Articles

LETTRE POUR UN GÉNÉRAL ( poésie n 184 )

Image
mirage au dessus des nuages sage n 1 Depuis des millénaires, les guerres ressemblent aux autres  guerres.    LETTRE POUR UN GÉNÉRAL.  Ci tu pars combattre un pays, sur cet univers, Remarques, en premier, la valeur de sa terre.   Lorsque tu es parvenu par le dominer, Coupe lui tous ce que tu rencontres a tes pieds.  Rapportes avec toi tous les hommes valides, Les femmes pas stupide et les plus beaux chevaux.  Les troupeaux de brebis, ainsi que les chameaux. N'oublies pas leurs richesses, d'or, tapis et statu.  Tu leur détruiras tous leurs plus beaux vaisseaux. Le vent deviendra notre puissant complice car, Il transportera le sable recouvrant leur ruisseaux.  Le Dieu soleil, asséchera toutes les rizières, La mort planera ainsi que les vipères.                    Nous resterons les plus forts, sur cette terre. Le Nil est le grenier primordiale de notre essor.   Notre puissance sera indomptable et, Notre richesse deviendra invulnéra

NUIT D'OMBRE ( nouvelle n 14 )

Image
mirage au dessus des nuages sage n 1 1 NUIT D'OMBRE        C'est cette nuit là que je me suis laissé entraîner  dans une phase où, mon sommeil me permet une  évasion digne d'une tournure si profonde que mes  pensées s'égarent dans l'âtre d'un univers indéfini  d'une suite sans fin.   A partir de ce moment là que la lourdeur de ma  lassitude fait ralentir le rythme régulier que souffle  mes poumons. Ils génèrent une lenteur qui  m'endoctrine d'un projet pervers. Mon coeur, ne bat  qu'a peine 30  vibrations dans la minute : Une vitesse  inférieure de moitié de son caractère habituel. Sous  la couverture de laine , qui orne mon lit, je conserve  une chaleur réconfortante qui me gave d'un doux  confort . Mon corps épouse  cette dégénérescence  qui me traîne vers la perte  de ma température  humaine. 2    La ritournelle de mon énergie n'émet plus que 27  battements dans la minute. Mes pensées se  soumettent

Sur les traces du poucet ( slam poétiques )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1 Sur les traces du poucet Devant un trois mats de vauriens, La barque du poucet n'a pas le choix, On lui donne 3 jours pour se rendre, Ou le poucet coule sous la pression. Avec une jugeote supérieur a l'agresseur, Le poucet cherche une protection, Avec peine et incompréhension  Apprêt de ceux qui l'écoutent avec, attention. La premier proposition des voisins est, Un taxi a disposition pour votre famille , Et un pays qui vous accueille, Jusqu'à ce que l'agression prend fin. La réponse du poucet est la suivante, C' est mon pays qui demande de l'aide, Pas moi, écouter mes revendications, Pour arrêter ces agresseurs.      Il lui reste les moyens de bord, Qu'il utilise avec intention , Et freine l'agresseur , Sur toute la route jusqu' a la frontière. Les fameux ceux la, font des vas et vient, Auprès de ce pays de vaux rien, Pour clamer une indulgence Pour que revienne la tolérance. L'avance du 3 mats continue ,

Les sosies ( nouvelle fiction )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1 1 Les sosies.    Leur ressemblance ne fait pas de doute, ce sont 7 fleurs qui partent en déroute. Je les ai pris sur le vif et raconte leur  histoire comme pour mettre en garde ceux qui pensent que c'est la même fleur qui pleure ?      Le centre de ce bouquet  a comme puissance la confiance d'un peuple entier qui le suit sens tenir compte de son déséquilibre  neurologique. Pourtant c'est une belle fleur elle a tous pour  plaire, mieux, elle inonde de charme toutes celles et ceux qui  l'admirent sens confusion jusqu' a leur mort.    L'ombre de la fleur  principale  se met a changer d'aspect, sa  forme dénonce que la maladie la met au  arrêt  ? Ou plutôt, la fleur disparait  de la vie commune.     Son engagement eut fait  que la bataille avec son bouquet  voisin nécessite  une continuité  d'agressions de toutes sortes.      Ressuscitons  la fleur n 2  sous le  même nom et prénom  pour poursuivre les agressions engagé .

Automne en farandole. ( photos et poésie )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1 Automne en farandole. Les tronçonneuses resonnent dans le lointain, Faisant tomber les arbres un a un. Les feuilles morte volent en tourbillon, Pour s'acluter au pieds de leurs fusion. Les prairies émettent des voiles de brouillard , Pour atténuer le bruit de l'abatages . L automne exprime ses valeurs , Sous un ciel bleu que les rayons valorise. Les chiens de chasse font leur tapage, Pour attendre les battus qui les enivre. Charme de l'automne de fin d'année, J'en suis émerveillé, par ca beauté. JJM A ce jour, 28 10 2024, 202 665 lecteurs.

L 'ennuie

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1 L'ennuie Es tu là ,ou là-bas ? Es tu ici mon ami ( e ) ? Es tu entrain de lire ? Je questionne a tout vas, Pour connaitre le pourquoi, De ces personnes qui aiment lire, Des brouillons qui veulent tout dire. Es tu là, ou là-bas ? Es tu ici mon ami ( e ) ? Es tu entrain de lire ?  L'allée est vide, Où sont tout mes désires ?  Sont ils passé par là ? Ou peut être par ici ? Es tu là, ou là-bas ?  Es tu ici mon ami ( e ) ? Es tu entrain de lire ? L'ennuie me nargue? Pour qui j'écrit ?  Pour les curieux ? Ou celles et ceux qui apprécient ?  Es tu là, ou là-bas ?  Es tu ici mon ami ( e ) ? Es tu entrain de lire ?  Mes écrits font bonne route, Ils suivent la déroute, Celui où c'est gratuit, Pour celle et celui qui le lit.  Es tu là, où là-bas ?  Es tu ici mon ami ( e ) ?  Es tu entrain de lire ?  Bien venu ( e ) mon ami ( e ) . JJM Auteur Jean Jacques Mutz. Ecrit le 26 02 2021. A ce jour, 27 02 2021, 144 028 lecteurs. A ce jour, 26 10 2

QUANT LA PLUIE PLEURE ( poésie n 286 )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1  QUANT LA PLUIE PLEURE, Quant la pluie pleure,  Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur. Les gens parlent , En dénonçant les écrits, Que voilent les journaux , Pour n'en écrire pas long . Quant la pluie pleure, Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur. Tu es loin, bien loin, Dans tes tournées, Surmontant les mers Et traversant les montagnes. Quant la pluie pleure, Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur. Ton retour sera un bonheur, De te toucher, avec honneur, Pour contredire ces écrits, Qui parlent de chose indécis. Quant la pluie pleure, Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur. La planète se  réchauffe La faute a ceux qui se  gaufrent De bénéfice qui  surchauffe La terre pour leur étoffe. Quant la pluie pleure, Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur.   JJM  auteur Jean