A COTE DE LA CHAPELLE ( nouvelle 36 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
1
A COTE DE LA CHAPELLE
Dans le sud ondulé de l'Alsace , une
région de France,de nombreuses villages
parsèment les collines . C'est a cet
endroit là que la chaîne des montagnes
du Jura prend racine.
Il existe des maisons a colombage plus
que centenaire. Certaines enferment des
souvenirs resté dans les moeres.
2
Parfois ce sont des histoires légendaire
au raisonnement arbitraire qui charme
les habitations.Mais parfois se sont des
histoires mûrissant des doutes ensorcelé.
. Les souvenirs de ces habitants ont
prit racines depuis de nombreuses années.
L'on peu y recueillir autant de messages
qu'il y a de maisons ; éparpillé comme par
enchantement depuis la nuit des temps.
Chaque coin cache sous son ombre le
charme d'une anecdote fait d' actes de
sorcellerie.
Je vous fais part , dans la suite de ces
lignes, une de ces présomptions que moi
même j'ai constaté. Depuis cette maison
l'on peut voir une Sainte Chapelle qui
laisse étaler son ombre, le soir venu, sur
le terrain que nous prospectons.
Les tuiles en écaille rouge brillent sous
le rayonnement de ce soleil printanier. La
3
journée est agréable et les senteurs de la
nouvelles verdure nous rassasient de
renouveau.
Monsieur le maire m'accompagne, il
me guide pour l'acquisition des deux
habitations que je visite avec attention.
La première maison verbalise l'ossature
d'un colombage triste et grisâtre, quant a
sa façade elle sonne l'abandon , des ronces
y ont prit racine. Tout doit être réparé de
la cave jusqu’à la pointe du faîtage, bref
c'est une véritable ruine. Ma déception
apparente cache des projets réconfortant,
je remarque que son colombage est en
chêne.
L'ombre saint de la chapelle l'eut protégé
depuis lurette. Je suis prêt a m'engager
vaillamment pour entreprendre sa
restauration. A partir de ce moment la je
récolte le reflex de laisser apparaître une
4
amertume ; mais je garde caché dans mon
coeur une version contradictoire. J'ai l'esprit
conservateur pour ces habitations qui ont
endossé la marque de plusieurs centaine
d'années. Elles méritent toutes de continuer
l'aventure en leur accordant notre respect.
Nous visitons la cave et la, mon attention
ce prime d'une valeur de la présence d'une
source d'eau limpide et claire.
Cela m'hypnotise inlassablement. De
nouveaux projets prennent forme, et mon
ambition conservateur fait vibrer mes
pensées. Je dis a monsieur le maire,
- Monsieur le Maire, il y a beaucoup de
réparations dans cette habitation, pour
moi je ne vois qu'une ruine et je pense
que le prix que vous demandez dépasse
la valeur de mon estimation.
- Monsieur l'acheteur, je vous ai bien dit
que nous pouvons discuter sur la somme
5
à débourser.
Mon objectif consiste de faire baisser le
prix car preneur je suis mais de la a payer
une somme aussi élevé demande une
réflexion !
- Monsieur le maire, quelle est votre mis
a prix ?
- Je dis 30 000 francs pour celle ci et
20 000 francs pour l'autre. Les deux pour
50 000 francs.
Devant une maison, pas loin de la chapelle
une vieille dame, avec une allure distingué,
suit notre conversation. Elle nous souri
comme pour nous faire un compliment. Je
la salut respectueusement.
L'on se dirige vers la seconde habitation a
colombage qui se situe a cinquante mètres
de la première. Elle ressemble a une triste
ruine, bien plus triste que la première. Ma
conclusion devient arbitraire ; je ne peux
6
garder celle ci, son état lamentable dénonce
le traça.
- Monsieur le maire cette masure ne vaut
pas les 20 000 francs que vous me
demandez. A la vue de ce colombage
dépareillé et rongé par la moisissure
cette battisse ne vaux pas un clou. Un
investissement important pour sa
réparation signe sa destruction.
- Monsieur l'acheteur, je vous comprend
mais deux maisons pour 50 000 francs
c'est une affaire.
Je ne pourrai les réparer toute donc je
pense que de deux habitations je pourrais
en faire une. Je garde dans mes réserves
mes intentions .
En prenons le courage de pénétrer dans
cette masure je remarque de grand trous
béants aussi bien sur le toit que dans la
façade où un manque important de torchis
7
provoque des courants air. Le pisé jaune
restant est sec et poudreux. Le passé a
laissé des traces, une flagellation marque
tout le recoins. La porte d'entrer se
désaccouple de ses gonds. La rouille eut
raison des charnières qui ne tiennent plus
que par la masse de sa corrosion. Je tente
de l'ouvrir, la porte se détache impunément.
