LE CHARBON ( nouvelle n 23 )
le charbon
En fuyant l'armée Allemande durantla seconde guerre mondiale, les malgré
nous (enroulé de force) signe leur arrêt
de mort. Cette conspiration compose
l'inadmissible de beaucoup de
personnes maintenu sous les drapeaux.
La doctrine de cette époque les eut
convaincu que le devoir de servir
l'armé Allemande est un devoir.
Les permissions existent, et la
tentation de déserter trouve son
parfum de libéralisme dans une
conscience qui reste libre et égalitaire.
Les malgré nous tentent de multiples
formes d'évasions pour parvenir par
n'importe quel moyen de disparaître
aux yeux de l'agresseur certains y
parviennent mais d'autres y laisse leur
vie.
L'histoire qui suit révèle que tout
peut être possible même l'incroyable.
Pour Louis, c'est sa première
permission il cultive dans ses pensées
une intention de désertion. Retrouver
le front n'inspire point de gaieté n'y
d’ambition. Sa blessure de guerre
lui permet de prendre ce repos. Dans
ses souvenirs planent des actes qui ne
répondent a de juste convictions.
Une vague de contestation enlace
son caractère ainsi que le fond de ses
pensées. Il devient révolutionnaire.
Cette impulsion le déstabilise
profondément: cette incertitude le
pourchasse même dans ses nuits où
il ne trouvent de repos.
Il aime son pays, sa famille la paix
sur terre et les engagement
sentimental a ses dix huit années.
Devoir tuer les autres pour un
idéalisme contradictoire n'est que du
carnage. Ce facteur le guide sur une
décision qu'il complote avec sa mère
qui lui dit,
- Louis je ne veux pas que tu
retournes au front, la mort, suit
les vivants comme leur ombre.
Ne retourne plus auprès de cette
force criminels qui brûlent tous
sur leur passage en Russie.
- Je le sais maman, mon coeur n'y
est pas. Il est impossible de
déserter l'armée Allemande car
toi tu risques d'être déporté dans
des camps de concentrations
sans un espoir de retour. Je suis
passé par ces camps et j'ai vue ce
qui s'y passe.
- Mais fils, sans toi je ne suis pas
grand chose et je ferai l'impossible
pour que tu restes auprès de moi.
Ton père est tombé sur le front je
ne veux pas que tu y laisse ta vie
- Comprend bien maman que toute
tentation de désertion est surveillé
par le voisinage qui rapporte tous
a la Gestapo .
- J'ai la solution Louis, je te cache
dans la cave, la , nous creusons un
abris sous la terre battu que je
couvre d'une large planche puis du
tas de charbon. Tu y logeras durant
les contrôles. Personne ne pensera
te chercher sous ce tas de charbon.
Pour que tu puisses y vivre, je place
des provisions d'eau, du pain, des
saucisses séchées et de l'huile de
noyé. Tu devras y vivre sans lumière
jour et nuit. Pour que la liberté
réussie notre ambition demande de
tenir tête.
Sans tarder, ils entreprennent cette
solution avec une rapidité exemplaire
et, Louis prit place dans cette habitation
sombre sous le charbon. Dans cette
cachette il y a le volume que l'on
dispose dans un sarcophage.
Deux semaines se sont écoulé et la
Gestapo ne vit pas cela d'un bon œil
qu'a l'appel il manque Louis. La troupe
de soldats fouillent de font en comble
toute la maison. Pas de Louis, mais, ils
embarquent sa mère qui subit la
question dans le casernement de la
Gestapo durant plusieurs jours ; elle
leur a tenu tête.
Après trois jours la réserve d'eau,
de louis est vide, le pots de chambre
rempli. Son inquiétude occupe
l'ensemble de ses pensées : les
positions provoquent des courbatures
très douloureuses. Lorsque sa mère lui
ouvre la trappe, un soulagement le
réconforte. Sa vue a du mal a la
distinguer car la poussière de charbon
l'aveugle. Ses yeux sont rouge et son
orientation est bouleversé.
Sa mère lui raconte sa mésaventure
auprès de la Gestapo qui y allait de
main forte car sur son corps a des
traces de nombreuses hématomes.
- Louis, un contrôle eut été fait dans
la maison, et la Gestapo prit la
décision de classer notre cave
comme étant idéale pour un abri
pour la population durant les alertes.
Les informations prévois une
multitude de bombardement. Ce qui
nous obliger a se protéger dans les
caves. Il sera difficile de se ravitailler
ta patience dois résister et elle
nous sera bénéfique. Nous devons
nous méfier des autres ; la
dénonciation devient le fétus qui
valorise l'individu par des bons
d'achat que distribue la Gestapo.
- Mais mère, je me sens mieux dans
le noir de ma liberté que dans le
front claire de la haine et du mépris.
Avec cette argument la, je suis prêt
pour traverserai l'enfer.
- Louis je peux te rassurer car
dans ce qui se dit sur les ondes des
radios , la guerre est sur le point de
prendre fin, les forces françaises avec
les allier viennent de mettre pieds sur
le territoire français. C'est pour cette
raison que les bombardiers inondent
les grandes ville.
- Et tu certaine de cela maman ?
- Je l'ai entendu de mes propres
oreilles Louis.
C'est avec cette ambition la, que
pendant dix huit mois le fils se terre
sous le charbon, avec de temps a
autre un seul message de bonheur,
celui du regard de sa mère.
A la libération il en sortit courbé
et fatigué mais avec dans son coeur
une réussite digne d'un grand bonheur.
Pour lui plus rien ne récolte un voltage
de frayeur, surtout celui de distribuer
la mort a d'autres qui son pour la paix.
Vive la mort de cette injustice et la
libération de mon pays. LOUIS
JJM
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Ecrit le 17 06 2010, remis a jour le 20 06 2020.
A ce jour, 20 06 2020, 124 010 lecteurs.
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