SEPT FUTUR MALGRÉ NOUS VERS L'EVASION ( nouvelle 32 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
1
SEPT FUTUR MALGRÉ NOUS
VERS L'ÉVASION
La fin de la guerre doit être proche
car l'armée de nos libérateurs signe sa
présence aux portes de Belfort.
Cette nouvelle nous réconforte tous
et la joie dans nos coeur fait virevolter
une limpide source de bonheur.
Ce ne sont que des rumeurs, nous
font croire les soldats Allemand de
l'occupation. Pour nous leur
affirmation est une doctrine comme
toutes les autres.
2
Dans nos esprits plane une toute autre
version des faits, c'est cet émerveillement
libératoire qui germe dans nos coeur une
rancune envers ces autres, ceux qui
inspirent dans nos volontés une haine,
celle d'avoir fait ressentir leur force
pervers et antisociaux.
La profonde trace manquante de ces
nombreux voisins, cousins ou frères, qui ont
dut partir contre leur grée au front sans
que nous pouvons partager la moindre
nouvelle, nous révolte. Un grand nombre
d'entre eux ne reviennent plus car, seules
des lettres de condoléances font acte
d'excusent. Ils restent les témoins de cette
âpre violence sans sens, ces pauvres mutilés
des invalides qui ne possèdent nulle marque
d'encouragement pour faire revire leurs
arguments.
Je viens d'avoir mes 17 ans , ce qui est
3
une chance pour moi, je suis trop jeune
pour être mobilisé dans la Wermacht. Cela
me privilège d'une action militaire, mon
âge me tient a l’écart mais pour combien
de temps ?
De nombreux avions bombardier volent
pardessus nos têtes et le grondement
répétitif des canons résonnent au loin.
Dans le ciel des explosions de tire
d’artillerie suivent l'aviation de nos
libérateurs. Leurs passages nous oblige
de chercher protection dans les caves
servant d’abris dans certaines maisons.
Leur ronronnement sème dans nos pensées
une forte terreur.
Dans la population souterraine régner
une tension néfaste . Nous parlons le moi
possible sans attirer son attention a qui
que se sois. Cette profonde peur devient
le fruit d'incertitude qui conjugue la
4
méfiance envers les autres. Certains
fanatiques du régime Nazis sont capable
de te dénoncer pour récolter quelques
divinations.
Dans la foule ils n'y a plus de jeune
enfants, tous sont évacué vers d'autres
régions de France et pour certain en Suisse.
Ce pays a gardé sa neutralité il n'ont de
lacune guerrière.
Dans ma famille je suis resté auprès de
mes parents avec mon autre frère, mes
sœurs et mes jeunes frères sont placé
dans des familles en Suisse. Je ne vois
pas souvent mon père, il travaille dans
le fond des mines de potasse . Il y passe des
heures interminable avec des prisonniers de
guerres venant de la Pologne et de la Russie.
Il y exerce le poste de chef de chantier et
gardien en même temps.
Mon père ne prononce pas un seul mot
5
Russe ni Polonais. Le dialogue avec cet
environnement rencontre des propos
méprisant. Il arrive a lire sur leur visage
la soif de cette rancune criasse qui les
entasse dans les galeries profonde où l'air
chaud devient la marques qui signe leur
manque de liberté.
Dans les jeux de ballon que nous faisons
le soir, après notre travail en usine
d’armement, mon frère a sauté sur une
mine en recherchant la balle. Un profond
choque m’enivre profondément, cette
amertumes devient l’engrais d'un présage ;
celui de n'avoir d’ambition que pour une
soif libertine.
Un matin, la gendarmerie vient nous
apporter une lettre de mobilisation dans le
RAD , service obligatoire de travail, qui
met attribué. Ce n'est pas une joie car ce
papier provoque dans mes réactions une
6
action révoltante et contradictoire. Une
hantises m’agrippe, je viens de perdre ma
liberté. Je ne m imagine pas en bon soldat
dans l'armé Allemande ; je ne suis pas prêt
pour vivre avec leur doctrine et tuer mes
semblables. Toutes mes réfections suivent
la charge d'une réprimande par mes parents.