Une forte odeur de pourriture enivre mes
narines, la moisissure est maître des lieux.
Pas de doute, il dois y avoir une colonie de
rats ?
Un instant de répit provoque une hésitation ,
un fluide pervers me repousse instinctivement.
L'incertitude provoque mon attention, car, la
stabilité du sol se fragilise sous mes pas.
Monsieur le Maire c'est gardé d'y pénétrer, il
m'a donné main libre dans toute mes
explorations.
Dans certains endroits,mon analyse
8
découvre des enfoncements du plancher ,
cela me permet d'entre voire une partie de la
cave. Je ne m'y aventure point . De vaste
toiles d'araignées me barrent ma démarche,
je suis obligé de me débarbouiller mes
cheveux.
Mon visage ressent ce tissage poussiéreux
qui vibre au moindre déplacement d'air. Cette
soie a envahit ma tête en si fixant. Mon
courage ne rencontre une alternative qui
pourrai repousser mes intentions. Je continu
ma découverte dans cette maison hanté par
le malheur qu'avaient subit ces anciens
habitants.
Monsieur le Maire m'eut fait part de ces
nouvelles, sur ceux, il garde ses pieds a
l’extérieure de l'habitation. Ses impératives
ne freinent en rien mon objectif car je me
laisse guider par la lumière des rayons du
soleil . Je réussi avec mille attentions,
9
d'atteindre l'escalier qui me permet de visiter
l'étage du dessus. La aussi je retrouve un
voile de toiles d'araignées enduit de poussière.
Je me trouve dans le royaume de l’amertume
et ma crainte fait fortune, mon appréhension
ne conjugue que peu de bravoure.
Je me hisse en prenant mon équilibre
contre la rambarde . Elle aussi est instable ,
a ses pieds une emplette de petit tas de sciure
fine dénonce le travail des termites du bois.
Je rencontre une multitude de nids de pigeons
sur les poutres , aussi que des niches
d'hirondelles dans les recoins du grenier.
Sur le moment je garde un arrêt comme
pour se laisser guider par un envoûtement
diabolique, puis, je distingue , tapis dans les
poutres faîtière, une myriade de chauve-sourie
qui se sont mariée dans la partie sombre de
la charpente.
Un hulule ébouriffe ma coiffure je cultive une
10
peur germé par ce Grand-Duc qui vient de
déployer ses ailes. Ce hibou vient il m'avertir
d'un danger ? Je tergiverse rapidement car
je descend de ce grenier sans prendre d'autres
remarques. Les vibrations de mes brusques
pas font trembler toute l’ossature de la
masure.
Je viens de chambouler le rythme de la
vie de ces habitants .
Je ne tarde pas et retrouve Monsieur le
Maire qui m'attend avec impatience
accompagné de la vieille dame qui me
regarde d'un air médusé. Je laisse
émouvoir mes remarques sur mon inventaire.
Ma fierté garde sa noblesse et je reste
ferme sur l'intention d'acheter les deux
maisons .
- Avez vous pu vous rendre compte de
l'état et de la valeur de cette bâtisse
monsieur l'acheteur ?
11
- Qui monsieur le Maire, je suis preneur
des deux chaumières malgré que leur
état est déplorable et que les réparations
nécessite un fond important. Le
capricorne a prit racine ainsi que la
vermine. Je m'engage a sauver l'une
d'elle seulement ci vous me cédez les
deux pour un prix raisonnablement
moindre que la somme que vous
m'avez dictée.
- Je vous ferais part d'une réponse dans
les jours a venir monsieur l'acheteur.
Le Maire prend congé et la vieille dame
reste auprès de moi. Elle me questionne
avec respect !
- C'est vous qui devenez le future
propriétaire ?
- Peut être, madame, mon hésitation
dépend du prix qu'on me propose !
- Je ne pense pas que vous faite une
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bonne affaire monsieur l'acheteur, car
dans cette habitation la, il y vécu une
sorcière.
- Une sorcière, mais qu'a d'elle fait pour
que l'on la traite de sorcière madame ?
- C'est une longue histoire et tous les
anciens du village la connaissent.
Ma curiosité ne peut laisser enfuir une
aussi bonne source d'apprentissage. Cette
vieille dame possède la trace d'un passé riche
en révélation. Je me garde d'aucun retrait de
conversation, son histoire m'inspire une réelle
confiance. Je pense que ce qu'elle va me
dire porte le fruit de ma curiosité.
- Comment savez vous que ces deux
maisons sont hanté Madame ?
