LA SOUCOUPE DE 1943 ( nouvelle 41 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
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LA SOUCOUPE
L'occupation Allemande fait panacher
son assise depuis plus de trois ans dans
notre région de l'Alsace. Beaucoup de
personnes verbalisent des sources de
méfiance vis a vis de tous ces envahisseurs
qui eux, traduisent leur présence par des
intolérances. Ils abaissent notre liberté
dans le cercle d'un pandémonium
intransigeant.
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Dans les écoles l'on nous oblige de
joindre cette doctrine inaltérable pour que
nous, des enfants, suivions ce mouvement
d'ingratitude avec habitude.
Par le terme d'une pression psychologique
ils nous ordonnent de rapporter des objets
en cuivre ou laiton dans nos écoles. Par
ce travail la, nous récoltons des notes très
satisfaisantes. Je traite cet échange comme
étant un vulgaire chantage dévoilant notre
credo.
Cette doctrine détient le terme d'une rué
vers le métal de cuivre et de laiton ; certains
persévère dans cette chasse le signe d'une
conscience collaboratrice. Les enfants
occupent leur temps libre pour fouiller tous
les greniers, toutes les caves et même par
retourner les tas d'ordure.
Ces actions deviennent une spéculation
arbitraire qui dévalorisent certaines
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personnes manquant d'imaginations dans la
débrouille. Ils controversent cette idéologie.
C'est suite a ces obligeances que naissent
des paroles inconnues a ce jours ; les
enfants formulent dans leur langage une
phrase avant de pénétrer dans leur classe,
( as tu trouvé du nazi )
Les maisons se vident de tout métal jaune
utile pour poursuivre cette maudite guerre.
Ce manque de métal ne ronge pas
l'endoctrinement de certain camarades, ils
y trouvent la source nécessaire pour obtenir
des tickets pour les d'achats de victuailles.
Nos maîtres d'école nous font part de l'utilité
vitale pour que l'armé Allemande gagne la
bataille.
Les écoliers ont d'autres contribution car
durant leur temps de loisir ils vont faire la
cueillette d'orties aux abords des forets
environnante. De cette récolte nous avons
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appris qu'il y a deux sortes d'orties, celle
qui a des fleurs violacées et qui démange
la peau, elle sert dans le textile pour des
vêtements militaire , quant a l'autre sorte ,
celle qui a des fleurs blanche, elles détient
un remède médicale et utile pour les
blessé de guerre. Notre action signe la
référence d'une contribution utilise pour
les militaires. Il arrive aussi et même
souvent, que dans les marmites a soupe
on utilise des orties .
Avec l'histoire passe le temps et, le
manque de complément. La plupart des
camarades reviennent bredouille de cuivre a
l'école ; sauf Edmond, qui possède un flaire
telle une aimantation particulière pour en
rapporter . D'une persévérance sans recule
et sans pardon il rapporte les barres de
laiton du lit de sa grand mère. Il parcoure
des kilomètres en vélos allant de ferme en
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hameaux abandonnés ; visitant des maisons
en ruine et des granges bombardé qui
risquent de s'effondrer. Les habitants de ces
ruines se sont replié dans les grande villes
d'autres régions de France.
Edmond a les meilleurs notes en classe ,
les instituteurs le calife de bon collaborateur.
Cette révélation lui fait part d'une fatuité qu'il
porte avec honneur. Je reconnais qu'il a du
courage car il fouille jusque dans les recoins
des plus dangereux. Il nous lance a haute
voix
- Pour la guerre nous devons savoir
risquer notre vie .
Pour chacune de ces conclusions il nous
prêche cette révélation. Son acharnement
le classe au premier rang de la jeunesse
hitlérienne de notre ville. Cette qualité lui
permet de posséder un surnombre en
tiqué de repas.
