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SOUS TUTELLE ( poésie n 232 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 SOUS TUTELLE Tu seras sous tutelle,  temps que tu n'auras gagné, L'âge réelle  où tu cesseras de jouer. Tout sera telle,  le jour où tu sauras nous raconter, La vertu de ta vie,  par la marge qu'elle t'a donnée. Tu trébuchera,  souvent devant cette prouesse, A partir du jour  où tu seras enfin marie. Ta dignité s'efface  devant cette tendresse, Que ton cœur  sincère a voulu partager. Tu seras tuteur, de la progéniture t'as grée, Avec l'âme  du charme de ta bien aimé. T'exprimera grâce,   devant la marche de liberté, Que la faiblesse  de ton âge, met a refréner. Tu seras sous tutelle,  sans vouloir t'offenser, Même a ta mort,  certains , vont te placer. JJM Auteur Jean Jacques Mutz écrit le 31 08 2010 remis a jour le 27 03 2019 A ce jour, 27 03 2019, 110 188 lecteurs. A ce jour, 11 10 2019, 116 270 lecteurs. A ce jour, 26 11 2020, 136 044 lecteurs. A

LA CORDE DES CORDELIERS ( poésie n 279 ) en 7 langues

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Mirage au dessus des nuages  sage n 1 LA CORDE DES CORDELIERS Conçu de  ficelles tournés, On en crée  une corde, Qui de surcroît retient, Plus que des feuilles morte. Chaque ficelle possède, Une part de sa  juste valeur, Qui détient celui de la raison, De distribuer sa patio. L'union de ce tournage, Se charge d'un codage, De faire hommage, A l'action de rester sage. Certaines des ficelles, Définissent la raison, Celle du vrai partage, Et d'une véritable union. D'autres  ficelles, Activent la communication, Pour que vive la liberté, Dans une force soudée. Et puis il y a ces ficelles, Qui donnent l'ambition, D'une source du savoir, Comme celui de la solidarité. Mais d'autres ficelles, Nous donnent du travail, Nous gardent en bonne santé, Pour que suive notre prolifération. L'utilité de cette corde, C'

TEMPLE DE VÉRITÉ ( poésie n 23 ) en 47 langues

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mirage au dessus des nuages sage n 1 TEMPLE DE VÉRITÉ J'évoque la contexture majestueuse, D'une richesse perplexe et talentueuse. Je suis petit devant sa grandeur d'ombre, Que le soleil aride travers en pénombre. Suis je stupide, de m'exprimer ainsi, Avec ces lignes limpides noircies.  Mon encre sombre la plume qui écrit, Une page d'étoiles que j'ai conquis. Mon activité claire unie a jamais, Toute cette histoire que je transmets. Voila ma réponse, je vous la remet, Sans négliger certain mots qu'on soumet. Ma vérité parle pour un lendemain, D'avenir confus, remplit de chagrin. Construire un temple par le sommet, Avec des apôtres aux mensonges parfaits.  Ces réflexions désaccordent la société, Par des belligérances citant le défi-cité. Traînant les racines vers la mendicité, Pour nuire les troncs de l'égalité. Les plafonds s'alourdissent de textes, Qui se fissurent en rides prétextes. Les revendi