Mon frère a perdu la vie je ne veux perdre
la mienne pour une idéologie qui n'a pas de
raison.
Cette perte enivre ma haine et guide mes
intentions, je risquerais ma vie pour ne
point tuer d'autres qui sont pas mes ennemis.
Dans mon manuscrit militaire il est
mentionné que mon engagement obligatoire
consiste de creuser des fossés antichars et
des tranchets pour les combattants
Allemands. Une mis en garde dit que la
désertion est paisible de peine capital .
Les pertes sont nombreuses dans l'armé
7
Allemande et les désertions aussi. la
débâcle est prochaine.
Je double mon esprit révolutionnaire et
conjugue dans ma tête des propos bien bas .
Dans une casernes de Mulhouse, de
nombreux jeunes recrut sont mis en
conformité avec les outils de travaille.
Puis on nous embarquent dans des camions
militaires a raison de vingt camarades.
Notre destin nous entraînent, vers les 16 h,
sur une petite route incertaine ; elle
serpente a travers une belle contrée
entouré de vallons et de forets.
Les tonnerres des canons se rapprochent.
Notre courage se lapide en incertitude. La
distance est d'environ 40 km de Mulhouse.
Quant des avions de chasse rases les
routes, nous sautons du camion pour se
cacher malgré que nous roulons tout
feux étain.
8
Ce sont les feuillages des hauts buissons
qui nous permette de se cacher. Je tente
de compter mes compagnons de route, on
est vingt jeunes recrut. De cette petite
foule, je n'arrive pas a définir lequel
suivrait mon diapason contradictoire car
aucun ne reflète une image d'aventurier
sur son visage. La peur de se faire fusiller
guide leurs pas.
Mon incertitude se laisse entraîner par
cette équipe , je n'ai plus de juste valeur.
Nous reprenons la route puis , une
nouvelle alerte nous fais descendre des
camions. Les ordres sont de se dispatcher
en groupe de 7 et de se terrer sont les
buissons. Nous perdons volontairement
les 13 autres camarades.
Le silence entoure la foret et des
appelles tentent de nous faire revenir. Des
menaces d’exécution retentissent pour
9
nous faire comprendre que nous devons
revenir.
Personne ne se mu, l'on se regarde, et
nos yeux expriment l'ordre a suivre. Une
joie me comble de satisfaction, nous voila
prêt pour une évasion. La nature vient
de nous sauvé, nous somme libre .
Nous restons caché dans nos taillis jusqu'a
la nuit. Plus personne nous appelle et les
camions se sont éloigné.
Chacun se présente et la vitesse de notre
engagement a suivre est rapide. L'un de nos
camarades , Marcel, se propose de faire le
guide car il connaît la région comme le fond
de sa poche.
Au loin les chars libérateur font tonner
leurs canons ; ce bruis nous remonte le
morale, pour cette action tout le monde
est prêt pour les rejoindre mais, il y a le
front, on risque de nous faire prendre ?
10
Nous décidons de rejoindre la Suisse
par les petits chemins. Marcel nous
entraîne dans un village du Sundgau , la il
connaît du monde nous fait'il savoir. Sur
ceux il nous quitte a l"entré du village pour
retrouver le curé de la paroisse.
Quelque temps après deux personnes
viennent nous contacter, le curé du village
et l'autre un paysan. Ils nous fond
comprendre que nous devons rejoindre
l'église un par un.
Dans leur main ils portent chacun une
corbeille remplit de boisson et de
victuailles.
Minuit venu nous retrouvons Marcel et
le curé. Ils nous font comprendre que ce
sera au petit matin que nous franchirons
la frontière Suisse dans une citerne en
bois de chêne.
Cette nuit la nous dormons dans une
11
grange occupé par une dizaines de vaches
et une réserve de botes de pailles.
A ce jour je remercie encore tous ces
brave gens.
La nuit devient interminable, mais au
petit matin toutes les prescriptions sont
suivi a la lettre. Avec peine tous les sept
compagnons se retrouvent dans cette
citerne l'un collé a l'autre.
La volonté de réussir donne dans nos
coeur une immense source de joie. Dans
cette habitacle il fait noire , un peu de
clarté passe par le couvercle a demi
fermé. Nous transpirons tous pendant
le trajet.