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Sa famille ne manque de rien , la guerre
devient une vache grasse. Je me souviens
que les décorations de guerre de son grand
père, obtenu a la grande bataille de Verdun
en 1918, sont parti retrouver le sac en toile
remplit de ( nazi ) de notre classe.
Les filles l'admirent pour son courage et
son savoir draguer. La , il cultive un flaire
cavaleur déstabilisant la plus part des filles .
Le coeur d' Edmond bat pour Marlène, qui
luit fait rayonner son charme avec folie.
Cette convivialité ne plais pas a tout le
monde, les parents de Marlène contredissent
leurs sentiments. Personne ne peut défaire
leur passion nous fait comprendre Edmond.
C'est dans la classe des filles que Marlène
eut dévoilé sa lisière qu'elle brode avec
Edmond. Dans notre classe ce fut lui qui eut
fait vibrer la valeur de son charme avec
Marlène.
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Les journées ne se ressemblent pas et, ce
dimanche la dans la foret, les deux classes
s'y retrouvent. Il fait un temps frais, l'herbe
garde une humidité. Nos sabots sont lourds
et nos pieds sont mouillé. J'ai froid sur tout
mon corps. Je dérape a mainte reprises
sur cette herbes humide. Mes narines
transpirent un rhume que je n'arrive a
dominer. J'ai du mal a respirer. Notre récolte
d'orties accumule une richesse volumineuse
car le chariot en bois est rempli a ras bord.
Les cloches de l'église sonnent quinze heure
et notre retour vers la ville se tarde. Une
bonne humeur entoure notre retour.
Cette révélation doit être remarqué par les
habitants car nous chantons des chants
d'allégresses en langue Allemande.
Le rythme entraîne des intentions qui me
semblent aléatoire. Dans la cour d'école on
se regroupe pour que notre maître puisse
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nous compter .
Notre seul préoccupation consiste de partir
le plus vite possible. Mais, il manque une
personne de notre croupe, Edmond, le chef
du groupe ?
Le démantèlement du groupe ne peut se
faire, nous stationnons sur les pavés de la
cour de l'école et ceci jusqu’à nouvelle
ordre.
Son absence nous perturbe tous car de
nombreux questionnaires nous interloquent
avec embarras. Adieu notre liberté tant
attendu.
Au bout d'une heure Edmond vient nous
rejoindre. Dans son comportement l'on
remarque une réaction qui le perturbe .Le
maître d'école le questionne,
- Que vient il de t'arriver Edmond ? Pour
quelle raison ne nous as tu pas suivi ?
- J'avais rencontré , dans le champs
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du père Lucien, un énorme ballon qui
dégageait une chaleur comme une
casserole que l'on fait bouillir. Je ne
pouvais m'en approcher a moi de dix
mètres. Je pensais que cette énorme
boule était une bombe aussi grande
qu'une maison d'habitation. J'en pris
peur et je me suis caché derrière de
haut buissons de l'autre coté de la route.
J'ai ressenti des vibrassions sur le sol et
des ondes que je ne pourrai décrire. Ce
ballon tournais sur lui même comme une
toupie. De nombreuses lumières de toute
couleurs se dirigent dans toutes les
directions. Le temps a passé très vite. Je
suis resté hypnotisé d'admiration. Toutes
les lumières s'éteignent puis cet objet
rond se soulève de son assise dans un
silence total. Une vapeur, accompagné
d'une chaleur s'en dégage, puis le ballon
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disparut rapidement dans les nuages.
Un cratère profond de plus de cinquante
centimètres garde la trace de son
emplacement, son diamètre de dix
mètres est impressionnant. Une odeur
de soufre nargue mes narines a telle
point que je fus obligé de retourner sur
mes pas et respirer un air sain . J'eut
enfourché mon vélo pour vous rejoindre
dans la cour de l'école.
- Edmond, peux tu te souviens tu de
l'emplacement ?
- Oui monsieur le maître d'école, je peu
vous y emmener, ça c'est passé dans
le champ qui appartient au père Lucien.
