle est
ravissante et gais comme une tourterelle. Sa beauté
comme son langage me charme d'un vrais
partage . Je retrouve les formes de sa maman
quant elle avait son âge il y a de cela plus de vingt
ans. Mes souvenirs me redonne de l'entrain . Une
petite conspiration voyage dans nos révélations,
j'en suis fière et me garde de lui répondre sur
certaine explication.
Le soir venu , son caractère avait changé, elle
me fait comprendre qu'une de ses patientes est
très malade. Son inquiétude développe un amour
Se jour la une dame au grand âge eut quitté se
monde cela la marqué. Elle chagrine un mal ci
profond que son équilibre psychologique l'eut
transformé. L'habitude de voir des mourants
rend les humains résistant. Pour elle ce fut une
autre histoire, elle y galbe des lueurs noir.
Ce soit la sa tristesse eut pris une tournure
dramatique. De grosses larmes dénoncent son
chagrin. Véronique n'a plus sa gaieté du matin,
un voile hante son comportement qui devient
inhabituelle. Je suis timoré et laisse libre cour
au vide qui nous blasphème. Ces scintillements
de contributions m'apitoie, je les gruge sans
faire affaire. Je suis moi aussi envahi par l'onde
de cette source endoctrinant, je me force de
couper cour sur cette extinction de voix et parle
tout bas,
- Quel est le mauvais grain de sable qui verbalise
ta parole pleine d'entrain Véronique ?
expression mais l'ombre d'une hantises qui me
condamne a méditer. Je suis responsable d'un
acte odieux, même Dieu ne pourra me
pardonner.
Son maquillage s’étale sur ses joues, ses yeux sont
cristallisé et humide , ses mains tentent de frotter
ses larmes sur son visage pour faire disparaître
cette man de chagrin. Comme une condamné, elle
conjugue sa responsabilité. Le mal possède une
amarre , elle s'ancre avec force dans les pensées de
Véronique.
Je tente de couper ce moment en lui proposant
une boisson , elle n'en accepte point. Je lui fait un
sourire , il ne charme rien. Ses pensées s'égarent
dans un autre monde, celui , où ils sombre
alourdi de tristesse.
- Dis moi Véronique ce qui te rend aussi triste ?
- C'est madame Colin, elle, elle, a rendu son
âme a Dieu !
brave Dame, le poids du mal eut raison de sa
vie . Ne sois pas aussi triste lorsqu'une vie ne
trouve plus la soif de continuer a vivre, c'est
humain.
- Je sais cela papa et ce n'est pas la première
fois que tu me dis cette phrase mais, cette
personne la, je l'ai assisté jusqu'à son dernier
souffle et j'ai du la piquer plusieurs fois, son
corps bougeait durant dix minutes avec une
agonie épouvantable jusqu'à l’épuisement
total de ses réactions nerveuses.
- Tu étais seule avec cette malade ?
- Non, il y avait le médecin traitant et une foule
de gens dans le couloir, derrière la porte fermé
pour que personne ne voit son agonie. Toute la
famille fut présente et attendait sa fin avec
soulagement, tous, sauf moi, je ne m'imaginais
pas qu'elle puisse succomber aux piqûres que je
lui administrais.
ou as tu commis une faute ?
- Non pas le moi du monde, c'est avec l'accord de
toute la famille que j'ai du lui injecter cette piqûre
cruelle . Le médecin traitant le lui eut prescrit,
lui, n'a fait qu'assister a son agonie, ce fut moi
l'infirmière de service qui a du lui injecter cette
piqûre, pourquoi pas le médecin?
- Tu sais Véronique, ma ; suis je bête ou incapable
de comprendre.
- Non père, tes connaissances reste stationné sur
une époque où la charge du savoir vivre et de
celui du savoir gagner ne résume le même
diapason. A ton époque tous fut loyale, je le
crois, mais maintenant que le malade devient
une charge , sa famille lui impose la fin divine
car pour eux, il ne rapporte plus que de
l’embarras. Ils appellent cela Euthanasie, ou
tout simplement mort programmé !
- Je comprend ta peine , j'épouse le même chagrin.
regarde comme ci, nous somme les responsables
de cette ordonnance. Ma femme n'a pas suivi
notre discutions elle se rapproche de nous et dit
d'un air triste,
- Est elle morte la mère Colin , Véronique ?