- C'est une longue et vieille histoire, les
jeunes de nos jours ne la connaissent
plus. La maison que vous venez de
visiter est la maison mère de la sorcière.
13
Cela fait de nombreuse années qu'elle
nous a quitté. Le jour de sa mort, comme
elle ne voulais pas de cérémonie
religieuse , les villageois n'ont fait que
l’accompagner jusqu’à son dernier lieu
de repos sans les sacrements. Durant
la marche, les personnes prétendaient
entendre des coups de pieds venant du
cercueil. La stupéfaction envahissait le
cortège , intrigué, les personnes allaient
prévenir l'ancien Maire du village. Celui
ci fit signe de continuer comme ci rien
n'était. Elle n'était aimé de personne car
tout au long de sa vie elle eut jeté un sort
a tout les habitants du village. La maison
que vous avez visité en premier possède
aussi un sortilège.
Mon intrigue fait volte face, je suis entrain
de récolter la chaleur de ma curiosité ; cela
pourra me servir d’argument pour mener le
14
prix de mon achat .
- Madame, c'est bien sous ce toit que
vivait la sorcière ?
- Bien entendu et sa puissance exerce
encore son pouvoir , je vous dis cela
car cette maison fut déjà vendu a un
jeune couple il y a de cela une bonne
vingtaine d' années . Leur courage et
leur ambition était grand , ils voulaient
en faire leur habitation principal. Leur
engagement dura peu de temps car
suite a un accident de la circulation le
mari restât cloué sur une chaise
roulante, la moitie de son corps
paralyse. Ils n'avaient plus de
ressource et les charges les
terrassaient d’impôt. Les tribunaux
leur donnaient tord et leur volonté n'eut
plus raison d’être. La commune mit la
main sur ce bien et l'autre habitation qui
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était aussi a l'abandon.
- Madame ceci n'est qu'un malheureux
hasard
- Monsieur, l’envoûtement de la sorcellerie
continuât car a partir du moment où la
commune acheta les habitations le
malheur engrangea la population toute
entière. Les jeunes fuyaient vers la
ville pour trouver du travail ; les paysans
laissaient en friche leur bonne terre et la
commune ne récoltait peut de finance.
l'école fermait sa porte comme le bistro .
La défaite a fait de grand pas , les
derniers habitant du village ont fait
pression auprès de la commune pour
qu'elle vende ces deux habitations.
- Ci je comprend bien c'est pour cette
raison que la commune vend ces
deux maisons.
- Oui Monsieur
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- Mais Madame, l'autre maison est elle
aussi la demeure d'une sorcière ou
d'un sorcier ?
- La seconde maison possède un
mauvais sort ,elle fut damné par la
sorcière qui l'eut envoûté.
- Qu'elle sont les signes qui définissent
son envoûtement ?
- Avez vous remarqué que dans la
cave coule une source .
- Oui, et l'eau est claire comme de
l'eau de roche.
- C'est ce que vous pensé, mais elle
possède un pouvoir maléfique, elle
provoque des rayonnements nuisible.
Les personnes qui en boivent ont des
troubles psychique.
Je reste perplexe sur ses indications qui
m'intriguent profondément. Dois je croire
cette personne ? Je reste figé sur une
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confusion total. Je quitte cette personne
avec comme intention de ranger dans les
oubliettes ce que je viens d'apprendre.
Ma langue exprime sa liberté , je ne tarde
pour raconter mon savoir a ma belle sœur
sur toutes les malédictions qui engendrent
ces deux maisons car c'est elle qui veut en
devenir la propriétaire. Elle ne prête son
attention sur mes remarques et me fait
comprendre que ce ne sont que des
supercheries.
De la manière qu'elle m'eut exprimé son
indépendance laisse virevolter en moi des
sentiments non convainquant.
Les semaines s'écoulent et l'achat se
fait avec bonification sur la mise a prix.
J'eus évoqué les malédictions et la
commune eut baissé la valeur marchante.
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Avant d'entreprendre la démolition de
cette habitation lugubre de la sorcière, nous
entreprenons une fouille minutieuse.
La perceptive de recherche se base sur
les paroles de cette voisine et sur les
indications que nous ont révélés d'autres
personnes comme le curé de notre village.
Il s'agit de retrouver impérativement un
livre dans lequel sont renfermé les écrits
sur les sortilèges qu'elle eut sécrété.
Je ne suis pas influencé par les croyances
d'autrefois, je me laisse guider par les
réactions de ma belle sœur très perturbé.