La frontière est passé, enfin, nous
mettons pieds sur la terre Suisse. Aussi
tôt une patrouille Helvétique contrôle
nos papiers. Leur rencontre n'est pas de
tout simplicité, ils nous considère étant
12
des intrus de font en comble. Notre
jeune âge est une charge problématique
car au cas ou nous dépassons nos 18 ans
ils nous renvoient au gardes Allemand
comme déserteur.
Cette malchance tombe sur Marcel
qui sans explication est remis au
douanier Allemand. L'on ne s’attarde
pas et comme des voleurs ils nous
emportent vers une charrette en bois
pour nous transporter dans une
grande salle d'une école Suisse. Durant
notre parcoure, des coups de feux
résonnent dans la foret. Pas de doute,
Marcel fut fusillé.
La croix rouge Suisse nous sert une
soupe bien grâce dans laquelle flottent
des lardons. Il n'y avais pas de pain, cela
ne fais rien ce repas fut pour nous une
véritable offrande.
13
Dans mon coeur je garde le souvenir
de Marcel qui nous a sauvé et qui fut
fusillé a la frontière, je suis triste comme
le sont mes autres camarades.
La première nuit dans cette salle fut
dure et mon sommeil introuvable. J'eus
consommé tellement de soupe que je
cherchais les toilettes. Je pris la
résolution de me déplacer en sourdine
pour trouver les toilettes, je ne voulais
déranger personne.
Je rencontre une grosse marmite et la
mon besoin et si pressant que j'urine
dedans.
Le lendemain nous recevons de la soupe
dans une marmite ressemblant a celle du
soir. Ma faim ne trouve raison et je me
prive de toute consommation.
Par la suite l'ensemble de mes
camarades ont retrouvé la France libre
14
dans le Vercors, chez les maquis. Notre
groupe eu l’honneur d’être entouré de
l' Abbé Pierre .
Merci Marcel
JJM
Nouvelle en cour de montage des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain
amateur.
1
SEPT FUTUR MALGRÉ NOUS
VERS L'ÉVASION
La fin de la guerre doit être proche
car l'armée de nos libérateurs signe sa
présence aux portes de Belfort.
Cette nouvelle nous réconforte tous
et la joie dans nos coeur fait virevolter
une limpide source de bonheur.
Ce ne sont que des rumeurs, nous
font croire les soldats Allemand de
l'occupation. Pour nous leur
affirmation est une doctrine comme
toutes les autres.
2
Dans nos esprits plane une toute autre
version des faits, c'est cet émerveillement
libératoire qui germe dans nos coeur une
rancune envers ces autres, ceux qui
inspirent dans nos volontés une haine,
celle d'avoir fait ressentir leur force
pervers et antisociaux.
La profonde trace manquante de ces
nombreux voisins, cousins ou frères, qui ont
dut partir contre leur grée au front sans
que nous pouvons partager la moindre
nouvelle, nous révolte. Un grand nombre
d'entre eux ne reviennent plus car, seules
des lettres de condoléances font acte
d'excusent. Ils restent les témoins de cette
âpre violence sans sens, ces pauvres mutilés
des invalides qui ne possèdent nulle marque
d'encouragement pour faire revire leurs
arguments.
Je viens d'avoir mes 17 ans , ce qui est
3
une chance pour moi, je suis trop jeune
pour être mobilisé dans la Wermacht. Cela
me privilège d'une action militaire, mon
âge me tient a l’écart mais pour combien
de temps ?
De nombreux avions bombardier volent
pardessus nos têtes et le grondement
répétitif des canons résonnent au loin.
Dans le ciel des explosions de tire
d’artillerie suivent l'aviation de nos
libérateurs. Leurs passages nous oblige
de chercher protection dans les caves
servant d’abris dans certaines maisons.
Leur ronronnement sème dans nos pensées
une forte terreur.
Dans la population souterraine régner
une tension néfaste . Nous parlons le moi
possible sans attirer son attention a qui
que se sois. Cette profonde peur devient
le fruit d'incertitude qui conjugue la
4
méfiance envers les autres. Certains
fanatiques du régime Nazis sont capable
de te dénoncer pour récolter quelques
divinations.