- Dans se cas nous allons informer la
Gestapo et leur expliquer ton aventure.
Le maître pris congé de nous autres et
sans tarder retrouve le poste de police.
Je déduis que cette action peut être une
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nouvelle arme d'un éventuelle libérateur.
Ma curiosité égare ma timidité pour me
pousser rapidement sur le champs du
père Lucien avec le vélo de mes parents.
Je trouve le cratère creusé par cette
marmite et en suis stupéfié ; une profonde
odeur impure nargue mes narines. Je ne
perd pas mon temps et me cache
rapidement car certain que la Gestapo
viendra sur cet emplacement.
Ma présomption rime avec la suite car
voici qu'un véhicule militaire approche du
cratère. Cinq personnes s'y trouvent, je
remarque le maître d'école et Edmond .
Les trois autres sont des militaires.
Les paroles sont lointaine mais les
gestes d’Edmond donnent les
explications que je connaissais depuis
la coure de l'école. Les grandes personnes
visitent l'emplacement puis deux autres
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véhicules militaires s’arrêtent. Certaines
personnes ramassent des morceaux de
terre brûlé avec des pelles qu'ils emportent
dans des seaux rectangulaire. Ma peur ne
cesse d'augmenter, comment vais je
m'éclipser en douce sans que l'on me
remarque ?
Ce lieu maudit je dois le quitter, mes
parents risque de s'inquiéter. Je le fais
dans le plus grand silence en m' éloignant
avec hâte comme un voleur.
Le lundi matin a l'école, l'appel dénonce
qu'une personne manque, Edmond. Cette
attention n'est pas dans ses habitudes
car sa ponctualité montre l'exemplaire.
Le dimanche suivant, les écoliers partent
dans la foret comme de coutume. Edmond
ne fais pas partie de notre classe depuis le
lundi . Sa copine Marlène dénonce une
tristesse. Je me rapproche d'elle pour tenter
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de la consoler.
- Tu es triste Marlène, qu'as tu ?
- Edmond ne vient plus, je me demande
ce qu'il a, est il malade ?
- Je questionne le maître d'école, il doit
avoir quelques réponses réconfortantes ?
Notre conversation s’arrête la, mes
intentions suivent leurs propos ; je me
rapproche du maître d'école et le questionne.
- Monsieur notre récolte est bonne
aujourd'hui,
- Oui mon garçon, j'en suis satisfait,
- Dommage qu'Edmond ne se trouve avec
nous, monsieur on en aurais bien plus
car lui possède un savoir faire dans la
cueillette d' orties.
- Je n'en doute pas tes questions
correspondent a la récolte. Et au sujet
d'Edmond que voulez vous savoir ?
- Est il malade Monsieur ?
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- Non, il se trouve a Berlin pour compléter
son savoir dans une école de haut
niveaux.
- Il a les capacités, c'était le meilleur de
notre classe monsieur.
Je ne tarde de dévoiler mon savoir a
Marlène qui prend cette réflexion d'un air
démesuré car, les parents d'Edmond lui ont
fait savoir qu'il se trouve dans une maison
de repos.
Ce sont les seules indications que je garde
de lui. Lorsque la guerre fut oublier et que
ma curiosité eut fait revivre mes souvenirs de
jeunesse, je pris le courage de contacter les
parents d'Edmond. Leur réponse épousent
une valeur décourageante car, depuis son
départ plus une seule nouvelle de lui.
Les années passent et , enfin une lettre
qui leur indique l'emplacement où il occupe
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sa dernière demeure, dans un triste camp
d'extermination.
Durant une guerre le doute sur une
disparition détient des facteurs imaginaire.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
Ecrit le 04 12 2010, remis a jour le 19 09 2020.
A ce jour, 04 12 2010, 931 lecteurs
A ce jour, 15 07 2018, 103 870 lecteurs.
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La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain
amateur.
La nouvelle est en cour de construction
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