Son comportement enlace un point critique
car elle eut pris part de toutes les paroles
concertants le sujet de la sorcellerie . Selon
elle, dans ce rituel on peu rencontrer la
transfiguration qui dénonce le diable et le
curé pourra y remédier.
Nos recherche se transforme en une
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effarouche conspiration. Notre premier
objectif consiste de détruire par les flammes
nos trouvailles. Un grand tas fait de meubles,
de papiers de famille, de lettres, de photos
et habilles, sont rassemblé sur les ronces
qui poussent sur le terrain entourant cette
bâtisse pour en faire un bûché purificateur.
Ma curiosité se laisse détourner par cette
sédition et je me permet de lire tous les
papiers que j'arrive a traduire. Puis je
remarque des archives de notaire datant
de 1900 et de vieilles cartes d’identités plus
ressente qui dénoncent une coïncidence
avec le non et le prénom du mari de ma
belle sœur ?
Cette découverte engendre des
suppositions, ils m'intriguent profondément.
Notre bûché a prix feux on y jette les papiers
malfaisant ; puis nous continuons nos
recherches empiriquement sans perdre le
20
sens de nos intentions.
- Il faut brûler tous ce qui rappellent un
éventuel rapport avec les anciens
propriétaires de cette maison, ne
perdons pas notre temps nous fait
savoir ma belle sœur.
Elle exprime cela d'une manière envoûté
par une croyance qui la trouble
psychologiquement.
A partir de la ses nuits devenaient le refuge
de songes envoûtants et intolérables. Ses
yeux sont irrités et ses réactions endiablés.
Elle juxtapose la sorcellerie de sa déraison
avec ses rêves. Une hantises indomptable
la flagelle dans ses pensées.
Nous entreprenons la démolition du toit .
Les tuiles plate se fracassent les unes sur
les autres dans une poussière volatile. Elle
pénètre dans nos narines et nos
sous-vêtements, nos cheveux sentent le
21
rance. Notre action fait apparaître la clartés
du grand jour . Les recoins sont mis a la
lumière et les oiseaux ont tous fuit notre
chambardement.
L'ensemble de ma peau me démange et
mon nez pique; mes cheveux sont devenu
grisâtre et un brouillard de poussière rend
la visibilité limité a un pas. Mes mains
aussi noir que celle d'un ramoneur
dénoncent le maléfique de cette habitation.
La démolition de la couverture a prit fin.
L'on se dirige vers la première habitation
dans sa cave pour pouvoir se laver les
mains a la source .
Ma belle sœur n'est plus emprises par
son envoûtement. La joie sur son visage
récolte le charme d'un réconfort. L' on se
retrouve tous devant la source d'eau , plus
une seule goûte d'eau ?
Notre attention est stupéfié par cette
22
sécheresse de la source ? Avec mes deux
seaux en plastique, je part retrouver la
voisine pour pouvoir nous laver. Mon
désappointement rend mon langage bien
curieux car je lui demande,
- Est il normal que la source ne coule
plus dans la cave de cette maison la ?
- Cette source la n'a jamais cessé de
couler une eau limpide et fraîche mais,
il se peut que le sortilège qu'eut prédit
la sorcière vient de s'échapper du toit
de sa maison vue que vous venez de
l'arracher.
Je me demande pas plus et lui donne
mes deux seaux pour les remplir. Je ne
souffle un seul mot a qui que ce sois et
garde dans le profond de mes doutes une
certitude que la sorcière a bien existé. Tous
ces nombreux hasards sont le signe de
ma croyance.
23
Avec travail et ambition la première
maison devint charmante et son colombage
réveille un cachet digne des plus grandes
réussite. Ma belle sœur garde son caractère
joyeux ainsi que mon beau frère. Rien ne fait
croire qu'une trace reste gravé dans leur
comportement ; toutes les superstitions se
sont envolé ?
Cela fait quatre années que cette histoire
eu lieu et jusqu’à la aucun rejeton ne vit le
jour dans cette maison. Le couple est bien
équilibré point de vue santé, révèlent les
analyses médicaux. Cette remarque
déséquilibre le couple qui divorce .
Quant pour moi je suis convaincu qu'ils
sont sous l'envoûtement de cette sorcière
a qui ont a détruit la maison. Voila un acte
de vengeance digne de sa part j'en suis
certain.
Mais l'histoire ne s arête pas la ; lorsque
24
ma belle sœur devient mère avec comme
père un autre mari, l'enfant qu'elle mit au
monde ne vécu que 20 mois, un matin ils
l'ont trouvé mort dans son lit.
En cumulant toutes ces conclusions aussi
apocryphe je me demande ci moi aussi je
suis envoûte par cette sorcellerie. ?
-
JJM
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
A ce jour 17 11 2010, 814 lecteurs .