Dans la foule ils n'y a plus de jeune
enfants, tous sont évacué vers d'autres
régions de France et pour certain en Suisse.
Ce pays a gardé sa neutralité il n'ont de
lacune guerrière.
Dans ma famille je suis resté auprès de
mes parents avec mon autre frère, mes
sœurs et mes jeunes frères sont placé
dans des familles en Suisse. Je ne vois
pas souvent mon père, il travaille dans
le fond des mines de potasse . Il y passe des
heures interminable avec des prisonniers de
guerres venant de la Pologne et de la Russie.
Il y exerce le poste de chef de chantier et
gardien en même temps.
Mon père ne prononce pas un seul mot
5
Russe ni Polonais. Le dialogue avec cet
environnement rencontre des propos
méprisant. Il arrive a lire sur leur visage
la soif de cette rancune criasse qui les
entasse dans les galeries profonde où l'air
chaud devient la marques qui signe leur
manque de liberté.
Dans les jeux de ballon que nous faisons
le soir, après notre travail en usine
d’armement, mon frère a sauté sur une
mine en recherchant la balle. Un profond
choque m’enivre profondément, cette
amertumes devient l’engrais d'un présage ;
celui de n'avoir d’ambition que pour une
soif libertine.
Un matin, la gendarmerie vient nous
apporter une lettre de mobilisation dans le
RAD , service obligatoire de travail, qui
met attribué. Ce n'est pas une joie car ce
papier provoque dans mes réactions une
6
action révoltante et contradictoire. Une
hantises m’agrippe, je viens de perdre ma
liberté. Je ne m imagine pas en bon soldat
dans l'armé Allemande ; je ne suis pas prêt
pour vivre avec leur doctrine et tuer mes
semblables. Toutes mes réfections suivent
la charge d'une réprimande par mes parents.
Mon frère a perdu la vie je ne veux perdre
la mienne pour une idéologie qui n'a pas de
raison.
Cette perte enivre ma haine et guide mes
intentions, je risquerais ma vie pour ne
point tuer d'autres qui sont pas mes ennemis.
Dans mon manuscrit militaire il est
mentionné que mon engagement obligatoire
consiste de creuser des fossés antichars et
des tranchets pour les combattants
Allemands. Une mis en garde dit que la
désertion est paisible de peine capital .
Les pertes sont nombreuses dans l'armé
7
Allemande et les désertions aussi. la
débâcle est prochaine.
Je double mon esprit révolutionnaire et
conjugue dans ma tête des propos bien bas .
Dans une casernes de Mulhouse, de
nombreux jeunes recrut sont mis en
conformité avec les outils de travaille.
Puis on nous embarquent dans des camions
militaires a raison de vingt camarades.
Notre destin nous entraînent, vers les 16 h,
sur une petite route incertaine ; elle
serpente a travers une belle contrée
entouré de vallons et de forets.
Les tonnerres des canons se rapprochent.
Notre courage se lapide en incertitude. La
distance est d'environ 40 km de Mulhouse.
Quant des avions de chasse rases les
routes, nous sautons du camion pour se
cacher malgré que nous roulons tout
feux étain.
8
Ce sont les feuillages des hauts buissons
qui nous permette de se cacher. Je tente
de compter mes compagnons de route, on
est vingt jeunes recrut. De cette petite
foule, je n'arrive pas a définir lequel
suivrait mon diapason contradictoire car
aucun ne reflète une image d'aventurier
sur son visage. La peur de se faire fusiller
guide leurs pas.
Mon incertitude se laisse entraîner par
cette équipe , je n'ai plus de juste valeur.
Nous reprenons la route puis , une
nouvelle alerte nous fais descendre des
camions. Les ordres sont de se dispatcher
en groupe de 7 et de se terrer sont les
buissons. Nous perdons volontairement
les 13 autres camarades.
Le silence entoure la foret et des
appelles tentent de nous faire revenir. Des
menaces d’exécution retentissent pour
9
nous faire comprendre que nous devons
revenir.
Personne ne se mu, l'on se regarde, et
nos yeux expriment l'ordre a suivre. Une
joie me comble de satisfaction, nous voila
prêt pour une évasion. La nature vient
de nous sauvé, nous somme libre .