- Oui maman, ce tantôt vers les quinze heure.
- Et les enfants , qu'en disent ils ?
- Ils se chamaillent pour l'héritage, c'est leur seul souci ?
- Tous les enfants sont ainsi ?
- Non, il ne reste que sa jeune fille Miriame qui pleure
avec une profonde peine, elle ne voulais pas qu'elle
meure !!!
Véronique n'a plus repris sont travail d'infirmière,
elle a changé de métier ; donner la mort ce n'est pas
dans son esprit.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Les nouvelles sont en cour de construction des
changement peuvent suivre.
Ecrit le 14 01 2011, remis a jour le 20 07 2020.
A ce jour, 14 01 11 2011, 1 310 lecteurs.
A ce jour, 27 11 2013 , 77 500 lecteurs.
A ce jour, 20 10 2018, 105 800 lecteurs.
1
LA PIQÛRENous gardons, avec une vive attention , nos
deux petites enfants qui ont pour l'une, Sophie,
quatre ans et pour l'autre, Raphaël six ans.
Ma fille Véronique les adore avec une dignité
que nous leur transmettons . L'évolution des
enfants comble nos fierté et nos sentiments.
Véronique pratique un beau métier , il mérite
notre attention car, elle consacre son savoir
pour le soins des personnes malades.
De maisons d'habitations en logements, elle y
soignent ses patients avec un passion telle qu'elle
y est admise comme ci elle ferait parti de leur
famille
2.
Le contacte avec autrui détient la clé maîtressede sa tendresse qui se lit sur son visage. A la fin
de la tournée , elle nous échange des propos qui
convergent sur l'état de leur santé. Pour elle ,
toute maladie peut être combattu car a la fin du
traitement il y a la guérison. Ce n'est qu'un
passage ou le malade a une faiblesse. En gardant
un morale d'acier, le patient surpasse cette
faiblesse. Pour Véronique, la maladie ne présente
que l'ombre d'un fléau de passage et la médecine
possède la clé capable de la contourner .
Je l'écoute avec sagesse et puiser dans son
langage et ses réactions sa profonde
détermination. Quant le malade guérie, un
rayonnement de joie et de bonheur rende ses yeux
très brillant. Se sentiment victorieux la rend
heureuse. Mais il arrive qu'un vent incurable
attise la maladie en y plantant sa racine.
Son comportement n'est plus le même elle vie
avec une peine. On peut lire sur son visage une
3
signature qui meurtrie ses pensées , celui dudésespoir . Ces mêmes souffrance je les récolte
comme un sage digne d'un vrai partage. A ce
moment la, Véronique a besoin qu'on la soutienne.
Je tente de détourner sa peine en lui faisant
comprendre qu'il y a beaucoup de gens malade.
Je me souvient d'un jour où , comme tous les
matins vers les six heures quant elle nous apporte
les enfants, sa coiffure a changé d'aspect ; elle est
ravissante et gais comme une tourterelle. Sa beauté
comme son langage me charme d'un vrais
partage . Je retrouve les formes de sa maman
quant elle avait son âge il y a de cela plus de vingt
ans. Mes souvenirs me redonne de l'entrain . Une
petite conspiration voyage dans nos révélations,
j'en suis fière et me garde de lui répondre sur
certaine explication.
Le soir venu , son caractère avait changé, elle
me fait comprendre qu'une de ses patientes est
très malade. Son inquiétude développe un amour
4
pour ses patientes et patients.Se jour la une dame au grand âge eut quitté se
monde cela la marqué. Elle chagrine un mal ci
profond que son équilibre psychologique l'eut
transformé. L'habitude de voir des mourants
rend les humains résistant. Pour elle ce fut une
autre histoire, elle y galbe des lueurs noir.
Ce soit la sa tristesse eut pris une tournure
dramatique. De grosses larmes dénoncent son
chagrin. Véronique n'a plus sa gaieté du matin,
un voile hante son comportement qui devient
inhabituelle. Je suis timoré et laisse libre cour
au vide qui nous blasphème. Ces scintillements
de contributions m'apitoie, je les gruge sans
faire affaire. Je suis moi aussi envahi par l'onde
de cette source endoctrinant, je me force de
couper cour sur cette extinction de voix et parle
tout bas,
- Quel est le mauvais grain de sable qui verbalise
ta parole pleine d'entrain Véronique ?