A ce jour 09 07 2018, 103 696 .
1
A COTE DE LA CHAPELLE
Dans le sud ondulé de l'Alsace , une
région de France,de nombreuses villages
parsèment les collines . C'est a cet
endroit là que la chaîne des montagnes
du Jura prend racine.
Il existe des maisons a colombage plus
que centenaire. Certaines enferment des
souvenirs resté dans les moeres.
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Parfois ce sont des histoires légendaire
au raisonnement arbitraire qui charme
les habitations.Mais parfois se sont des
histoires mûrissant des doutes ensorcelé.
. Les souvenirs de ces habitants ont
prit racines depuis de nombreuses années.
L'on peu y recueillir autant de messages
qu'il y a de maisons ; éparpillé comme par
enchantement depuis la nuit des temps.
Chaque coin cache sous son ombre le
charme d'une anecdote fait d' actes de
sorcellerie.
Je vous fais part , dans la suite de ces
lignes, une de ces présomptions que moi
même j'ai constaté. Depuis cette maison
l'on peut voir une Sainte Chapelle qui
laisse étaler son ombre, le soir venu, sur
le terrain que nous prospectons.
Les tuiles en écaille rouge brillent sous
le rayonnement de ce soleil printanier. La
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journée est agréable et les senteurs de la
nouvelles verdure nous rassasient de
renouveau.
Monsieur le maire m'accompagne, il
me guide pour l'acquisition des deux
habitations que je visite avec attention.
La première maison verbalise l'ossature
d'un colombage triste et grisâtre, quant a
sa façade elle sonne l'abandon , des ronces
y ont prit racine. Tout doit être réparé de
la cave jusqu’à la pointe du faîtage, bref
c'est une véritable ruine. Ma déception
apparente cache des projets réconfortant,
je remarque que son colombage est en
chêne.
L'ombre saint de la chapelle l'eut protégé
depuis lurette. Je suis prêt a m'engager
vaillamment pour entreprendre sa
restauration. A partir de ce moment la je
récolte le reflex de laisser apparaître une
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amertume ; mais je garde caché dans mon
coeur une version contradictoire. J'ai l'esprit
conservateur pour ces habitations qui ont
endossé la marque de plusieurs centaine
d'années. Elles méritent toutes de continuer
l'aventure en leur accordant notre respect.
Nous visitons la cave et la, mon attention
ce prime d'une valeur de la présence d'une
source d'eau limpide et claire.
Cela m'hypnotise inlassablement. De
nouveaux projets prennent forme, et mon
ambition conservateur fait vibrer mes
pensées. Je dis a monsieur le maire,
- Monsieur le Maire, il y a beaucoup de
réparations dans cette habitation, pour
moi je ne vois qu'une ruine et je pense
que le prix que vous demandez dépasse
la valeur de mon estimation.
- Monsieur l'acheteur, je vous ai bien dit
que nous pouvons discuter sur la somme
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à débourser.
Mon objectif consiste de faire baisser le
prix car preneur je suis mais de la a payer
une somme aussi élevé demande une
réflexion !
- Monsieur le maire, quelle est votre mis
a prix ?
- Je dis 30 000 francs pour celle ci et
20 000 francs pour l'autre. Les deux pour
50 000 francs.
Devant une maison, pas loin de la chapelle
une vieille dame, avec une allure distingué,
suit notre conversation. Elle nous souri
comme pour nous faire un compliment. Je
la salut respectueusement.
L'on se dirige vers la seconde habitation a
colombage qui se situe a cinquante mètres
de la première. Elle ressemble a une triste
ruine, bien plus triste que la première. Ma
conclusion devient arbitraire ; je ne peux
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garder celle ci, son état lamentable dénonce
le traça.
- Monsieur le maire cette masure ne vaut
pas les 20 000 francs que vous me
demandez. A la vue de ce colombage
dépareillé et rongé par la moisissure
cette battisse ne vaux pas un clou. Un
investissement important pour sa
réparation signe sa destruction.
- Monsieur l'acheteur, je vous comprend
mais deux maisons pour 50 000 francs
c'est une affaire.
Je ne pourrai les réparer toute donc je
pense que de deux habitations je pourrais
en faire une. Je garde dans mes réserves
mes intentions .
En prenons le courage de pénétrer dans
cette masure je remarque de grand trous
béants aussi bien sur le toit que dans la
façade où un manque important de torchis
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provoque des courants air. Le pisé jaune
restant est sec et poudreux. Le passé a
laissé des traces, une flagellation marque
tout le recoins. La porte d'entrer se
désaccouple de ses gonds. La rouille eut
raison des charnières qui ne tiennent plus
que par la masse de sa corrosion. Je tente
de l'ouvrir, la porte se détache impunément.