Nous restons caché dans nos taillis jusqu'a
la nuit. Plus personne nous appelle et les
camions se sont éloigné.
Chacun se présente et la vitesse de notre
engagement a suivre est rapide. L'un de nos
camarades , Marcel, se propose de faire le
guide car il connaît la région comme le fond
de sa poche.
Au loin les chars libérateur font tonner
leurs canons ; ce bruis nous remonte le
morale, pour cette action tout le monde
est prêt pour les rejoindre mais, il y a le
front, on risque de nous faire prendre ?
10
Nous décidons de rejoindre la Suisse
par les petits chemins. Marcel nous
entraîne dans un village du Sundgau , la il
connaît du monde nous fait'il savoir. Sur
ceux il nous quitte a l"entré du village pour
retrouver le curé de la paroisse.
Quelque temps après deux personnes
viennent nous contacter, le curé du village
et l'autre un paysan. Ils nous fond
comprendre que nous devons rejoindre
l'église un par un.
Dans leur main ils portent chacun une
corbeille remplit de boisson et de
victuailles.
Minuit venu nous retrouvons Marcel et
le curé. Ils nous font comprendre que ce
sera au petit matin que nous franchirons
la frontière Suisse dans une citerne en
bois de chêne.
Cette nuit la nous dormons dans une
11
grange occupé par une dizaines de vaches
et une réserve de botes de pailles.
A ce jour je remercie encore tous ces
brave gens.
La nuit devient interminable, mais au
petit matin toutes les prescriptions sont
suivi a la lettre. Avec peine tous les sept
compagnons se retrouvent dans cette
citerne l'un collé a l'autre.
La volonté de réussir donne dans nos
coeur une immense source de joie. Dans
cette habitacle il fait noire , un peu de
clarté passe par le couvercle a demi
fermé. Nous transpirons tous pendant
le trajet.
La frontière est passé, enfin, nous
mettons pieds sur la terre Suisse. Aussi
tôt une patrouille Helvétique contrôle
nos papiers. Leur rencontre n'est pas de
tout simplicité, ils nous considère étant
12
des intrus de font en comble. Notre
jeune âge est une charge problématique
car au cas ou nous dépassons nos 18 ans
ils nous renvoient au gardes Allemand
comme déserteur.
Cette malchance tombe sur Marcel
qui sans explication est remis au
douanier Allemand. L'on ne s’attarde
pas et comme des voleurs ils nous
emportent vers une charrette en bois
pour nous transporter dans une
grande salle d'une école Suisse. Durant
notre parcoure, des coups de feux
résonnent dans la foret. Pas de doute,
Marcel fut fusillé.
La croix rouge Suisse nous sert une
soupe bien grâce dans laquelle flottent
des lardons. Il n'y avais pas de pain, cela
ne fais rien ce repas fut pour nous une
véritable offrande.
13
Dans mon coeur je garde le souvenir
de Marcel qui nous a sauvé et qui fut
fusillé a la frontière, je suis triste comme
le sont mes autres camarades.
La première nuit dans cette salle fut
dure et mon sommeil introuvable. J'eus
consommé tellement de soupe que je
cherchais les toilettes. Je pris la
résolution de me déplacer en sourdine
pour trouver les toilettes, je ne voulais
déranger personne.
Je rencontre une grosse marmite et la
mon besoin et si pressant que j'urine
dedans.
Le lendemain nous recevons de la soupe
dans une marmite ressemblant a celle du
soir. Ma faim ne trouve raison et je me
prive de toute consommation.
Par la suite l'ensemble de mes
camarades ont retrouvé la France libre
14
dans le Vercors, chez les maquis. Notre
groupe eu l’honneur d’être entouré de
l' Abbé Pierre .
Merci Marcel
JJM
Nouvelle en cour de montage des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain
amateur.
Ecrit le 23 10 2010, remis a jour le 19 08 2020.
A ce jour, 19 08 2020, 128 374 lecteurs.
A ce jour, 06 05 2021, 150 733 lecteurs.
A ce jour, 09 05 2023, 175 537 lecteurs.
A ce jour, 04 02 2024, 191 473 lecteurs.
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