5
- Il n'y a pas de grain quelconque qui vide monexpression mais l'ombre d'une hantises qui me
condamne a méditer. Je suis responsable d'un
acte odieux, même Dieu ne pourra me
pardonner.
Son maquillage s’étale sur ses joues, ses yeux sont
cristallisé et humide , ses mains tentent de frotter
ses larmes sur son visage pour faire disparaître
cette man de chagrin. Comme une condamné, elle
conjugue sa responsabilité. Le mal possède une
amarre , elle s'ancre avec force dans les pensées de
Véronique.
Je tente de couper ce moment en lui proposant
une boisson , elle n'en accepte point. Je lui fait un
sourire , il ne charme rien. Ses pensées s'égarent
dans un autre monde, celui , où ils sombre
alourdi de tristesse.
- Dis moi Véronique ce qui te rend aussi triste ?
- C'est madame Colin, elle, elle, a rendu son
âme a Dieu !
6
- A ce que je sais, elle fut très souffrante cettebrave Dame, le poids du mal eut raison de sa
vie . Ne sois pas aussi triste lorsqu'une vie ne
trouve plus la soif de continuer a vivre, c'est
humain.
- Je sais cela papa et ce n'est pas la première
fois que tu me dis cette phrase mais, cette
personne la, je l'ai assisté jusqu'à son dernier
souffle et j'ai du la piquer plusieurs fois, son
corps bougeait durant dix minutes avec une
agonie épouvantable jusqu'à l’épuisement
total de ses réactions nerveuses.
- Tu étais seule avec cette malade ?
- Non, il y avait le médecin traitant et une foule
de gens dans le couloir, derrière la porte fermé
pour que personne ne voit son agonie. Toute la
famille fut présente et attendait sa fin avec
soulagement, tous, sauf moi, je ne m'imaginais
pas qu'elle puisse succomber aux piqûres que je
lui administrais.
7
- Pourquoi, ce traitement est il aussi dangereuxou as tu commis une faute ?
- Non pas le moi du monde, c'est avec l'accord de
toute la famille que j'ai du lui injecter cette piqûre
cruelle . Le médecin traitant le lui eut prescrit,
lui, n'a fait qu'assister a son agonie, ce fut moi
l'infirmière de service qui a du lui injecter cette
piqûre, pourquoi pas le médecin?
- Tu sais Véronique, ma ; suis je bête ou incapable
de comprendre.
- Non père, tes connaissances reste stationné sur
une époque où la charge du savoir vivre et de
celui du savoir gagner ne résume le même
diapason. A ton époque tous fut loyale, je le
crois, mais maintenant que le malade devient
une charge , sa famille lui impose la fin divine
car pour eux, il ne rapporte plus que de
l’embarras. Ils appellent cela Euthanasie, ou
tout simplement mort programmé !
- Je comprend ta peine , j'épouse le même chagrin.
8
Un vide semble dominer nos pensées , l'on seregarde comme ci, nous somme les responsables
de cette ordonnance. Ma femme n'a pas suivi
notre discutions elle se rapproche de nous et dit
d'un air triste,
- Est elle morte la mère Colin , Véronique ?
- Oui maman, ce tantôt vers les quinze heure.
- Et les enfants , qu'en disent ils ?
- Ils se chamaillent pour l'héritage, c'est leur seul souci ?
- Tous les enfants sont ainsi ?
- Non, il ne reste que sa jeune fille Miriame qui pleure
avec une profonde peine, elle ne voulais pas qu'elle
meure !!!
Véronique n'a plus repris sont travail d'infirmière,
elle a changé de métier ; donner la mort ce n'est pas
dans son esprit.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Les nouvelles sont en cour de construction des
changement peuvent suivre.
Ecrit le 14 01 2011, remis a jour le 20 07 2020.
A ce jour, 14 01 11 2011, 1 310 lecteurs.
A ce jour, 27 11 2013 , 77 500 lecteurs.
A ce jour, 20 10 2018, 105 800 lecteurs.
A ce jour, 27 03 2021, 146 635 lecteurs.
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