Une forte odeur de pourriture enivre mes
narines, la moisissure est maître des lieux.
Pas de doute, il dois y avoir une colonie de
rats ?
Un instant de répit provoque une hésitation ,
un fluide pervers me repousse instinctivement.
L'incertitude provoque mon attention, car, la
stabilité du sol se fragilise sous mes pas.
Monsieur le Maire c'est gardé d'y pénétrer, il
m'a donné main libre dans toute mes
explorations.
Dans certains endroits,mon analyse
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découvre des enfoncements du plancher ,
cela me permet d'entre voire une partie de la
cave. Je ne m'y aventure point . De vaste
toiles d'araignées me barrent ma démarche,
je suis obligé de me débarbouiller mes
cheveux.
Mon visage ressent ce tissage poussiéreux
qui vibre au moindre déplacement d'air. Cette
soie a envahit ma tête en si fixant. Mon
courage ne rencontre une alternative qui
pourrai repousser mes intentions. Je continu
ma découverte dans cette maison hanté par
le malheur qu'avaient subit ces anciens
habitants.
Monsieur le Maire m'eut fait part de ces
nouvelles, sur ceux, il garde ses pieds a
l’extérieure de l'habitation. Ses impératives
ne freinent en rien mon objectif car je me
laisse guider par la lumière des rayons du
soleil . Je réussi avec mille attentions,
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d'atteindre l'escalier qui me permet de visiter
l'étage du dessus. La aussi je retrouve un
voile de toiles d'araignées enduit de poussière.
Je me trouve dans le royaume de l’amertume
et ma crainte fait fortune, mon appréhension
ne conjugue que peu de bravoure.
Je me hisse en prenant mon équilibre
contre la rambarde . Elle aussi est instable ,
a ses pieds une emplette de petit tas de sciure
fine dénonce le travail des termites du bois.
Je rencontre une multitude de nids de pigeons
sur les poutres , aussi que des niches
d'hirondelles dans les recoins du grenier.
Sur le moment je garde un arrêt comme
pour se laisser guider par un envoûtement
diabolique, puis, je distingue , tapis dans les
poutres faîtière, une myriade de chauve-sourie
qui se sont mariée dans la partie sombre de
la charpente.
Un hulule ébouriffe ma coiffure je cultive une
10
peur germé par ce Grand-Duc qui vient de
déployer ses ailes. Ce hibou vient il m'avertir
d'un danger ? Je tergiverse rapidement car
je descend de ce grenier sans prendre d'autres
remarques. Les vibrations de mes brusques
pas font trembler toute l’ossature de la
masure.
Je viens de chambouler le rythme de la
vie de ces habitants .
Je ne tarde pas et retrouve Monsieur le
Maire qui m'attend avec impatience
accompagné de la vieille dame qui me
regarde d'un air médusé. Je laisse
émouvoir mes remarques sur mon inventaire.
Ma fierté garde sa noblesse et je reste
ferme sur l'intention d'acheter les deux
maisons .
- Avez vous pu vous rendre compte de
l'état et de la valeur de cette bâtisse
monsieur l'acheteur ?
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- Qui monsieur le Maire, je suis preneur
des deux chaumières malgré que leur
état est déplorable et que les réparations
nécessite un fond important. Le
capricorne a prit racine ainsi que la
vermine. Je m'engage a sauver l'une
d'elle seulement ci vous me cédez les
deux pour un prix raisonnablement
moindre que la somme que vous
m'avez dictée.
- Je vous ferais part d'une réponse dans
les jours a venir monsieur l'acheteur.
Le Maire prend congé et la vieille dame
reste auprès de moi. Elle me questionne
avec respect !
- C'est vous qui devenez le future
propriétaire ?
- Peut être, madame, mon hésitation
dépend du prix qu'on me propose !
- Je ne pense pas que vous faite une
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bonne affaire monsieur l'acheteur, car
dans cette habitation la, il y vécu une
sorcière.
- Une sorcière, mais qu'a d'elle fait pour
que l'on la traite de sorcière madame ?
- C'est une longue histoire et tous les
anciens du village la connaissent.
Ma curiosité ne peut laisser enfuir une
aussi bonne source d'apprentissage. Cette
vieille dame possède la trace d'un passé riche
en révélation. Je me garde d'aucun retrait de
conversation, son histoire m'inspire une réelle
confiance. Je pense que ce qu'elle va me
dire porte le fruit de ma curiosité.
- Comment savez vous que ces deux
maisons sont hanté Madame ?
- C'est une longue et vieille histoire, les
jeunes de nos jours ne la connaissent
plus. La maison que vous venez de
visiter est la maison mère de la sorcière.
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Cela fait de nombreuse années qu'elle
nous a quitté. Le jour de sa mort, comme
elle ne voulais pas de cérémonie
religieuse , les villageois n'ont fait que
l’accompagner jusqu’à son dernier lieu
de repos sans les sacrements. Durant
la marche, les personnes prétendaient
entendre des coups de pieds venant du
cercueil. La stupéfaction envahissait le
cortège , intrigué, les personnes allaient
prévenir l'ancien Maire du village. Celui
ci fit signe de continuer comme ci rien
n'était. Elle n'était aimé de personne car
tout au long de sa vie elle eut jeté un sort
a tout les habitants du village. La maison
que vous avez visité en premier possède
aussi un sortilège.
Mon intrigue fait volte face, je suis entrain
de récolter la chaleur de ma curiosité ; cela
pourra me servir d’argument pour mener le
14
prix de mon achat .
- Madame, c'est bien sous ce toit que
vivait la sorcière ?
- Bien entendu et sa puissance exerce
encore son pouvoir , je vous dis cela
car cette maison fut déjà vendu a un
jeune couple il y a de cela une bonne
vingtaine d' années . Leur courage et
leur ambition était grand , ils voulaient
en faire leur habitation principal. Leur
engagement dura peu de temps car
suite a un accident de la circulation le
mari restât cloué sur une chaise
roulante, la moitie de son corps
paralyse. Ils n'avaient plus de
ressource et les charges les
terrassaient d’impôt. Les tribunaux
leur donnaient tord et leur volonté n'eut
plus raison d’être. La commune mit la
main sur ce bien et l'autre habitation qui
15
était aussi a l'abandon.
- Madame ceci n'est qu'un malheureux
hasard
- Monsieur, l’envoûtement de la sorcellerie
continuât car a partir du moment où la
commune acheta les habitations le
malheur engrangea la population toute
entière. Les jeunes fuyaient vers la
ville pour trouver du travail ; les paysans
laissaient en friche leur bonne terre et la
commune ne récoltait peut de finance.
l'école fermait sa porte comme le bistro .
La défaite a fait de grand pas , les
derniers habitant du village ont fait
pression auprès de la commune pour
qu'elle vende ces deux habitations.
- Ci je comprend bien c'est pour cette
raison que la commune vend ces
deux maisons.
- Oui Monsieur
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- Mais Madame, l'autre maison est elle
aussi la demeure d'une sorcière ou
d'un sorcier ?
- La seconde maison possède un
mauvais sort ,elle fut damné par la
sorcière qui l'eut envoûté.
- Qu'elle sont les signes qui définissent
son envoûtement ?
- Avez vous remarqué que dans la
cave coule une source .
- Oui, et l'eau est claire comme de
l'eau de roche.
- C'est ce que vous pensé, mais elle
possède un pouvoir maléfique, elle
provoque des rayonnements nuisible.
Les personnes qui en boivent ont des
troubles psychique.
Je reste perplexe sur ses indications qui
m'intriguent profondément. Dois je croire
cette personne ? Je reste figé sur une
17
confusion total. Je quitte cette personne
avec comme intention de ranger dans les
oubliettes ce que je viens d'apprendre.
Ma langue exprime sa liberté , je ne tarde
pour raconter mon savoir a ma belle sœur
sur toutes les malédictions qui engendrent
ces deux maisons car c'est elle qui veut en
devenir la propriétaire. Elle ne prête son
attention sur mes remarques et me fait
comprendre que ce ne sont que des
supercheries.
De la manière qu'elle m'eut exprimé son
indépendance laisse virevolter en moi des
sentiments non convainquant.
Les semaines s'écoulent et l'achat se
fait avec bonification sur la mise a prix.
J'eus évoqué les malédictions et la
commune eut baissé la valeur marchante.
18
Avant d'entreprendre la démolition de
cette habitation lugubre de la sorcière, nous
entreprenons une fouille minutieuse.
La perceptive de recherche se base sur
les paroles de cette voisine et sur les
indications que nous ont révélés d'autres
personnes comme le curé de notre village.
Il s'agit de retrouver impérativement un
livre dans lequel sont renfermé les écrits
sur les sortilèges qu'elle eut sécrété.
Je ne suis pas influencé par les croyances
d'autrefois, je me laisse guider par les
réactions de ma belle sœur très perturbé.
Son comportement enlace un point critique
car elle eut pris part de toutes les paroles
concertants le sujet de la sorcellerie . Selon
elle, dans ce rituel on peu rencontrer la
transfiguration qui dénonce le diable et le
curé pourra y remédier.
Nos recherche se transforme en une
19
effarouche conspiration. Notre premier
objectif consiste de détruire par les flammes
nos trouvailles. Un grand tas fait de meubles,
de papiers de famille, de lettres, de photos
et habilles, sont rassemblé sur les ronces
qui poussent sur le terrain entourant cette
bâtisse pour en faire un bûché purificateur.
Ma curiosité se laisse détourner par cette
sédition et je me permet de lire tous les
papiers que j'arrive a traduire. Puis je
remarque des archives de notaire datant
de 1900 et de vieilles cartes d’identités plus
ressente qui dénoncent une coïncidence
avec le non et le prénom du mari de ma
belle sœur ?
Cette découverte engendre des
suppositions, ils m'intriguent profondément.
Notre bûché a prix feux on y jette les papiers
malfaisant ; puis nous continuons nos
recherches empiriquement sans perdre le
20
sens de nos intentions.
- Il faut brûler tous ce qui rappellent un
éventuel rapport avec les anciens
propriétaires de cette maison, ne
perdons pas notre temps nous fait
savoir ma belle sœur.
Elle exprime cela d'une manière envoûté
par une croyance qui la trouble
psychologiquement.
A partir de la ses nuits devenaient le refuge
de songes envoûtants et intolérables. Ses
yeux sont irrités et ses réactions endiablés.
Elle juxtapose la sorcellerie de sa déraison
avec ses rêves. Une hantises indomptable
la flagelle dans ses pensées.
Nous entreprenons la démolition du toit .
Les tuiles plate se fracassent les unes sur
les autres dans une poussière volatile. Elle
pénètre dans nos narines et nos
sous-vêtements, nos cheveux sentent le
21
rance. Notre action fait apparaître la clartés
du grand jour . Les recoins sont mis a la
lumière et les oiseaux ont tous fuit notre
chambardement.
L'ensemble de ma peau me démange et
mon nez pique; mes cheveux sont devenu
grisâtre et un brouillard de poussière rend
la visibilité limité a un pas. Mes mains
aussi noir que celle d'un ramoneur
dénoncent le maléfique de cette habitation.
La démolition de la couverture a prit fin.
L'on se dirige vers la première habitation
dans sa cave pour pouvoir se laver les
mains a la source .
Ma belle sœur n'est plus emprises par
son envoûtement. La joie sur son visage
récolte le charme d'un réconfort. L' on se
retrouve tous devant la source d'eau , plus
une seule goûte d'eau ?
Notre attention est stupéfié par cette
22
sécheresse de la source ? Avec mes deux
seaux en plastique, je part retrouver la
voisine pour pouvoir nous laver. Mon
désappointement rend mon langage bien
curieux car je lui demande,
- Est il normal que la source ne coule
plus dans la cave de cette maison la ?
- Cette source la n'a jamais cessé de
couler une eau limpide et fraîche mais,
il se peut que le sortilège qu'eut prédit
la sorcière vient de s'échapper du toit
de sa maison vue que vous venez de
l'arracher.
Je me demande pas plus et lui donne
mes deux seaux pour les remplir. Je ne
souffle un seul mot a qui que ce sois et
garde dans le profond de mes doutes une
certitude que la sorcière a bien existé. Tous
ces nombreux hasards sont le signe de
ma croyance.
23
Avec travail et ambition la première
maison devint charmante et son colombage
réveille un cachet digne des plus grandes
réussite. Ma belle sœur garde son caractère
joyeux ainsi que mon beau frère. Rien ne fait
croire qu'une trace reste gravé dans leur
comportement ; toutes les superstitions se
sont envolé ?
Cela fait quatre années que cette histoire
eu lieu et jusqu’à la aucun rejeton ne vit le
jour dans cette maison. Le couple est bien
équilibré point de vue santé, révèlent les
analyses médicaux. Cette remarque
déséquilibre le couple qui divorce .
Quant pour moi je suis convaincu qu'ils
sont sous l'envoûtement de cette sorcière
a qui ont a détruit la maison. Voila un acte
de vengeance digne de sa part j'en suis
certain.
Mais l'histoire ne s arête pas la ; lorsque
24
ma belle sœur devient mère avec comme
père un autre mari, l'enfant qu'elle mit au
monde ne vécu que 20 mois, un matin ils
l'ont trouvé mort dans son lit.
En cumulant toutes ces conclusions aussi
apocryphe je me demande ci moi aussi je
suis envoûte par cette sorcellerie. ?
-
JJM
La nouvelle est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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